• Ma France

    La France fracturée profondément.

    Réflexions sur l'actualité et la politique Française ,de l'Europe .Avec quelques exceptions sur le reste du monde. Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution, grand arnaque comme sur le Covid ,masque pipeau , le couvre feu fantaisiste ,Pédophilie etc. etc. .

    Peut être une image de texte qui dit ’Remaniement < C'est pas en changeant des mulets par des ânes que tu transformeras l'écurie en haras!> >>’


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  • Par :Pieds Noirs 9A..

    Billet N°6616 du mardi 21 février 2023..

    Le Fantasme de la gauche caviar donneur de leçons !.

    Voilà, de ce qui se passe en notre belle bourgeoisie de gauche bobo, il y a mangé et à boire.

    AHHH !! Ce fameux mai 68 du libre sexe !

    "La Familia Grande" (Le livre)

    Et rappelons que Bernard Kouchner, le père de Camille, s'était prononcé pour la légalisation de la pédophilie dans la presse de gauche, gauche-caniveau. Et le pire le peuple Français vote pour cette gauche qui détruise nos enfants !. Tu parles d'un soutien, ce père !.

    Camille est une petite fille qui grandit dans une famille ayant connu mai 68 et portant en son sein la liberté durement acquise. Cette liberté de vivre et sexuelle engage pourtant parfois un climat d'insécurité pour elle, son grand frère Colin et son jumeau Victor.

     

    (Photo : Christine Ockrent, Evelyne Pisier)

    Si vous n'avez pas lu le livre de Camille Kouchner, "La Familia Grande" ci-dessous un résumé. Je viens d’achever le livre de Camille Kouchner il y a 15 jours , « La familia grande ». Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’auteur, sympathique et désarmée, essaie de surnager dans une ambiance délétère, et n’y arrive pas toujours.

    Le climat de son enfance et de son adolescence est sordide. Glauque, poisseux. Mais c’est normal. C’est la gauche morale, cette gauche puante qui envenime tout notre territoire Français, celle qui s'allonge devant les faits ,celle qui tient le haut du pavé, celle qui fait ce qu’elle veut ,celle qui nous ordonne comment penser, comment mette un masque ,comment manger et boire ,comment avoir de relation entre vieux et des mineurs. Comment traité les non vaccinés et j'en passe .Le résultat du mai 68 de la discorde est à vomir!.

    Le tout venant avec orgie à la clés ;

    Ce livre, c’est les Eygletière de Troyat : tout le monde couche avec tout le monde. Aucun complexe et c’est normal. D’abord sa grand-mère, Paula. Elle pavoise parce qu’elle divorce : le divorce c’est la liberté de s'envoyé en l'air. Certainement, dans certains cas. Mais de là à exploser de joie en le racontant à ses petits-enfants ,il faut le faire .

    Evelyne Pisier aussi pavoise d’être libérée de Bernard Kouchner. Les jumeaux qui ont six ans se font enguirlander parce que ce n’est pas tout à fait leur avis. Et même, leur grand-mère à cet aveu les plante en pleine rue, à Paris, à six ans. Ils se font gronder par leur mère de s’être plaints. La mère de Camille haïssait son propre père parce qu’il était pétainiste et maurassien.

    Mais elle-même, Evelyne Pisier, a été pendant quatre ans, dans les années soixante, la maîtresse de Fidel Castro. Ah, mais il ne faut pas tout mélanger. La gauche révolutionnaire, c’est acceptable, toujours. Fidel a soufflé Evelyne à Bernard en même temps, lequel se console avec Marie-France, la sœur. Marie-France, elle-même, est dans les bras de Daniel Cohn-Bendit, celui qui aime bien qu’une gamine de cinq ans lui défasse la braguette. Que du beau monde. L’internationale du cul ! et manquer presque la fanfare La mère et le père d’Evelyne finissent par se suicider, l’un après l’autre. Leur vision idéologique de la sexualité libre n’aura-t-elle pas dû faire leur bonheur ?. 

    Leur fille Marie-France se suicidera plus tard aussi. A moins qu’elle n’ait été suicidée, ce n’est pas clair… Les beautés de la libération sexuelle sont sans limites.A l’enterrement de Marie-France Pisier en 2011, toute cette gauche sordide se presse pour se montrer, chacun avec le sourire satisfait d’être vu. Ils y sont tous, les copains et les coquins : Fredéric Mitterrand, Bernard Kouchner, Martine Aubry, Elisabeth Guigou, Daniel Cohn-Bendit, etc…

    https://www.youtube.com/watch?v=DFOiVvoh9iw&feature=youtu.be

    https://www.youtube.com/watch?v=zbnZUBahThY

    A Sanary, dans le Var, la famille se réunit l’été. Un baisodrome grandiose ! Une vingtaine d’enfants dans une maison, et une vingtaine d’adultes, tous de la gauche caviar en vue, un dans dans l’autre. Les adultes vivent tout nus, sauf une amie qui n’apprécie pas mais qui est couverte de sarcasmes à cause de cela.

    A table, tout le monde fait du pied à tout le monde. Avertie de ce que Olivier en drague une autre, Evelyne commente, impassible : « la baise, c’est notre liberté ».Dans la piscine, les parents se baignent nus, en particulier Olivier Duhamel, qui fait semblant de se couvrir d’un pagne qui dévoile tout. La grand-mère aux seins fripés se baigne aussi toute nue au vu de tous.

    Les photos des culs (le terme est de Camille) des enfants sont épinglés en gros posters sur les murs, par Olivier qui les photographie lui-même. Quant elle a douze ans, la grand mère de Camille s’inquiète qu’elle n’ait pas encore fait l’amour à son âge. Et sa propre mère veut lui montrer comment on roule un patin. MDR! Camille refuse .

    Quant elle a quinze ans, l’été à Sanary, tous les soirs sans exception, les jeunes sont expédiés en boîte de nuit jusqu’à fermeture de la boîte. Car il faut qu’ils dégagent pour laisser les adultes tranquilles. Night club obligatoire. Alcool et probablement plus. On ne sait pas ce que font les parents pendant ce temps là. On imagine.

    On ne se gêne pas. Duhamel est très lié avec Matzneff, il a signé son papier sur la libre sexualité avec les enfants et l’a fait signer à Kouchner. C’est à Paris vers les quatorze ans de Victor qu’Olivier Duhamel prend l’habitude de se glisser dans la chambre de Victor le soir, pour « lui montrer ». Après, il vient voir Camille et lui demande si elle dort avec une petite culotte. Question normale pour un père ou un beau-père ?Puis Olivier va voir le frère aîné et lui mesure le sexe, avec un double décimètre. Il adore faire ça. Lui, le beau-père, conjoint de la mère.Bernard Kouchner, lui, s’est remarié avec Christine Ockrent, une vraie marâtre qui se fait rapidement détester. Pour avoir la paix le soir, quand les jumeaux viennent le voir, il leur fait avaler des somnifères. Concernant Olivier Duhamel, Camille est sous emprise, ainsi que toute la famille. Car Olivier est brillant et a du charme, semble-t-il. Surtout, il faut préserver Evelyne, qui est si « fatiguée », dit-il. Donc, pas d’histoires. Camille Kouchner frôle alors la déprime la plus totale, avec boulimie et anorexie, étudiant comme un fantôme. Elle a du mérite d’être devenue avocat et professeur de droit. D’autres s’en seraient moins bien tirés…

    Camille devient mère et comprend enfin qu’elle n’a pas le choix : ses enfants ne peuvent pas aller en vacances à Sanary et subir ce qu’a subi son frère. Et probablement d’autres enfants. D’ailleurs, certains enfants avaient interdiction de leurs parents d’aller à Sanary. Des couples fuyaient. On se demande bien pourquoi…Camille, pour protéger ses enfants, doit dénoncer son beau-père, qu’elle a toujours jusque-là essayé de protéger. Elle parle à sa mère.Evelyne Pisier le prend très mal. « Comment avez-vous pu ainsi me tromper ? Toi, la première, Camille, ma fille, qui aurais dû m’avertir. J’ai vu combien vous l’aimiez, mon mec. J’ai tout de suite su que vous essaieriez de me le voler. C’est moi, la victime, » a-t-elle écrit.

    Victor est devenu le coupable et Camille la complice ! « Pourquoi tu n’as pas parlé ? » ajoute la mère. « Mais, quand j’ai fini par parler, je suis devenue celle qui n’avait rien dit. Avec l’inceste, c’est comme si la dénonciation était pire que le crime. » explique Camille.“Salauds ! vous avez tout balancé ! “ aurait-elle hurlé à ses jumeaux. “Je hais votre perversité. Tout le monde maintenant va être au courant ! “ .

    La grande bourgeoise se mue en petite bourgeoise affolée, espèce qu’elle a toujours détestée. Cette gauche puante internationaliste n’a qu’une peur : que sa perversité se sache. On se croirait dans une petite ville de province. On se croirait dans Balzac, dans Zola, dans Mauriac. Evelyne ne veut rien reconnaître et ne veut apporter aucun soutien à ses enfants face au prédateur.

    Camille se brouille avec sa mère. Laquelle sombre dans l’alcool avec la complicité active d’Olivier qui remplit son verre. Puis décède, en 2017. Les « sanaryens » viennent à l’enterrement mais ignorent Camille. Ils ne veulent pas se mouiller, alors qu’ils savent tout.C’est ainsi que Camille décide d’écrire cette histoire. Le comble : Olivier Duhamel, pour se défendre, invente une histoire d’amour entre lui et son beau-fils.On découvre le vrai visage de cette gauche puante soi-disant libérée, sûre d’elle, qui croit que tout lui est dû, que tout lui est permis, se partage la France et ses prébendes. Et surtout, prétend donner des leçons. Prétend qu’on peut faire n’importe quoi avec ses enfants, alors que c’est révulsant. Une misère friquée est décrite, dorée même, mais vraie misère morale de la gauche morale. On a volé à Camille son enfance en la faisant vivre dans ce boxon que l’idéologie sexuelle post soixante-huitarde avait de plus répugnant.

    Comme si c’était normal. Sophie Durand .La gauche caviar héritée des Jacobins, cette gôchiasse moralisatrice se vautrant dans tous les vices et toutes les turpitudes, se meut aux antipodes de tout ce qu'elle proclame le menton tremblant et la main sur la braguette ou sur le cul du voisin ou de la voisine quand ce n'est pas sur celui des enfants .Cette caste abjecte n'inspire que le dégoût et doit être éradiquée.

    Le Fantasme de la gauche caviar donneur de leçons !.

    Dans "La familia grande" (Seuil), Camille Kouchner raconte comment l'inceste a réduit son frère jumeau, victime, et elle-même, au silence et à la culpabilité pendant des décennies. Un récit essentiel, bouleversant, qui fait plonger dans les mécaniques de domination propres à l'inceste et a permis une libération de la parole pour de nombreuses victimes.

    Dans ce livre courageux, Camille Kouchner brise un silence de plus de trente ans. Elle officialise ce qui, selon elle, était su depuis des années dans le petit milieu universitaire de Saint-Germain-des-Prés. Victor s'est toujours refusé à parler, et lui a longtemps demandé de ne pas le faire. Désormais âgée de 45 ans, mère de deux enfants, l'autrice s'adresse à ces adultes qui n'ont pas voulu les protéger. À commencer par leur mère, Évelyne Pisier.

    Également grande spécialiste du droit, décédée en 2017, Évelyne Pisier avait eu trois enfants de son premier mariage avec l'ancien ministre et humanitaire Bernard Kouchner, dont Camille et Victor. 

    La "familia grande" était le surnom qu'Olivier Duhamel donnait au cercle élitiste, intellectuel, de gauche caviar, qui l'entourait lui, et Évelyne Pisier, sa seconde épouse. Une élite qui idéalisait les révolutions d'extrême-gauche d'Amérique du Sud et centrale, avant de s'embourgeoiser au contact des ministères. 

    Christine Ockrent, belle-mère de Camille et "Victor" Kouchner, avait réagi pour la première fois aux accusations d'inceste visant Olivier Duhamel. Elle a soutenu ses beaux-enfants dans un entretien accordé dans un magasine. "Nous sommes fiers d'eux et nous les aimons", a-t-elle confié.

    ALORS chers lecteurs .

    Maintenant vous en savez un peu plus sur ceux qui passent à la télévision ... pour des gens respectables. C’est la fin pour eux. 

    Baudelaire conseillait de "pétrir de la boue pour en faire de l'or". Certains ont pris le conseil au pied de la lettre.

    Qui de mieux que SONIA FEERTCHAK pour éclairer : .
    « La vérité est tue de peur que la vérité ne tue. » .
    Son livre : « La Vérité tue, Agatha Christie et la famille. »

    Le Fantasme de la gauche caviar donneur de leçons !.

    Vraiment une histoire scandaleuse au milieu des enfants .

    Oui moi ! j'en ai eu les larmes aux yeux en lisant ce livre d'une réelle vérité et non un feuilleton .Oui bien malheureux d'une souffrance qui reste à vie .

    Reproduction de cette page interdite .Acheter le livre .

    Vidéo ci-dessous pour terminer cette page 

    Le Fantasme de la gauche caviar donneur de leçons !.

     

    Pieds Noirs 9A.. 


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  • Ce n’est pas l’ENA qu’il fallait dissoudre mais Sciences Po !

    C’est à partir du mandat de Richard Descoings à la tête de l’Institut d’études politiques de Paris (Sciences Po) que cette mémorable et prestigieuse institution a commencé à sombrer pour devenir aujourd’hui le temple de l’intolérance, du wokisme et de la propagande pour la Palestine.

    On ne s’étonnera pas que Richard Descoings doive sa nomination à la tête de Sciences Po en 1996 au très progressiste Alain Juppé, alors premier ministre.

    Le mandat de Richard Descoings reste marqué par sa décision d’appliquer la discrimination positive à l’entrée à Sciences Po par la création d’une véritable filière d’entrée réservée aux élèves issus des zones d’éducation prioritaires (ZEP).

    Malgré la condamnation de cette initiative par le Conseil constitutionnel, Richard Descoings réussit à maintenir ce type de recrutement !

    Le mandat de Richard Descoings fut stoppé quand on le retrouva mort dans une chambre d’hôtel de Manhattan après qu’il ait eu recours aux services de deux « escort boys » !

    Voici un article de l’IREF qui dénonce la dérive actuelle de Sciences Po, contaminée par l’idéologie transgenre et l’obsession pour la cause palestinienne :

    Sciences Po, l’école des propagandes propalestiniennes et transgenre

    Etre directeur de Sciences-po comporte depuis quelque temps des risques certains. L’un d’eux a été retrouvé mort dans une chambre d’hôtel de Manhattan, un autre a été accusé de violences conjugales et a démissionné. Le poste semble maudit. L’école elle-même, autrefois un établissement d’élite, l’est peut-être aussi. Cela fait maintenant des années qu’elle s’est lancée dans une politique très favorable à la diversité et qu’elle a ouvert ses portes aux jeunes issus des banlieues. Je me souviens que, lorsque j’y étais élève dans les années 1990, l’examen d‘entrée était difficile. Il a été peu à peu remplacé par un dossier tenant plus compte du milieu social des candidats que de leurs aptitudes (les régimes communistes réservaient ainsi une bonne moitié des places dans les universités aux jeunes ayant, selon l’expression officielle, des « origines sociales saines »). La discrimination positive s’est substituée au test des connaissances et l’écriture inclusive est devenue la norme. Les conséquences n’ont pas tardé à se faire sentir : baisse du niveau, renommée de l’école ternie, départ de certains enseignants et élèves, gangrène gauchiste. Les sondages montrent d’ailleurs que Jean-Luc Mélenchon est en tête du hit-parade des hommes politiques dans les salles et les amphis… Il ne fallait donc pas s’étonner de la mobilisation pro-palestinienne et de la Semaine de la Palestine organisée récemment. NI du « Mois de la diversité, de l’égalité et de l’inclusion » à l’occasion de la « Journée internationale de la visibilité trans ». A cette occasion la bibliothèque de l’école a diffusé sur les réseaux une sélection (voir l’image plus bas) de livres et articles de revues disponibles « portant sur l’histoire des transidentités, l’évolution de la place des minorités transgenres dans la société et les discriminations dont elles sont victimes, en France et dans le monde. »

    Les élèves ont le droit d’avoir des opinions politiques mais pas celui d’occuper des amphithéâtres et exclure les étudiants juifs. Et l’école ne devrait en aucun cas faire de la propagande, quelle qu’elle soit.

    PauvrSciences-po !

    Nicolas Lecaussin 


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  • « Un événement sans précédent » ? L’insondable mauvaise foi de Jean-Luc Mélenchon

    « Un événement sans précédent dans l’histoire de notre démocratie. » Rien de moins. C’est ainsi que, jamais avare de grandiloquence, Jean-Luc Mélenchon a qualifié la convocation de la cheffe de file LFI à l’Assemblée par la police pour apologie du terrorisme. À deux doigts de comparer Mathilde Panot à Soljenitsyne, si ce nom n’écorchait pas sa bouche d’ancien communiste.

    De qui se moque-t-il ? Où était-il, ce parangon de la liberté d’expression, quand Éric Zemmour était traîné devant les tribunaux ? Qu'un journaliste soit harcelé par la Justice pour ses opinions, une pratique caractéristique des régimes autoritaires ou en passe de le devenir, aurait dû le faire sortir de ses gonds !  Et à quel moment cet amoureux transi de la liberté d'expression a-t-il tenté de dissuader sa protégée Danièle Obono d’accabler de sa vindicte et de ses poursuites le magazine Valeurs actuelles ?

    Surtout, a-t-il défendu, ne serait-ce que du bout des lèvres, Marine Le Pen et Gilbert Collard quand ils ont été accusés, eux aussi, bien avant Mathilde Panot, de faire l’apologie du terrorisme - Daech, en l’occurrence -renvoyés en correctionnelle parce qu’ils avaient posté sur les réseaux sociaux des photos des exactions perpétrées par l’État islamique ? Dans le cadre de cette enquête, Marine le Pen avait même été convoquée - sans rire - pour une expertise psychiatrique (à laquelle elle ne s’était d'ailleurs pas rendue). Comme si montrer les horreurs de la guerre était y souscrire. À ce train-là, le mémorial de Caen devrait être fermé de toute urgence pour accointance avec le nazisme. Il y avait pourtant une différence de taille : si Mathilde Panot et ses amis ont eu des mots plus qu’ambigus à l’endroit du Hamas, il n’a jamais traversé l’esprit de personne que Marine Le Pen puisse, de près ou de loin, soutenir Daech. La mauvaise foi le disputait au ridicule et l’affaire s’est soldée par une relaxe. Il n’empêche. Le harcèlement judiciaire d’une élue et cheffe de file politique a bien eu lieu.

    Celui qui se définit comme robespierriste ne connaît pas assez la vie, pleine de leçons, de son héros préféré : quand Danton est parti à la guillotine, il a crié, alors que la charrette passait devant Robespierre : « Tu seras le prochain ! » Il n'a pas lu, non plus, la célèbre œuvre de Mary Shelley : Frankenstein. Mélenchon découvre à ses dépens la censure qui vous empêche de tenir conférence dans une salle, les comités d’accueil hostiles et vociférants à l’entrée de vos interventions et la judiciarisation de vos opinions… tous procédés qui participent de l’agit-prop qu’avec ses amis il a inventée et longuement pratiquée.

    Il est de bon temps, à droite, sur les réseaux sociaux, de se découvrir soudain une âme de Voltaire - « je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais, etc. » Il est vrai que cette convocation de Mathilde Panot n’est ni opportune ni utile. On peut saluer la magnanimité et la grandeur d’âme de l’opposition. Mais on voudra bien nous pardonner : même si nous ne nous réjouissons pas de la convocation de Mathilde Panot, nous n'arrivons pas à en pleurer.

    Gabrielle Cluzel

    Sourcehttp://bvoltaire.fr


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