• Bataclan: Manuel Valls, François Hollande et le préfet de Paris doivent être placés en garde à vue.


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  • Thomas, 16 ans, tué au couteau lors de l’attaque d’une fête de village à Crépol (26) ; les assaillants viendraient d’une cité de Romans-sur-Isère (MàJ : un témoin évoque « des jeunes de cité qui plantaient les gens à l’aveugle »)

    (…) Hugo, 18 ans, a assisté, impuissant, au drame : « J’étais vers l’entrée et j’ai vu Thomas se faire planter un couteau dans le cœur et dans la gorge.

     Un hélico l’a emmené à Lyon, mais il y est passé malheureusement. Je suis choqué parce que c’était un collègue à moi, on a fait du rugby ensemble, on était au collège ensemble, et je l’ai vu mourir. Il y a eu une bataille entre les agresseurs et ceux qui ont eu le courage de leur faire face. »

    À la sortie de la cellule psychologique mise en place par la mairie, Anthony, 16 ans, raconte lui aussi l’agression qui a conduit à la mort de son ami : « Le bal se passait bien, il touchait à sa fin et les gens commençaient à rentrer chez eux. C’est à ce moment qu’ils ont commencé à attaquer. J’ai vu Thomas s’écrouler. Ça m’a traumatisé. J’étais à côté de lui, j’ai son sang sur mon pull. Ça s’est passé trop vite, je l’ai vu avec sa main sur son ventre, en train de mourir. Pourquoi lui ? »

    « C’était un bain de sang. Des jeunes de cité ont encerclé la salle des fêtes et plantaient les gens à l’aveugle. Le videur s’est fait trancher les doigts. On faisait un massage cardiaque à un jeune par terre. C’était le chaos », souffle Maxence, 18 ans, les yeux rougis. (…)

    Le Parisien


    X – @alliancenat_fr


    Sous le choc, avec la fatigue d’une nuit blanche, aucun ne veut s’exprimer devant un journaliste mais les commentaires vont bon train : « C’était des gars de la Monnaie », entend-on au fil des discussions. « Ils sont venus me demander à quelle heure finissait le bal », raconte une dame. « Ils attendaient à la sortie », ajoute un homme… Certains s’agacent : « Sur internet, c’est écrit une rixe ! Mais ce n’était pas une rixe, au bal, on ne voulait pas se battre ! »

    « Personne n’a été interpellé »

    Laurent de Caigny, procureur de la République, indique que l’enquête ne fait que commencer : « En effet, selon plusieurs témoignages recueillis pas les enquêteurs, il n’est pas impossible que les auteurs soient des habitants de Romans-sur-Isère, mais les investigations devront le déterminer, et actuellement, personne n’a été interpellé [dimanche vers 15 heures, NDLR]. »

    Le procureur reste d’ailleurs très prudent quant à la qualification des faits : « Selon les premiers éléments, il pourrait s’agir d’un règlement de compte. »

    Le Dauphiné


    Blessé à l’arme blanche, Thomas, un adolescent de 16 ans, a été mortellement touché. L’adolescent est décédé des suites d’“un coup de couteau” alors qu’il était en route pour l’hôpital de Lyon, ont indiqué le procureur de la République et les pompiers. 

    Deux autres jeunes hommes ont été transportés en urgence absolue par les sapeurs-pompiers vers l’hôpital de Valence. L’un d’eux, âgé de 28 ans, a reçu “des coups de couteaux au niveau du thorax”. Le second est âgé de 23 ans. Une troisième personne, d’abord déclarée en urgence absolue, a vu son état s’améliorer. Six autres personnes ont été blessées en périphérie du “bal de l’hiver” qui rassemblait 350 personnes. 

    France 3


    Dans la nuit du 18 au 19 novembre, alors que 300 à 400 jeunes étaient réunis, des individus venus de l’extérieur ont pénétré dans la salle des fêtes du village de Crépol (600 habitants) dans la Drôme. Ils ont agressé de nombreuses personnes à l’arme blanche pour un motif encore indéterminé. Un adolescent de 16 ans est décédé et deux autres jeunes sont en urgence absolue. Au total, on compte 17 victimes.

    L’incompréhension domine ce dimanche matin, et le regard sur le monde se fait plus terne. « La commune et le comité des fêtes auront du mal à se remettre d’une chose pareille, réagit la maire de Crépol Martine Lagut, surtout dans un village rural. Les gens ne pensent pas à ça… Mais on vit à une époque difficile. On a l’impression que les choses bon-enfant n’existent plus… Ce n’est pas possible d’aller tuer des gens gratuitement ! Quelqu’un de censé ne peut pas raisonner comme ça ! Je me demande ce que ces personnes ont dans la tête. On a l’impression que ce sont des animaux sauvages. »

     « Une bande est venue pour tuer des gens. » Les mots de la maire de Crépol, Martine Lagut, sont forts. « Ils n’étaient pas venus pour s’amuser mais pour faire du mal. Ce drame endeuille une famille. Ce sont des enfants de 16-17 ans des villages alentours qui étaient là. Quand je pense à eux… C’est terrible. »

    La paisible commune de 600 âmes dans la Drôme des Collines a connu l’horreur au terme d’« un bal tout simple avec une sono, organisé par le comité des fêtes du village », témoigne Martine Lagut. « Pourtant tout s’était bien passé. Des parents étaient déjà venus chercher leurs enfants. Mais certains se sont trouvés au mauvais endroit et au mauvais moment. Ils partaient et ces jeunes sont arrivés avec des couteaux pour les agresser gratuitement. La bagarre ne s’est pas déroulée dans la salle des fêtes. Ils ont attendus à l’extérieur. Cela n’aurait duré que deux minutes, paraît-il. Heureusement que le service de sécurité privé était là. Un agent a d’ailleurs été blessé. Son intervention en a certainement préservé plusieurs. Mais les gens ont aussi été blessés psychologiquement. » […]

    Le Dauphiné


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  • Fraude au RSA, 80 € pour ouvrir un faux compte à la CAF et piller les aides !

     

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    Les fraudes sont massives, et personne ne veut voir, car cela permet d’acheter toutes les formes de paix sociale.

    Pourtant, la réalité, c’est que ce pays se fait piller, par des milliers de petits brigands et quelques centaines de très gros brigands.

    Vous pouvez prendre le temps de voir cette vidéo de Capital qui ne fait que « sortir » ce que tout le monde sait.

    Je vous passe les fausses cartes de sécurité sociale ou les retraités centenaires vivant dans des pays étrangers.

    Personne ne veut voir.

    Il s’en trouvera toujours pour expliquer doctement que le problème ce n’est pas la fraude des petits forcément gentils, mais celles des gros forcément méchants.

    Ma vision est assez différente.

    La fraude est l’affaire de tous.

    Même petit, rien ne justifie la fraude au RSA. Rien. C’est inexcusable.

    La morale et l’éthique doivent être l’affaire de tous.

    L’intégrité économique est essentielle.

    Elle est un devoir et une obligation pour tous.

    Les petits comme les gros.

    Simplement comme les « gros » ont plus de responsabilité, ils doivent évidemment être irréprochables.

    Encore plus quand ils ont un mandat électif.


    Notre pays ne se tient plus, et nous avons atteint un nouveau stade de déliquescence.

    Enfin, il faudra un jour dire que verser des sommes à des gens sans contrepartie est malsain.

    C’est la différence exacte entre juste solidarité et l’assistanat malsain qui sévit dans notre pays où nous avons complètement dévoyé par démagogie l’idée même de l’aide.


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  • En catimini, l’Union Européenne en passe d’imposer la reconnaissance de la GPA .

    « Si vous êtes parent dans un pays, vous êtes parent dans tous les pays. » En 2020, dans son discours sur l’état de l’Union, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, promettait une reconnaissance de toutes les « parentalités » par les États membres de l’Union européenne. Trois ans plus tard, l’UE est en passe, avec son projet de certificat européen de filiation - ou certificat européen de parentalité -, de concrétiser cette promesse. Adopté le 7 novembre dernier par la commission des affaires juridiques, le texte doit être débattu le 11 décembre prochain (selon l’agenda prévisionnel) en séance plénière par le Parlement européen. Prétextant la liberté de circulation et les droits fondamentaux des enfants, ce projet, s’il est adopté, « obligerait tous les États membres de l’UE – même ceux qui condamnent la gestation pour autrui (GPA) – à reconnaitre de facto les GPA pratiquées à l’étranger », alerte le Syndicat de la famille (ex-Manif pour tous). Le mouvement appelait à une mobilisation transpartisane, ce 16 novembre à 19 heures, à Paris VIII, pour dire « non » à la GPA.

    Vers la légalisation de la GPA

    « S’il est adopté, ce texte aura de lourdes conséquences. Il entraînera de facto la reconnaissance de la PMA sans père, de la PMA pour personnes trans ou de la GPA, même pour des pays qui condamnent ces pratiques », alerte Ludovine de La Rochère, présidente du Syndicat de la famille, auprès de BV. Contrainte par la jurisprudence de la CEDH, la France doit, pour le moment, dans le cas d’un couple homosexuel commanditaire d’une GPA, reconnaître la filiation du père biologique de l’enfant. Son conjoint, après avoir fait signer un acte d’abandon à la mère porteuse, peut alors adopter l’enfant. Avec l’adoption du certificat européen de parentalité, la filiation serait automatiquement reconnue « quel que soit le mode de conception ou de naissance de l’enfant, quel que soit le type de famille de l’enfant et quelles que soient la nationalité des enfants et la nationalité de leurs parents ». En revanche, resteraient exclus de ce certificat les enfants dont la filiation a été enregistrée dans un pays tiers.

    Par ailleurs, ce texte bouleverserait les droits reconnus. À ce jour, un enfant né par GPA dans un État membre de l’UE ne peut bénéficier de l’ensemble des droits attachés à sa filiation. Seuls la liberté de circulation et le droit de séjour lui sont accordés. Avec ce texte, la reconnaissance de la filiation pour les enfants nés de GPA sera pleine et entière. Autrement dit, ils bénéficieront de la reconnaissance de leur droit de succession, des obligations de garde ou d’alimentation. Pour Ludovine de La Rochère, ce texte, en plus d'inciter à la GPA, « est une manière de faire avancer sa légalisation en Europe. Quand tous les parents commanditaires de GPA auront leur acte de naissance, ils diront que l’interdiction de la GPA par la France est hypocrite et alors nous seront obligés de la légaliser. » Pire encore, dénonce-t-elle, contrairement à ce qu’affirment les auteurs du projet, le certificat européen de filiation consisterait à « créer un état civil européen qui surplomberait les états civils nationaux, ce qui est contraire aux traités de l’UE ».

    Opposition des LR et du RN

    En mars dernier, le Sénat français s’est opposé à ce projet. Selon les sénateurs, le texte européen ne serait « pas conforme à l’article 5 du traité sur l’Union européenne » qui déclare que toutes compétences non attribuées à l’Union (à savoir la filiation ou la définition de la famille) appartient aux États membres. Par ailleurs, les parlementaires s’inquiètent du manque de clarté du texte. « L’imprécision de la rédaction nuit à sa lisibilité, écrivent les élus. Est-elle relative à la filiation, ce concept juridique clair établissant le lien entre un enfant et ses parents, comme l’affirme la version français du texte, ou, conformément à sa version anglaise, est-elle relative à la parentalité (parenthood), une situation de fait qui peut exprimer une simple volonté [...] sans pour autant que cette volonté s’accompagne d’une lien de parenté et d’effets juridiques. »

    François-Xavier Bellamy, député européen Les Républicains, a d’ores et déjà fait savoir que son groupe s’opposerait à ce texte. Le Rassemblement national, par la voix de l'eurodéputé Jean-Paul Garraud, a annoncé qu'il voterait contre. S’il est adopté par le Parlement européen, le texte devra ensuite être voté à l’unanimité par le Conseil. La Hongrie, la Pologne ou encore l’Italie devraient alors le refuser. Sans unanimité, la Commission proposera une coopération renforcée aux pays désireux d’avancer sur ce sujet. « Je crains que la France n’accepte cette coopération et adopte ce texte, nous confie Ludovine de La Rochère. Emmanuel Macron, s’il se dit opposé à la GPA, a poussé ce projet lorsqu’il siégeait à la présidence de l’Union européenne et n’a jamais empêché la France de travailler sur le sujet de la GPA à la conférence de la Haye. »

    Clémence de Longraye

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • La marche des faux culs

    Les mêmes politiques qui on crachait sur les Français d'Algérie et ils nous parlent de racisme et d'antisémitisme. HONTEUX !

    Gerard Larcher


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