• Cette ordure de Pape préfère, comme Macron, les délinquants noirs aux honnêtes français .

    Discours du Pape de l’église de Satan :

     

    https://www.youtube.com/watch?v=PveRx-WEeYM&t=19s

    à 1:58 La minute de silence pour les envahisseurs du Tiers-Monde venus piller l’Europe. Pas un mot pour les Lola et les Mégane qu’ils vont violer, torturer et parfois tuer. En 1940 le Pape était-il pro-allemand envahisseur de la France ou pro-français envahi ?

    À 2 :45 La Méditerranée serait devenue un cimetière. Rappelons que c’est une mer naviguée depuis au moins 6.000 ans. Et que très peu de migrants s’y noient alors qu’ils utilisent des bateaux pourris pour quitter l’Afrique jusqu’aux eaux internationales. Là des ONG de gauchistes blancs les font monter sur des bateaux sûrs.

    3:15 De la Guinée à l’Europe le témoignage d’un envahisseur : « carrefour entre la vie et la mort ». Franchement je préfère rester en vie et en sécurité et que le Guinéen meurt en mer.

    3:45 J’apprends que je suis indifférent et que cela ensanglante la Méditerranée. C’est dingue ce fumier de Pape veut faire entrer encore plus délinquants et criminels du Tiers-Monde qui vont ravager l’Europe et c’est moi le salaud parce que je veux fermer les frontières à la racaille.

    Il serait bien que les derniers catholiques pratiquants français changent de Pape. Ils peuvent le faire siéger au Sud de la France, cela c’est déjà fait dans l’histoire. Quant aux autres Français il est temps de prier les dieux de la guerre et de la protection de vos foyers. Un glaive et un bouclier, soyez prêt à vous protéger des sarrasins. Rappelons que « 838 : Raid sur Marseille ; la population est massacrée ou mise en esclavage ; la ville fut reprise en 842. » source wikipedia.

    En 2023 les étrangers n’ont plus à guerroyer pour envahir la France, les ONG gauchistes les y emmènent avec gilet de sauvetage et boissons à volonté. Et les préfectures les s’installent partout en France et font venir leurs familles aux frais des Français. C’est la préférence étrangère. Les sarrasins ne nous emmènent plus en Afrique pour être leurs esclaves. Nous sommes leurs esclaves en France via les aides sociales et les ONG qui les chouchoutent. ONG que des
    Français sont encore assez cons pour financer volontairement en leur faisant des dons. Faites des économies, ne leur donnez plus un centime.

    À ceux qui pensent et votent avec leur portefeuille il est bon de rappeler que la remigration est rentable.
    Coût d’un prisonnier : 105 € x 365 = 38 325 € / an il y a 15 000 prisonniers étrangers donc 574 875 000 € d’économie si nous les virons.
    Coût d’un élève : 9 000 € / an il y a 3 000 000 enfants d’étrangers donc 27 000 000 000 € d’économie si nous les virons.
    Nous sommes 40 millions de Français donc nous pourrions récupérer chacun 690 € / an.

    Et en Bonus :
    • le départ des étrangers prisonniers, élèves et de leurs familles,
    • enfin des HLM disponibles pour les Français
    • enfin de la place dans les transports en commun
    • enfin des emplois disponibles, la fin du chômage de masse et donc des augmentations de salaires
    • enfin une baisse des prélèvements sociaux car plusieurs millions de sangsues sociales du Tiers-Monde en moins en France
    • moins de temps d’attente aux urgences
    • moins de vols, de viols et d’égorgements
    • un niveau scolaire qui augmente
    • un PIB par habitant qui augmente
    • la possibilité de robotiser plus rapidement le pays et donc de rester compétitif mondialement
    • etc

    Quentin NEUF


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  •  Le pape François entre utopie et déni de réalité sur l’immigration et Marseille

    Ça y est, le pape est à Marseille. Le souverain pontife est arrivé vendredi, dans l’après-midi, à l’aéroport Marseille Provence. Le Saint-Père a été accueilli par le Premier ministre français, Élisabeth Borne, avant de se rendre à la basilique Notre-Dame-de-la Garde. Là, il a participé, entouré de nombreux prêtres du diocèse, à une prière mariale. Il s’est ensuite adressé au clergé dans une intervention qui se voulait plutôt fédératrice. Après quoi, il est sorti de la basilique pour se rendre au monument des disparus en mer nommé « stèle dédiée aux marins et aux migrants perdus en mer » sur le site des Rencontres méditerranéennes. Le pape a tout d’abord proposé un moment de recueillement aux personnes présentes, personnalités politiques et religieuses, puis il a repris la parole. Et, comme attendu, il a offert une belle leçon de morale sur l’immigration à son auditoire. Avec le pape François, il n’y a pas de suspense, c’est toujours la même chanson.

    Le Saint-Père a d’ailleurs démarré son allocution par une redite, à savoir que la Méditerranée, « cette mer magnifique, est devenue un immense cimetière ». Il a ensuite déclaré : « Nous ne pouvons pas nous résigner à voir des êtres humains traités comme des monnaies d’échange, emprisonnés et torturés de manière atroce. » Sur ce point, personne ne lui donnera tort et ce qu’il se passe actuellement sur l’île italienne de Lampedusa est évidemment dramatique. Dramatique dans les deux sens. Mais ça, le pape François ne semble pas vouloir s’en rendre compte. Dans son discours comme dans quasiment toutes ses prises de parole sur l’immigration, il ne présente qu’une seule vérité. Celle du gentil migrant qui se voit refuser l’accès à un méchant pays riche. Il rejette l’idée que ces afflux de migrants peuvent aussi être source de problèmes pour les pays où ils arrivent. Il ne voit que les bienfaits de la mixité et, à ce sujet, il a pris la deuxième ville de France en exemple : « Marseille est un modèle d’intégration. » Sans vouloir lui manquer de respect, Marseille est peut-être un modèle d'intégration lorsqu’on y passe uniquement 24 heures et que l’on est en permanence sous escorte policière. En revanche, au quotidien, c’est un peu moins le cas.

    Toujours au sujet de la cité phocéenne, le souverain pontife a posé la question suivante : « Aujourd'hui, Marseille, caractérisée par un riche pluralisme religieux diversifié, se trouve elle aussi à un carrefour : rencontre ou confrontation ? » Une invitation à faire le choix entre le bien, l’humanité, la fraternité et le mal, la peur, l’opposition entre les peuples. Tout semble tellement simple ! Malheureusement, Saint-Père, dans la vraie vie, celle de ceux qui vivent à Marseille, qui sont chaque jour confrontés au problème de l’immigration de masse, qui ne font pas seulement de beaux discours, « rencontre » rime parfois avec « mauvaise rencontre » et, croyez-le ou non, les méchants ne sont pas toujours ceux que l’on croit.


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  • La caméra commerciale la plus petite du monde a la taille d’un grain de sel

    L’Omnivision OVM6948 CameraCubeChip® détient le record de la plus petite caméra disponible dans le commerce. Elle mesure 0,65 mm x 0,65 mm, avec une hauteur en z de seulement 1,158 mm.

    Développée par Omnivision, une entreprise technologique internationale spécialisée dans les solutions innovantes d’imagerie numérique, analogiques, tactiles et d’affichage pour de multiples applications dans plusieurs secteurs, la CameraCubeChip® est basée sur le minuscule capteur OVM6948, qui a obtenu le record Guinness du plus petit capteur d’image disponible dans le commerce.

    Il peut être monté sur divers instruments médicaux, notamment des fils-guides jetables, des endoscopes et des cathéters d’un diamètre aussi petit que 1,0 mm. Sa taille impressionnante le rend idéal pour une utilisation dans les vaisseaux sanguins les plus étroits du corps pour les procédures neurologiques, ophtalmiques, ORL, cardiaques, rachidiennes, urologiques, gynécologiques et d’arthroscopie.

    Malgré son corps minuscule, la puce OVM6948 CameraCubeChip® offre une résolution élevée de 200 x 200, ou 40 KPixels rétro-éclairés, produisant des images de haute qualité de certaines des zones les plus sensibles du corps humain. Il s’agit également de la seule caméra sur puce au monde avec éclairage par l’arrière, ce qui permet d’améliorer les performances en faible luminosité et de réduire la chaleur des LED.

     

    Selon le site Web d’Omnivision, grâce à la faible consommation d’énergie du capteur, moins de chaleur est générée à l’extrémité distale de l’endoscope, ce qui améliore le confort du patient et permet ainsi des procédures de plus longue durée.

    La plus petite caméra du monde possède un large champ de vision de 120 degrés et une plage de mise au point étendue de 3 mm à 30 mm. Elle peut filmer jusqu’à 30 images par seconde et sa sortie analogique peut être transmise sur 4 mètres avec un minimum de bruit.

     

    Source : Oddity Central – Traduit par Anguille sous roche


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  • Maroc : tremblement de terre et souveraineté

    Le séisme qui a frappé le Maroc est révélateur des inégalités de développement urbain entre les pays et du rôle majeur des ONG dans la géopolitique mondiale. Ce qui explique que le roi du Maroc se soit montré très prudent quant à l’aide internationale.

    D’une intensité de 6,8 sur l’échelle de Richter, le séisme marocain a essentiellement touché des villages du Haut Atlas, situés sur une faille sismique bien connue des géologues. La ville de Marrakech a en revanche été peu touchée et a connu peu de dégâts. Dans la montagne, le bilan est lourd : près de 3.000 morts, des milliers de blessés, environ 50.000 maisons détruites ou endommagées. Ce qui contraint à reloger rapidement les personnes sans-abris, dans des tentes humanitaires dressées à la hâte dans des camps improvisés.

    L’homme face aux risques

    Ce séisme rappelle l’importance de la gestion des risques, chose à laquelle les sociétés humaines s’adaptent depuis toujours. Installations humaines en bord de rivière ou de mer, à flanc de volcan, en zone montagneuse ou sismique, les hommes ont toujours sous pesée leurs choix en fonction des évaluations des risques : que gagne-t-on et que risque-t-on à s’installer quelque part. Ce qui a donné lieu à de grandes inventivités pour limiter ces risques : polders hollandais pour construire sous le niveau de la mer, canaux et digues pour contrôler les fleuves et limiter les crues, aqueducs et barrages pour réguler l’eau. Toute l’histoire de l’humanité est une lutte pour prendre la mesure de la nature, en limiter la dangerosité et rendre vivable des zones qui ne le sont pas. Chose perdue de vue aujourd’hui où une vision fixiste et rousseauiste de la nature s’impose, sans prendre en considération le travail séculaire d’aménagement du territoire.

    Si un séisme de cette magnitude-là avait eu lieu à Tokyo, il n’y aurait eu aucun mort et quasiment aucun dégât. Les normes antisismiques permettent d’affronter de telles secousses. Plus les pays sont riches, plus ils peuvent investir dans ces infrastructures couteuses, limitant ainsi les risques et protégeant leur patrimoine de la destruction. Une question se posera donc rapidement au Maroc, celle qui consistera à déterminer s’il faut reconstruire à l’identique ou s’il faut édifier les nouvelles habitations avec des normes antisismiques, plus onéreuses, mais plus sûres. Tout est question de choix politique et économique, dont les conséquences sont multiples.

    Le risque de la corruption

    Le BTP est l’un des secteurs économiques le plus exposés au risque de corruption. Il est si facile d’établir des pots-de-vin, des rétrocommissions, des marchés publics truqués, permettant d’enrichir les amis du pouvoir au détriment souvent de la qualité de la construction. C’est ce qu’a révélé le séisme turc : beaucoup de bâtiments se sont effondrés parce qu’ils n’étaient pas construits selon les normes antisismiques pourtant prévues dans le cahier des charges (et payées). Une corruption qui a touché l’entourage d’Erdogan et qui a motivé une partie de l’opposition lors de la présidentielle.

    Même problème en Sicile, après 1945. La reconstruction des villes détruites fut un formidable tremplin pour la mafia, qui y trouva matière à financement et occasion à redressement après les coups de boutoir des années Mussolini. Le même risque plane aujourd’hui sur l’Ukraine, dont la corruption est systémique et bien antérieure à la guerre. Les grandes compagnies de BTP se frottent déjà les mains des juteux contrats à venir et les oligarques des détournements d’argent qu’ils pourront opérer. Plus que jamais après cette catastrophe, l’état de droit, le pluralisme médiatique, l’indépendance de la justice sont nécessaires si l’on veut éviter une croissance du détournement d’argent et de la corruption.

    ONG, le jeu trouble

    Dans un remarquable entretien pour Le Figaro, Sylvie Brunel a bien mis en évidence le jeu trouble des ONG et leur rôle dans la guerre informationnelle. Après une longue carrière dans l’humanitaire, qui l’a conduite à diriger Action contre la faim, Sylvie Brunel a poursuivi une carrière de géographe, devenant professeur à la Sorbonne. Elle est l’une des rares à travailler sur les politiques de développement, sur les actions des ONG et sur les usages politiques des catastrophes. Ses livres, notamment sur l’alimentation et l’agriculture, sont remarquables d’intelligence et de connaissance, et sont toujours des bouffées d’air dans la sécheresse ambiante.

    Beaucoup ont en effet été surpris que le roi du Maroc refuse l’aide internationale, puis la limite a quelques pays (dont la France était exclue). Les ONG et l’aide humanitaire étant solidement situées dans le camp du bien, cela ne pouvait être que l’expression d’une désinvolture à l’égard de son peuple. Rien n’est moins sûr. Nombreuses sont les ONG à n’avoir de non-gouvernemental que le nom. Bien souvent, elles agissent par proxy pour le compte d’États, d’associations mondiales ou d’idéologie qui sont contraires aux intérêts du pays où elles interviennent.

    Derrière l’aide, il y a la question essentielle de la souveraineté et de l’indépendance nationale : « L’aide humanitaire internationale va toujours des pays développés aux pays non développés. En tant que pays émergent, qui se veut interlocuteur de l’Europe et qui aspire à un statut de puissance régionale en Afrique, Rabat veut montrer qu’il est souverain, capable de piloter les secours, et ne pas se comporter comme un pauvre pays meurtri que tout le monde vient charitablement secourir » explique Sylvie Brunel. C’est le sujet essentiel du positionnement de Rabat sur la scène internationale et de l’image que le Maroc renvoie de lui-même.

    Nombreuses sont les ONG à s’infiltrer dans les pays en détresse pour ensuite orienter la politique nationale non pas dans le sens du pays, mais dans l’intérêt de tiers qui ont profité de la catastrophe pour prendre les rênes du pays fragilisé. L’enjeu politique est donc double : démontrer que l’on est assez fort pour gérer la catastrophe seul, conserver sa liberté politique et ne pas se faire coloniser par d’autres. L’aide doit toujours être ponctuelle, circonscrite et provisoire, au risque sinon que les ONG deviennent des États dans l’État. C’est ce qui se joue au Maroc aujourd’hui. Raison pour laquelle le roi a choisi ses interlocuteurs et les pays avec qui il a accepté de travailler (dont l’Espagne et le Qatar).

    Le risque est également réputationnel : à force de s’apitoyer sur les dégâts et les victimes, l’activité économique risque d’en pâtir, notamment le tourisme. Or un séisme qui touche la montagne de Marrakech ne concerne pas les cités balnéaires du littoral ni les infrastructures industrielles de Tanger Med. Pourtant, dans l’esprit de beaucoup, c’est tout un pays qui est touché et donc tout un pays qui est à éviter. C’est bien cette limitation géographique et politique qu’il est essentiel d’opérer pour que le Maroc ne se retrouve pas vassalisé par les émotions et les associations internationales.

    Jean-Baptiste Noé

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