• Générateurs diesel trouvés dans les éoliennes écossaises !

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    SILVANO TROTTA OFFICIEL

    Dans la société écossaise Scottish Power, plus de 70 éoliennes étaient alimentées par des générateurs diesel, écrit le britannique Sunday Mail.

    L'entreprise a été "trahie" par un de ses propres employés, qui a informé les médias d'une fraude "environnementale" similaire.

     L'entreprise a déclaré qu'elle était obligée d'utiliser la traction diesel pour faire fonctionner ses éoliennes en raison d'une « panne de réseau », sans expliquer à quelle fréquence ni dans quelle mesure ses énergies renouvelables sont alimentées au diesel.

     Scottish Power a déjà été accusé de dissimuler des actes répréhensibles en matière d'environnement. Les députés sont convaincus qu'on ne peut pas faire confiance aux entreprises énergétiques en matière d'environnement. Ce n'est pas le premier problème de « l'énergie verte » : le potentiel énergétique renouvelable de l'Écosse est utilisé à mauvais escient et l'on craint que de nombreux autres actes répréhensibles soient cachés. 

    C'est juste un exemple de ce qui ce passe à l'échelle mondiale avec cette fraude environnementale.


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  • Faut-il recoloniser l’Algérie ?

    [L’Agora]

     

    Sans vouloir, le moins du monde, fourrer mon nez en trompette dans le conflit entre Israël et le Hamas, je me permettrais de subodorer ceci : Une Palestine indépendante et islamique serait l’occasion pour le monde arabe de nous refiler deux-trois millions de migrants supplémentaires !

    Avec démographie explosive en prime pour ces 500 prochaines années. Car, bizarrement, dès qu’un pays arabe devient indépendant, ses ressortissants n’ont qu’une envie : faire la teuf akhbar pendant 15 jours, puis foutre le camp, si possible dans l’ancien pays colonisateur. “One, two, three, viva l’Algérie !” Mais “one, two, three, viva Ameli” surtout.

    L’Algérie ! Exemple  ! Indépendante le 05 juillet 62. Dès le 06, ils prenaient le bateau pour s’installer chez nous. A croire qu’on leur manquait ! Depuis, ils ont même élargi le périmètre et vont s’installer jusqu’au delà du cercle polaire ! Les pauvres Norvégiens ou Finlandais qui n’ont jamais colonisé personne, à part des pingouins, se ramassent des immigrés de l’Afrique entière ! Et doivent-ils se “repentir” eux aussi ? Parce que le décolonialisme, ça voit large ! Et surtout ça adore les Blancs ! Car les damnés de la terre ne vont jamais s’installer que dans les pays blancs ! Vous pensez que la Chine ou le Groenland des Inuits ont beaucoup de migrants, vous ? Bah non ! Les Blancs quitteraient l’Europe pour s’installer sur la lune que toute l’Afrique se percherait sur les lance-roquettes du Hamas pour profiter du voyage. Une vraie passion !

    Puisque les Africains, et notamment les Algériens, aiment tellement les pays dirigés par les Blancs, cela indique qu’il serait grand temps de recoloniser l’Algérie ! Bah oui ! A la suite de l’explosion dans le port de Beyrouth en 2020, les Libanais eux-mêmes avaient lancé une pétition sur internet pour demander le rétablissement du mandat français sur leur pays. De toute façon, à chaque fois que c’est le bordel dans ces pays sous-développés, ça chouine pour que “la communauté internationale s’implique”. En gros que les Blancs, Européens et Américains viennent remettre dans l’ordre dans la soue.

    Eh bien oui ! Pour ne plus être emmerdés par les querelles tribales et ne plus les voir se pointer chez nous,, nous n’avons qu’à les recoloniser. Oui ! Subito ! Ils veulent du Blanc ! De l’administration blanche. De l’économie blanche. Des téléphones blancs. Donnons-leur du blanc ! Mais attention, pour être en phase avec leur sensibilité, la France n’a qu’à nommer Jean-Luc Mélenchon comme gouverneur ! A la tête d’une équipe composée des meilleures canassons de la NUPES !

    Comme condition indispensable à la bonne réussite de la recolonie, la France métropolitaine se devra de transférer tous les pouvoirs judiciaires et policiers au nouveau gouvernorat d’Alger. Avec Corbière ou Bompard à la tête de la police ! Un communiste à la tête des forces de l’ordre, il n’y a pas meilleur choix ! Dans les pays communiste, il n’y a rien qui marche, sauf la police. Staline Touch ! Tu donnes des flingues aux LFI et tu les lâches dans Alger, tu vas voir le boulot. Là il ne sera plus question “d’abolir la police”. Parce que les cocos, ils ont ça de particulier c’est que quand ils sont l’opposition dans un pays capitaliste, ils veulent accueillir tout le monde. Mais quand ils sont au pouvoir dans un pays communiste, ils ne veulent laisser partir personne. Mur de Berlin et bateaux militaires à Cuba. Mélenchon et la NUPES au pouvoir à Alger, c’est zéro migrant garanti ! Sur l’Coran d’la Mecque !

    Donnons cette chance à l’Algérie et au Maghreb ! Offrons-leur l’administration LFI/NUPES puisque toute la Seine Saint-Denis a déjà des députés NUPES, ça ne devrait pas trop les changer…

    Et Mélenchon qui ne rêve que de ça d’être président de quelque chose : offrons-lui de rentrer dans son Maghreb fantasmé. Qu’il se les cogne les autochtones. Et mette en application la généreuse politique sociale LFI ! En mieux !  32h c’est encore trop, en Algérie ça sera 20h de boulot par semaine ! Et tous les ramadans ! Les Aïds ! Tout ! Fériés ! Mouton gratos ! Et les puits de pétrole du Sahara seront arrêtés parce que ça pollue. Yannick Jadot gèrera tout ça. Avec la Tondelier et la Rousseau. La recolonisation mais de gauche, ça ne pourra que leur être bénéfique aux Algériens. En même temps, ça peut difficilement être pire que le FLN.

    Après ça, on recolonisera tout ce qui reste de l’ancienne Afrique francophone. Gérée par le NPA et les Traoré. Le communisme appliqué au Mali, ça c’est un beau projet. Et réaliste !

    Le seul constat qui s’impose plus d’un demi-siècle après toutes les décolonisations est que tous ces pays, peuples, tribus, sont incapables de se gérer eux-mêmes. Même en leur envoyant Yannick Noah ! Mais, en même temps, ils passent leur vie à chercher le Blanc. Le maît’ ! Faisons leur plaisir et envoyons les meilleurs d’entre nous ! Pour notre part, nous n’aurons pas plus d’argent dépensé en administration directe qu’en “aide au développement” là-bas et en aides diverses ici. Et le plaisir de voir se barrer toute la NUPES jouer aux flics entre Alger et Bamako en passant par la Palestine, ça ça n’a pas de prix !

    Anne-Sophie Hamon

    anne-sophie.hamon@protonmail.com

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  • Radio France se prend les pieds dans son obsession anti-nazie

    Parfois, l’actualité, aussi horrible ou pesante soit-elle, permet d’éclairer certaines réalités que beaucoup trop ne voulaient pas voir ou refusaient simplement de croire.

    Cette fois-ci, le contexte général de la guerre israélo-palestinienne fournit l’occasion de mettre en exergue les talents d’un certain Guillaume Meurice, un des “humoristes” dont Radio-France achète les productions.

     

    C’est la magie du service public – payé par les impôts de tous : elle permet de nourrir un nombre improbable d’intermittents de l’intelligence et elle offre une tribune à toute une sélection de chroniqueurs à la plume affûtée comme du beurre chaud, que les auditeurs – bizarrement de moins en moins nombreux – découvrent chaque jour s’égayant sur les ondes pour raconter leurs âneries avec une application qui force l’admiration.

    Ainsi, prenant prétexte du conflit actuel au Proche-Orient, Meurice a tenté l’incursion dans l’humour, territoire dont il est pourtant étranger et dont les dangers, féroces lorsqu’on est sur une chaîne publique engluée dans des barils de bien-pensance lourde et collante, n’ont pas manqué de se manifester très vite : dressant un inventaire des costumes “pour faire peur” à l’approche d’Halloween, il a évoqué Netanyahou en le qualifiant de “sorte de nazi sans prépuce”

    Ce qui n’a pas manqué de faire réagir les quelques auditeurs encore présents sur la chaîne, dont certains ont même été suffisamment secoués pour s’en ouvrir auprès de la médiatrice. Cette dernière a contacté la direction, obtenant une réponse relativement gnangnan de la directrice de la chaîne.

    Eh oui : au-delà de l’évident constat, maintes fois posé, qu’on ne peut pas rire de tout avec tout le monde, il apparaît cependant assez évident qu’affubler un dirigeant israélien du qualificatif de nazi peut mener à plus que des haussements de sourcil.

    Cependant, pour avoir fait cette comparaison, Meurice, avatar moyen de ce que le service public produit de plus standard en matière d’Entre-Soi, n’a pas compris qu’il commettait une faute. En effet, de nos jours, tant dans les médias (qu’il soit de service public ou pas, d’ailleurs) que dans l’Hémicycle, on traite de nazi tout le monde sans arrêt et avec décontraction. À force, le mot n’a plus vraiment d’autre sens que “méchant de droite” voire “vilain pas beau qui n’est pas du même avis que moi”, tant il a été utilisé à tort et à travers par des gens dont la culture (notamment politique) est plus qu’approximative.

    En fait, les petites troupes “antifascistes”, les éternels excités d’extrême-gauche qui n’ont de cesse de l’employer pour qualifier tous leurs opposants sans la moindre distinction, les brochettes de commentateurs zélés de l’actualité adoubés par la Pensée Officielle Autorisée qui collent l’étiquette “Hitler” à chaque populiste (googlez “Trump is Hitler” ou “Bolsonaro is Hitler” pour deux minutes d’humour Meurice™) ont largement participé à rendre inopérant ce qualificatif pourtant précis – à tel point, d’ailleurs, que la plupart de ceux qui le distribuent avec gourmandise oublient qu’il comporte le mot “socialiste” dont ils se revendiquent en même temps et sans trembler.

    Et lorsqu’enfin, un des bouffons attitrés de Radio France commence à l’utiliser dans un contexte de guerre, avec tout ce qu’elle peut comporter d’événements horribles et de surcroît pour un dirigeant juif, cela ne peut déclencher qu’une certaine stupéfaction et ce d’autant plus que – et ce pauvre Meurice, mal outillé intellectuellement, ne pouvait guère l’appréhender – l’ensemble du service public oscille maintenant entre ses pulsions clairement antisémites et son absolu rejet de tout antisémitisme.

    Eh oui : paradoxe cruel que celui dans lequel l’extrême-gauche se vautre actuellement, où elle a toujours braillé, aussi fort que possible, être en pointe de la lutte contre le racisme, le fascisme, le nazisme, l’antisémitisme et tous ces autres “ismes” à l’exception du communisme ou du socialisme, et qui, en même temps et par son devoir indispensable d’ouverture aux autres et à un multiculturalisme millimétriquement contrôlé, doit aussi composer avec toute une foule de courants qui sont, eux, clairement antisémites.

    Or, ce sont ces individus, ces courants paradoxaux qu’on retrouve un peu partout dans la classe jacassante et donc inévitablement dans les fromages républicains, les médias publics en constituant l’un des plus crémeux. Il n’est qu’à voir les gymnastiques intellectuelles, véritablement olympiques, d’un nombre conséquent de gauchistes de la classe jacassante (élus ou non) pour comprendre le malaise déclenché par le faux-pas du chroniqueur. De même qu’il est assez difficile de concilier islam et progressisme sexuel occidental débridé à base de transidentité et autres manipulations de genre, il est très compliqué de faire de l’antisémitisme de combat avec des gens qui se sont ouvertement déclarés en guerre contre les Juifs.

    Ces constats et l’agitation qu’ils provoquent (enfin ! pourrait-on dire) permettent aussi d’oublier que les services publics, financés par l’argent de tous, devraient afficher une certaine pluralité des opinions et un minimum de respect des différentes sensibilités de leurs contribuables.

    Ce n’est pas le cas ni pour l’un, ni pour l’autre : sur les services publics, la plupart des opinions contrariantes n’ont plus droit de cité et ce, quelque soit le sujet. En pratique, les quelques débats qui ont encore lieu n’existent que dans un cadre extrêmement contrôlé ou la parole dissidente sera toujours systématiquement “contextualisée”, marginalisée voire ostracisée (un contrariant, de préférence timide voire empoté contre une demi-douzaine d’avatars de la Pensée Officielle Autorisée) et on trouvera de nombreux arguments en faveur de restrictions toujours plus grandes de son expression. Un seul son de cloches doit dominer.

    Quant au respect du contribuable, il a cessé depuis bien longtemps : les chrétiens servent par exemple régulièrement de punching-ball, et le mépris sans limite des intervenants pour la populace qui a le mauvais goût de s’entasser au-delà du périphérique parisien ne fait que s’ajouter à l’hémiplégie à gauche assumée des chaînes publiques. On se souviendra par exemple du même Meurice qui brocardait sans ménagement les commerçants pendant les confinements, ces derniers contribuant sous la contrainte au financement de celui-là même qui leur vomissait dessus.

    Non vraiment, pas de doute : ce qui se passe au Proche-Orient est abominable mais permet de rappeler à tous pourquoi les médias ne devraient jamais recevoir un centime de la part de l’État et pourquoi le gauchisme qui gangrène complètement les services publics est un anti-humanisme dans toutes ses facettes.

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