• Nice : Medhi, 22 ans, pénètre dans un commissariat et en ressort armé et habillé en policier, puis rentre chez lui ; il a été condamné à 6 mois sous bracelet électronique Jeanne .

    Dimanche soir à Nice, un jeune homme s’est introduit dans la caserne Auvare, a dérobé du matériel policier et filé. “Je voulais aller en prison”, justifie ce prévenu déroutant face au tribunal.

    D’emblée, Christian Legay donne le ton. Mercredi après-midi à Nice, le président du tribunal correctionnel reste perplexe face aux faits reprochés à Mehdi, 22 ans. Dimanche soir, ce jeune homme sans histoire s’est introduit dans la caserne Auvare, a dérobé du matériel, y compris arme et munitions, avant de ressortir vêtu en policier, sans être inquiété.

    […]

    Et voici donc Mehdi à bord du tramway, vêtu comme un policier. Direction l’appartement familial, dans le quartier des Moulins, côté opposé de la ville, à dix kilomètres de là. Sa famille, éberluée, le voit arriver dans ses nouveaux habits. “Ils ne voient que la tenue de police, pas tout de suite les armes, raconte Mehdi. Quand il les voit, mon père panique un peu. Il essaie de me les retirer.”

    […]

    Le tribunal s’en tient à juger l’affaire dont il est saisi. Et suit les réquisitions du parquet. Il condamne Mehdi à un an de prison, dont 6 mois avec sursis probatoire, le reste sous bracelet électronique. Pas question d’envoyer ce jeune homme en prison, où règne “la loi du plus fort”, où il “se ferait broyer”, l’avertit le président. Il lui interdit en outre d’exercer une fonction publique. Et de détenir une arme.

    Nice-Matin

    Fdesouche

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  • Ecole – Une infirmière traumatise des CM2 en expliquant : « une fille peut sucer le pénis du garçon et caresser les testicules »

    Selon un témoignage rendu publique par l’association Les Mamans Louves. Lors de la quatrième séance d’éducation sexuelle, qui a eu lieu le mardi 31 janvier 2023 de 9h30 à 10h30 dans une classe de CM2 de l’école des Ovides à Saint-Étienne, une infirmière de l’éducation nationale est intervenue pour la deuxième fois.

     Les élèves avaient apporté deux boîtes, l’une noire, provenant d’une autre classe de CM2, et l’autre bleue, celle de leur classe.

    Pendant l’intervention, l’infirmière a lu les questions de la boîte noire, qui comprenait notamment une question sur la signification de l’acronyme LGBT, mais elle est également allée plus loin en abordant la possibilité de changer de sexe et de prendre des médicaments pour bloquer la pousse des poils et de la barbe via des traitements hormonaux féminisants. Il convient de noter que les deux classes étaient regroupées pour ce cours de sciences.

    L’infirmière a expliqué que :

    « Pour le plaisir, une fille pouvait sucer le pénis du garçon et à l’inverse le garçon sucer le vagin de la fille et peut avaler quelque chose (mon enfant ne se souvient pas du terme exact mais lui s’imagine un ovule). Et toujours pour le plaisir, une fille pouvait caresser délicatement les testicules du garçon et que l’on pouvait faire le sexe par les fesses. » Lors de la séance, un enfant s’est bouché les oreilles, une petite fille a pleuré discrètement. Par honte les enfants n’ont pas osé en parler à leurs parents. Mais quand ils ont été interrogé, ils ont confirmé les dires de mon fils.

    L’infirmière a dit « il faut demander à vos parents de vous faire vacciner contre le papillomavirus » il m’a aussi parlé du sida, que c’était une maladie qui s’attrapait lors de rapports sexuels. Lors de la première séance mon fils était absent, par le biais d’un parent, j’ai su que son fils avait été choqué car l’acte sexuel avait été expliqué en détail soit disant pour expliquer comment on fait les bébés.

    Un parent avait envoyé un mail à la maîtresse de son fils (elle n’était pas présente lors de l’intervention de l’infirmière, c’était une autre maîtresse). Suite à ce mail l’enseignante a demandé aux élèves ce qui les avait choqué le matin même avec l’infirmière. Mon enfant a dit que « sucer » l’avait dérangé, la maîtresse lui a répondu en mimant avec ses doigts le geste. Un autre élève a avancé le changement de sexe, la maîtresse lui a répondu « On peut le faire mais ce n’est pas obligé mais des enfants veulent le faire car ils se sentent mal dans leurs corps« .

    Alors que la priorité pour l’école française du Ministre de l’Éducation nationale, Pap NDIAYE, semble être l’Éducation à la sexualité dès l’école primaire. L’association SOS Education a décidé de mettre le holà à cette violence des adultes envers de très jeunes enfants. Dans une lettre adressée au ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, l’association dénonce de graves dérives lors d’une intervention d’éducation à la sexualité en classe de CM2 :

    Les propos invraisemblables énoncés plus haut ne viennent pas de nulle part. Ce sont ceux rapportés par plusieurs enfants d’une classe de CM2, tenus par une infirmière de l’Éducation nationale, lors d’une séance «d’éducation à la sexualité».

    Séance à laquelle la maîtresse titulaire n’a pas assisté, et dont le contenu n’a jamais été présenté aux parents, comme l’exigent pourtant toutes les circulaires fixant le cadre d’intervention sur ce sujet éminemment sensible.

    Les enfants présents ont d’ailleurs exprimé explicitement leur sidération face à ce qu’ils entendaient : pleurs, mains sur les oreilles, refus de revenir en classe, refus de retourner en séance d’éducation à la sexualité, dégoût…

    Nous avons été mandatées par des parents des enfants victimes. De tels propos, quasi pornographiques, peuvent constituer un viol psychique, portant atteinte à la pudeur des enfants, compte tenu du jeune âge des destinataires, pré-pubères.

    L’association demande qu’une enquête soit diligentée face à cette situation gravissime où des enfants de CM2 sont en proie à la dérive des adultes qui veulent les sexualiser à tout prix.

    Retrouvez la lettre : Éducation à la sexualité : SOS Éducation interpelle Pap Ndiaye ! 

    lemediaen442.


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  • Immigration. Mais qu’est-ce que les Etats Européens attendent pour mettre tout le monde dehors ? [L’Agora]

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    Votes après votes, les populations européennes font savoir à leurs dirigeants qu’ils ne veulent plus d’immigration, qu’ils en ont ras le bol de voir de plus en plus d’immigrés dans leurs vies, sur leurs écrans, dans leurs journaux….« Mais ils sont français comme vouzemoi » vous répondra une féministe gauchiste avec son air grave. « C’est la couleur de peau qui vous pose problème, ayez le courage de le dire »

    Argument qui fait mouche, du fait notamment de la lâcheté des dirigeants des principaux partis dits « populistes » en Europe de l’Ouest. Ces derniers en effet blablatent des chiffres de l’immigration, des entrées, des sorties du territoire, mais ne distinguent nullement d’une part, les Européens, c’est à dire les hommes et femmes appartenant ethniquement à la civilisation européenne, et les autres.

    Tout comme le RN par exemple en France, « droit du sol oblige », n’envisage absolument pas de remettre en question le fait que des millions de Français aujourd’hui ne sont pas des autochtones d’Europe. Et qu’avec une démographie largement supérieure aux Blancs, le visage du pays changera totalement demain ethniquement comme celui du continent. Mais pour nos « chers » populistes hypocrites, du moment qu’ils ont des papiers français, italiens, espagnols, ou belges, ….ils sont « comme vouzemoi ».

    L’immigration est non seulement en train de totalement déstructurer nos sociétés (avec en parallèle un mouvement gauchiste d’auto-déconstruction, qui fait preuve d’une haine de soi assez sidérante), mais de les transformer en profondeur. La République française, pour ne citer qu’elle, est incapable par définition de savoir aujourd’hui combien d’immigrés clandestins sont sur son sol. Elle est incapable également de savoir, faute de statistiques ethniques, dans quelles proportions la population blanche historique de l’hexagone laisse peu à peu sa place à d’autres populations, africaines, arabes, asiatiques, dans des pans entiers du pays.

    Alors comment peut-elle prétendre avoir la maîtrise de la situation ? Le fait est qu’elle ne maîtrise plus rien. Comme les dirigeants britanniques ne maîtrisent plus rien. Ils ont brandi l’épouvantail du Brexit (et l’ont fait), alors même que leur île est colonisée par leurs anciennes colonies du fait des accords du Commonwealth. Mais sérieusement, gauchistes ou pas, vous êtes déjà allé faire un tour à Luton, à Birmingham, à Londres, à Manchester et sa banlieue ? Vous ne voyez pas que les Blancs y sont de moins en moins nombreux ? On ne vous demande pas de vous féliciter ou de condamner, mais c’est une réalité !

    Une réalité que nos élites cherchent toujours à nier, ou à minimiser, mais le réel est cruel. Les gens voient. Et croient ce qu’ils voient. Ils ne croient plus les fables des sociologues, des chercheurs au CNRS (qui vous expliquent sans honte qu’il n y a pas plus d’immigrés en France aujourd’hui qu’il y a un siècle, justement parce qu’ils ne font aucune distinction ethnique…puisqu’il n y a pas le droit d’en faire). Ils  ne croient plus au vivre ensemble. Ils voient tous les jours la rubrique des faits divers. Ils lisent. Ils entendent ce qu’il se passe et avec qui ça se passe très fréquemment.

    Ils ne sont plus dupes. Encore une fois, leur seul pouvoir aujourd’hui, ces citoyens à qui tout droit de contestation migratoire est refusé, villipendé, stigmatisé, diabolisé, c’est le vote. Et ils vous le disent à chaque fois de plus en plus nombreux : « On ne veut plus d’immigrés chez nous ! ». Bien sûr qu’ils veulent plus de services publics, des meilleurs salaires, de meilleures conditions de vie…Mais avant tout ils ne veulent plus d’immigrés dans le pays ! Et ils savent très bien aujourd’hui que l’argent qui est dépensé dans l’accueil, dans le social, dans l’accompagnement, dans la formation, n’est pas l’argent qui est dépensé pour les autochtones. L’argent qui est dépensé dans la répression de la délinquance n’est pas l’argent qui est dépensé pour les autochtones. L’argent qui est dépensé pour subventionner ceux qui entretiennent toute l’année les vocations migratoires, n’est pas l’argent qui est dépensé pour les autochtones. On continue la liste ?

    Oui on sait. Les immigrés ont libéré le pays par centaines de milliers. Ils ont construit la Tour Eiffel, et même sans doute le château de Dinan. Ils ont tout appris aux méchants Blancs que nous sommes. Nous leur devons tout. Les mathématiques, la langue bretonne, La Joconde, le fromage à raclette, le biathlon ! Mais on s’en moque de tout cela. Nous savons toutes les richesses, toute la magie et les joies du mélange et de la mixité que nous avons à perdre en stoppant l’immigration. Nous, peuples d’Europe, voulons simplement vivre entre nous, sur nos terres ancestrales, et sans subir quotidiennement les conséquences de l’immigration.

    Alors messieurs les dirigeants Européens, nous vous le demandons encore une fois (n’entendez vous pas la colère qui gronde, celle d’un peuple qui n’a pas envie de mourir ?).

    Prenez six mois, un an pour mettre tout ça en ordre et que cela rentre dans le budget. Travaillez avec les compagnies aériennes ou réquisitionnez les. Mettez vos armées au service de leur peuple. Rassemblez tout ce beau monde, en commençant par vider les prisons, et par arrêter tous ceux qui sont déjà fichés comme indésirables sur nos territoires. Cela fera déjà beaucoup de places et d’argent économisé pour les nôtres. Mettez les dans des avions, de gré ou de force. Et ramenez les en Afghanistan, en Syrie, en Afrique, où vous voulez, ça n’est pas notre problème. Quoi qu’il leur arrive. Ils ont fauté ici, leur avenir n’est plus notre affaire. Faites un bras d’honneur aux juges, aux administrations, aux associations (ou envoyez leurs responsables avec leurs protégés) et surtout à leurs pays d’origine, qui devraient craindre de nous refuser quoi que ce soit…

    Changez les constitutions, rompez les traités s’il faut, renversez la table, faites ce que vous voulez. Mais dégagez-nous tout ça !

    Et proposez ensuite, sympathiquement (et même pourquoi pas financièrement, puisque cela reviendra de toute façon moins cher au pays), à tous ceux qui le souhaitent, et qui vivent pacifiquement sur nos terres, de pouvoir découvrir, redécouvrir, et contribuer au développement et à la construction de leurs terre ancestrale, de leur nation, de leur peuple, de leur continent.

    Il est temps de sauver notre civilisation.

    « On se parle, on échange des bonjours et des Salem Aleikoum, on tape cinq, on rigole parfois, mais sinon, chacun chez soi, et les moutons seront bien gardés »

    Julien Dir

    Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

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  • En Irlande, vent de révolte contre l’immigration de masse

    #IrishLivesMatter (La vie des Irlandais compte), #Irelandisfull (L’Irlande est pleine)… Depuis plusieurs semaines, des Irlandais battent le pavé pour protester contre l’arrivée massive de migrants dans leur pays. Après les villages français de Callac, Bélâbre et Beyssenac, le vent de révolte contre la submersion migratoire gagne progressivement l’Irlande.

    Des centres saturés et des Irlandais à la rue

    Longtemps terre d’émigration, l’Irlande se découvre depuis peu une nouvelle vocation : l’accueil de migrants. Un coup d’œil sur les statistiques de l’année écoulée révèle l'ampleur du phénomène. Sur les six premiers mois de l’année 2022, les demandes d’asile ont explosé (+200 %). Une tendance qui, certes, s’observe partout en Europe, mais dans des proportions bien moindres (environ 25 % d’augmentation dans le reste de l’Union européenne). Ainsi, outre les 74.839 réfugiés ukrainiens accueillis depuis l’invasion russe en février 2022, l’ile d’Émeraude a également ouvert ses portes à plus de 13.000 demandeurs d’asile en 2022, contre seulement 2.700 l’année précédente. Du jamais-vu depuis près de vingt ans !

    Conséquence inévitable de cette vague massive d’arrivées, les centres d’accueil ont été rapidement saturés. Déjà mis en pause en octobre 2022, le Citywest Transit Hub, principal sas d’accueil des migrants dans la banlieue de Dublin, a été contraint de fermer à nouveau ses portes aux nouveaux arrivants, à la fin du mois de janvier dernier. Le gouvernement irlandais s’est alors mis à réquisitionner des chambres d’hôtel, des gymnases et tous autres bâtiments inoccupés pour loger ces migrants. Mais faute de places, l’exécutif a finalement dû demander, le 24 janvier dernier, « à tous ceux qui considéraient trouver refuge en Irlande et qui se trouvent en lieu sûr de ne pas voyager vers l’Irlande en ce moment […] Cela est dû à une grave pénurie de logements disponibles. »

    La situation est d’autant plus critique que le pays traverse depuis plusieurs semaines une crise aiguë du logement et de l’immobilier. Record du nombre de sans-abri – environ 12.000 personnes, dont 30 % d’enfants en logements d’urgence -, explosion des loyers, manque de logements… Nombreux sont les Irlandais, à l’instar de la députée conservatrice Carol Nolan (Sinn Féin), à s’interroger sur les capacités de l’État « à fournir des logements à ses propres citoyens à la lumière de l’énorme augmentation de l’immigration ».

    Une hausse de la contestation

    Dans un pays gouverné par une alternance de centristes, la question de l’immigration a souvent été reléguée aux débats secondaires. Mais la crise du logement associée à des rumeurs sur de supposés viols et agressions commis par des réfugiés semble changer la donne. Aujourd’hui, ce sont ainsi 56 % des Irlandais qui considèrent qu’il y a « trop de réfugiés » sur leur île. Une majorité de l'opinion qui compte bien faire entendre sa voix. Comme le soulignent les services de police locaux, jamais l’Irlande n’avait connu autant de manifestations que ces dernières semaines. Or, « une grande majorité » de ces rassemblements est organisée « contre l’immigration ». Dublin, Mullingar, Lismore, Mallow… partout dans le pays, des Irlandais se rassemblent pour demander un arrêt de l’immigration massive. Le 7 février dernier, à Dublin, 2.000 manifestants ont marché derrière une pancarte « L’Irlande est pleine à craquer ». Plus récemment, le 24 mars, une poignée de militants ont tenté d’empêcher l’arrivée d’un bus de demandeurs d’asile dans un centre de Mullingar, au centre du pays. Deux jours plus tard, d’autres manifestants, réunis derrière le slogan « Pas de passeport, pas d’entrée », ont réussi à bloquer l’aéroport de Dublin pendant quelques heures. Ces manifestations et blocages, débutés en novembre dernier, devraient continuer à se multiplier sur le sol irlandais.

    Mais dans un pays où les partis patriotes peinent à exister, le gouvernement semble faire la sourde oreille. Seul le Sinn Féin, parti ouvrier anti-élites, pourrait essayer de tirer son épingle du jeu en traitant de ce sujet pour enfin accéder au pouvoir. Mais se saisira-t-il vraiment de la thématique migratoire ? Rien n’est moins sûr…

    Clémence de Longraye


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