• Site internet de Génération Identitaire Lyon
     
    Après l'attaque de Villeurbanne, Génération Identitaire devant la Préfecture du Rhône
     
     
     
    «Protégeons les lyonnais, expulsons les clandestins»
     
    Alors que des militants identitaires venaient d’être condamnés pour avoir dénoncé le manque de contrôle aux frontières, samedi 31 août à Villeurbanne, Thimothy, jeune Français de 19 ans était assassiné par un clandestin Afghan.

    Une fois de plus, la jeunesse européenne se retrouve en première ligne face aux dangers de l’immigration massive, qu’elle soit légale ou illégale.Nous condamnons l’attitude irresponsable de nos politiques qui, par idéologie ou par lâcheté, ne protègent plus les Français et les mettent même sciemment en danger.
    Génération Identitaire Lyon prévient chaque élu et chaque association de la région, que pour chaque décision prise ou action menée en faveur de l’immigration dont les Français ne veulent plus, ils nous trouveront sur leur chemin.

    Nous ne laisserons pas des lâches ou des idéologues mettre notre jeunesse en danger !
     
     
     
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  • Crimes, violences et terreur : comment l’islam détruit l’Allemagne

      

    ISLAM, risque pour la sécurité : crime, violence et terreur – Comment l’islam menace l’Allemagne
    Le danger dramatiquement sous-estimé : l’islam et la violence.
    Documenté avec des données, des chiffres et des faits exclusifs.

    Publié le 6 septembre 2019 - par Julien Martel 

    L’auteur allemand de best-sellers et expert en sécurité Stefan Schubert a compilé une mine de faits que vous n’avez jamais vus auparavant. C’est une chronologie effrayante de la propagation de la criminalité, de la violence et de la terreur par l’Islam en Europe.

    Stefan Schubert brosse un tableau détaillé de la situation actuelle en matière de sécurité et convainc par ses recherches minutieuses.Ceci est vérifiable par tout le monde à travers environ 600 sources, statistiques et études.Certaines des informations générales proviennent directement du ministère allemand de l’Intérieur et de l’Office fédéral de la police criminelle.
    Les migrants musulmans commettent des crimes d’une ampleur sans précédent.Ceux qui dénoncent cela sont diffamés par le courant dominant de gauche, mis à l’écart et souvent ruinés professionnellement.

    Une lecture captivante pour tous ceux qui ont le courage de penser au-delà du courant dominant et de ne pas se laisser interdire de se forger une opinion libre et indépendante.

    Pour la première fois et en exclusivité, Stefan Schubert révèle que :Selon les statistiques du BKA, les réfugiés musulmans ont commis une vague de plus d’un million de crimes en seulement 4 ans en Allemagne !!!!!!!!
    En 2013, le Procureur général fédéral n’a engagé que 70 procédures pour terrorisme, mais en 2018, le nombre de ces procédures a atteint un nouveau record de 1300 !!!!!!!!!
     Saviez-vous, par exemple,

    – qu’il y a un mélange alarmant entre le milieu des migrants criminels et les terroristes islamiques ?

    – que le Bureau pour la protection de la Constitution ne peut pas contrôler de manière cohérente les organisations islamistes parce que la politique exige que l’AfD fasse l’objet d’une plus grande attention ?

    – que la chancelière Angela Merkel courtise les loups gris nationalistes et islamistes (Frères musulmans turcs) ?

    – que le gouvernement allemand coopère avec les antisémites musulmans ?

    – que des milliers de criminels de guerre musulmans ont immigré en Allemagne en tant que réfugiés ?

    – que tout débat sur l’islam est empêché par des campagnes de désinformation ciblées menées par les politiciens et les médias ?

    – que les clans arabes criminels apparaissent comme une mafia musulmane en Allemagne ?

    – que des hommes syriens et irakiens ayant l’expérience de la guerre ont depuis longtemps formé des clans criminels en Allemagne et sont actifs dans le crime organisé ?

    – qu’il y a une infiltration ciblée des autorités de sécurité par les islamistes et les clans arabes ?

    – que le ministère de l’Intérieur met en garde contre de graves troubles dans des publications secrètes ?

    – que les observateurs parlent d’une « guerre civile moléculaire » contre la population indigène par les immigrants musulmans ?

    Source : Kopp Verlag.

    Traduction : Julien Martel.

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  • AGRESSION



    Hommage à ceux qui sont intervenus samedi 31 août 2019 à Villeurbanne pour neutraliser un assassin.


    Il y a quelques années, je me suis trouvé particulièrement lâche face à une agression. C’était une agression verbale, aucun coup n’a été porté, mais c’était quand même violent. Cela se passait à la gare Montparnasse, j’attendais mon tour pour prendre un billet lorsqu’un jeune homme et une jeune fille se sont précipités au guichet. Lorsque l’employée de la SNCF leur a répondu que c’était trop tard pour un billet et qu’elle ne pouvait rien faire, ils se sont répandus en injures et sont repartis en courant laissant la jeune femme en larmes. Personne, moi compris, n’a bougé, ni dit quoi que ce soit, sauf piteusement à la femme agressée. Je me suis immédiatement trouvé lâche. A quoi servait-il d’avoir été formé pendant des années à affronter le feu des armes et rester comme un con? Je me suis alors juré que cela ne se reproduirait plus. J'y suis presque arrivé.
    En analysant rapidement les choses, je me suis rendu compte que j’avais été victime de quelque chose que je connaissais pourtant par cœur : la sidération face à l’apparition soudaine d’un danger. Le risque n’était pas immédiat pour moi mais il aurait pu le devenir si j’avais fait quelque chose, risque certain de se faire insulter, risque possible d’en venir aux mains. Je suis soldat, boxeur et rugbyman, j’ai pris des milliers de coups dans ma vie. C’était toujours déplaisant mais j’avais bien conscience que cette violence était toujours dans un contexte très normé et très encadré. Le combat de rue, c’est autre chose. Il m’était arrivé, plus jeune, de me battre « hors limites ». Je m’en étais plutôt bien sorti avec une bonne gauche mais surtout avec une forte dose de chance. Les choses auraient pu se terminer beaucoup plus mal. Malgré ma formation, je ne suis donc pas chaud du tout pour la confrontation physique et encore moins pour la confrontation verbale (je n’ai aucune répartie quand je suis énervé), je me mets donc à la place de ceux, la grande majorité, qui n’ont pas cette expérience.
    On le sait, face au danger on est immédiatement soumis à deux processus : le premier, très instinctif, mobilise le corps de manière « animale » ; le second plus « cortical », sans être toujours vraiment conscient, procède d’une analyse rapide de la situation : que se passe-t-il ? Suis-je apte à faire face à la situation et si oui que dois-je faire ? Tout cela demande d’abord de prendre conscience qu’il y a effectivement un « risque quelque part » pour soi ou pour autrui. Ce n’est pas toujours si évident que cela. Cela peut être insidieux, généralement à l’encontre d’une femme. Si c’est trop rapide, cela peut aller plus vite que le processus de décision ; si c’est trop lent, cela peut, sincèrement, ne pas être perçu. On peut aussi tirer de ces deux facteurs un prétexte pour ne rien faire (« je n’ai pas eu le temps de réagir », « je n’ai pas vu » ou encore « je n’ai pas vu que c’était grave »). Au bout du compte, l’agression est passée et personne n’a bougé.
    Maintenant, les choses peuvent aussi être très visibles (quitte à les rendre visibles « en parlant », on y reviendra) et durer. Pourquoi ne bouge-t-on pas alors ? Plusieurs facteurs peuvent jouer. Le premier est l’excès de stress. Les deux processus évoqués plus haut peuvent se renforcer pour aboutir à une paralysie de la décision, voire à une paralysie tout court jusqu'à s'offrir en victime immobile. Tout cela est valable pour les témoins comme, avec encore plus d'intensité, pour la victime. Dans les deux cas, la montée aux extrêmes plus ou moins contrôlée fractionne les individus en quatre catégories : ceux qui font effectivement et malgré tout quelque chose, ceux qui voudraient bien faire quelque chose mais qui ne savent pas quoi, ceux qui ne voudront rien faire de toute façon sinon fuir (« ce ne sont pas mes affaires », « je ne veux pas d’ennui ») et les paralysés.
    Cette répartition est également influencée par plusieurs paramètres. Le premier et sans doute principal est le rapport de forces. S’il a y plusieurs agresseurs et non un seul, si le ou les agresseurs sont armés, le stress généré sera évidemment beaucoup plus important. Le second est le lien entre les individus présents. Si la personne agressée est entourée de sa famille ou même simplement d'amis, il est fort à parier que les réactions ne sont pas tout à fait les mêmes que si personne ne se connaît. Le groupe constitué (qui peut être un couple ou une fratrie) introduit aussi des responsabilités. Le parent, le chef, etc. seront par exemple plus particulièrement incités à agir si un proche est attaqué. Le groupe lié perdurera également après l’agression et chacun de ses membres devra, même tacitement, répondre de son comportement avec bien plus de forces que pour des anonymes qui se séparent. Dans un groupe d’inconnus, la responsabilité d’agir se dilue, elle peut même se reporter sur les autres (« ceux qui sont plus près », « les hommes », « les plus costauds », etc.). 

    En fait, plus ce groupe est important est moins on est incité à intervenir. On appelle cela « l'effet spectateur ». Tout le monde attend que le voisin agisse ou au moins qu'il appelle la police et, finalement, personne ne fait rien. Notons ce dernier point, l’appel à la police est évidemment indispensable (et d’autant plus facile que presque tout le monde est équipé de téléphone portable) à condition que dans le stress on se souvienne qu’il faut faire le 17 ou le 112 mais il sert aussi parfois de prétexte pour ne pas agir soi-même soi-même (« c’est le boulot de la police ! ») pendant les minutes d’attente. Nous avons sans doute trop tendance en France à avoir tendance à tout attendre des services de l'Etat, dont la sécurité est effectivement la mission première, tout en constatant qu'il se donne de moins en moins les moyens de le faire.
    Alors que faire ? Tout se joue entre ceux qui veulent plus ou moins agir. Si on se retrouve face à une attaque terroriste avec un commando équipé de fusils d’assaut, pas grand-chose à faire (à moins d’être armé soi-même) sinon fuir (en aidant ceux qui n’y parviennent pas). Maintenant, si on ne peut plus fuir la seule solution est de combattre. Le rapport de forces est défavorable, mais vous aurez quand même plus de chances de survivre ou de faire vivre ceux que vous aimez que si vous ne faites rien. N’oubliez pas, élément essentiel : le ou les agresseurs sont également soumis au stress, surtout si c’est « le ». Le 8 janvier 2015 à Montrouge, un homme désarmé a fait fuir Amedy Coulibaly, pourtant surarmé et le 21 août Ayoub El Khazzani a été maîtrisé par des hommes également désarmés. Dans les deux cas, les terroristes on a eu du mal à manipuler leurs armes, typique d’un stress intense. Le 1er octobre à Marseille, comme plusieurs autres attaques, l’agresseur était armé d’une arme blanche, un couteau (mais cela aurait pu être un marteau). C’est évidemment dangereux, et la fuite est là encore la meilleure solution, mais le combat, surtout si on est plusieurs, est aussi plus facile. Une femme a utilisé une hampe de drapeau pour tenter d’arrêter Ahmed Hanachi. Peut-être, mais je m’avance ne connaissant pas exactement ce qui s’est passé, qu’à plusieurs, avec des projectiles ou des armes de fortune, il aurait peut être été possible de l’arrêter avant l’arrivée des soldats de l’opération Sentinelle ou des policiers. En réalité, dans la gare la majorité des gens a fui, sans même savoir ce qui se passait. Ils étaient dans la catégorie « je veux agir mais je ne sais pas quoi faire », ils ont donc imité le premier modèle qui s’est présenté à eux, à l’occurrence des gens qui fuyaient. Notons au passage que c’est aussi le même phénomène qui amène les lynchages et les horreurs collectives.
    En fait, la première des armes des victimes et des témoins est la parole. Rappelez-vous, beaucoup de témoins sont prêts à agir…à condition qu’on leur dise de le faire car ils sont dans une situation où ils attendent des ordres ou un modèle. J’ai été témoin d’une agression d'un vieux monsieur par un malfaisant costaud. L’action était assez loin de moi et les gens autour de la victime ne bougeaient pas, il a suffi que je les regarde en disant « vous, vous et vous venez avec moi » pour les faire agir et faire fuir l’agresseur. Un personnage très important est le n°2. Avec l'arrivée à vos côtés d'une deuxième personne, la probabilité de formation d'un « groupe d'intervention » augmente en flèche. Je suis persuadé qu’il suffit (facile à dire, il est vrai) qu’une personne agressée dise « Cet homme m’agresse, aidez-moi » pour que ceux qui ont un minimum d'honneur (oui, une valeur qui mériterait d'être remise au goût du jour) interviennent. L'intervention peut d'ailleurs se limiter parfois à un ordre intimé à l'agresseur (vécu à trois reprises, avec un peu d'étonnement). C’est évidemment plus facile si on a établi un bon rapport de forces. L’homme de 100 kg (ce qui n'est pas mon cas) est évidemment avantagé mais deux de 50 kg peuvent faire l’affaire. 

    Rappelons au passage que le parquet peut poursuivre une personne qui serait volontairement restée passive lors d’une agression. C’est dans les faits assez rare (c’est difficile à juger). Rappelons aussi que les ripostes aux agressions doivent également être en proportion de l'agression. Beaucoup sont persuadés par ailleurs qu'ils seront forcément mis en tort dans un procès éventuel avec l'agresseur qu'ils auront agressé. Je crois que personne ne pense à tout cela sur le moment mais il serait bon quand même que l'Etat décrive ce qu'il en est réellement de toutes les suites judiciaires de ce genre d'affaires. 

    En résumé, les situations d’agression sont toujours compliquées à gérer mais cela est possible. La première chose à faire est toujours d’alerter la police et/ou de tirer un signal d’alarme (mais pas entre deux stations de métro) ou de demander à quelqu’un d’appeler la police (cas vécu d’arrivée sur un accident où personne n’avait surmonté sa sidération pour appeler les secours). Il faut ensuite gérer l’attente des forces de l'ordre et affronter la menace. Affronter la menace c’est inverser autant que possible le rapport de forces. C’est parfois simplement intervenir soi-même, c’est souvent plutôt agir en groupe et, s’il n’existe pas, le créer en parlant. La confiance est toujours le maître mot, confiance dans sa capacité à bien réagir (pas facile mais cela passe par une forme de conditionnement, de répétition de situation, éventuellement de préparation physique et technique en autodéfense réaliste) et confiance dans le fait que les autres interviendront forcément. Tout cela demande aussi un minimum de courage, une valeur qui mériterait là-aussi d’être un peu plus mise en valeur. L’époque que nous vivons en est peut-être l’occasion.

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  • Les épargnants européens volés de 160 milliards d’euros par an !



    Deutsche Bank et UBS critiquent l’impact des taux négatifs sur l’économie mondiale en générale et européenne en particulier. 
    Pour Christian Sewing Le directeur général de Deutsche Bank AG « il est peu probable que d’autres baisses de taux puissent aider l’économie. »
     
    Pour Sergio Ermotti, le patron d’UBS, « les banques européennes sont confrontées à une situation absurde ».
    Plus grave, « les taux négatifs nuisent aux systèmes sociaux et aux taux d’épargne ».
    Christian Sewing a conclu que les taux négatifs ne font que « diviser davantage la société en relevant les prix des actifs tout en punissant les épargnants européens qui paient déjà 160 milliards d’euros (176 milliards de dollars) par an en raison des taux d’intérêt négatifs ».
     
    Il est évident, que relancer l’économie c’est bien.

    Nous ne pouvons qu’être « pour » !
    Le problème c’est que si personne ne comprend pourquoi l’économie va mal et quels sont les facteurs sur lesquels il convient d’agir, nous ne sommes pas prêts à avoir la bonne politique.
    Nous n’avons pas un problème de quantité disponible de monnaie !
    Le problème n’est pas la quantité.
    Le problème c’est tout le reste.
    Il est tellement difficile de régler tout le reste, que l’on préfère jouer sur… la quantité de monnaie par tête de pipe !
    C’est une politique court-termistes et désastreuses également pour l’équilibre financier des banques dont le métier est de transformer l’épargne des uns, en crédits pour les autres, en gérant le risque !
    Quand l’argent n’a plus de prix, l’économie est morte, car le prix de l’argent est le prix maître qui règle tous les mécanismes économiques.
     
    Charles SANNAT
     
    Source Agence de presse américaine Bloomberg.com ici

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  • Quand la SNCF donne un billet de 50.000 € à Yves Cochet !

     
    C’est Le Point qui a levé cette ahurissante affaire : via son think tank, la SNCF a commandé à l’Institut Momentum d’Yves Cochet un rapport sur l’Île-de-France en 2050.
    Cette étude a été payée 50.000 euros, une bien modique somme, en somme.

    Le collapsologue Yves Cochet, ancien ministre de l’Environnement, est un apôtre de la décroissance et du retour à l’âge des cavernes.
    Si vous voulez vous marrer (il faut savoir prendre les choses au deuxième degré), je vous invite à prendre connaissance du rapport « Biorégions 2050, l’Île-de-France après l’effondrement ».
    Les plaisantes élucubrations de Laurent Gerra quand il imite Haroun Tazieff, c’est de la « bibine » à côté de ce qu’on peut lire dans cette étude.

    Exemples :
    « L’Île-de-France sera atomisée en plusieurs biorégions. Celles-ci résulteront de la simplification des systèmes alimentaires industriels qui va s’accélérer dans un avenir proche, en raison de l’interruption des chaînes d’approvisionnement extrarégionales et des effets du changement climatique. La localisation des Franciliens en sera bouleversée. Alors que les territoires ruraux de la région accueilleront 700.000 habitants supplémentaires, Paris et l’immense zone urbanisée qui l’entoure verront leur population divisée par deux. On assistera à un exode urbain massif. »
    Ou encore :
    « Les hypermarchés ont disparu, démontés pour récupérer le fer et l’aluminium. Certains centres commerciaux ont été transformés en serres de pépinières. Le périphérique a été couvert de verdure et transpercé de radiales cyclistes et pédestres qui conduisent aux biorégions limitrophes. La fin des moteurs thermiques, liée à la pénurie de pétrole et à des décisions politiques, a induit une atmosphère nouvelle. L’ozone atmosphérique et les microparticules ne polluent plus l’air. Les cyclistes peuvent pédaler sans s’étouffer. Mais les épisodes de chaleurs extrêmes interdisent encore la circulation sur de grandes distances par temps estival. »

    On y déclare même que les trajets sur de longues distances, impossibles en raison des trop fortes chaleurs estivales, seront effectués avec des véhicules hippomobiles !

    Pourquoi pas tirés par des chameaux et des dromadaires ?

    Tout cela serait comique s’il ne s’agissait pas d’argent public.
    La SNCF verse 2 millions d’euros par an pour le fonctionnement de son think tank « Forum Vies Mobiles » pendant que les trains déraillent et que les ponts de chemin de fer menacent ruine.
    Mais, après tout, qu’est-ce que 50.000 euros pour une société dont la dette a atteint 55 milliards, dont l’État a repris 35 ?

    Une paille, la limaille de fer d’un rivet usagé…

    Mais il y a de quoi se demander qui déraille le plus.

    Patrick Robert

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