• Agressions sexuelles : au tour du Mao des plateaux Gérard Miller…

    GerardMiller.jpg

    On en apprend de belles sur le petit milieu gauchiste moraliste, on va ouvrir un catalogue des pervers sexuels à force !

    C’est au tour du commissaire politique Gérard Miller de passer au tourniquet japonais, même s’il était plutôt adepte du chinois.

    Il aurait profité de son statut de charlatan du divan pour abuser de jeunes filles, comme un vulgaire Depardieu !

    https://twitter.com/i/status/1752577647027093834

    Devant ces accusations il a diffusé un démenti, admettant cependant qu’en effet il pouvait y avoir malcomprenance.

    Ainsi, si les filles étaient nues, c’était pour une meilleure interaction des fluides dans le cadre d’une expérience scientifique au service de l’édification du socialisme.

    N’y a-t-il pas plus beau geste que d’offrir son corps pour l’émancipation des peuples et le genre humain !

    Même s’il n’en parle pas, on ne peut exclure qu’il faisait aussi passer des auditions pour un film érotico-révolutionnaire dénonçant la société oppressive patriarcale réactionnaire, hélas le projet n’a pu aboutir.

    Le Mao des plateaux était tranquille jusqu’ici, il pouvait éructer et dénoncer le fascisme et le sexisme qui rôdent partout avec l’assentiment de toutes et toutes.

    https://twitter.com/i/status/1752862352435794302

    Dans le cadre de ce combat de tous les instants, il avait même soutenu une association destinée à libérer la parole des femmes…

     « Parler » est une association d’entraide pour les femmes victimes de violences sexuelles. Solidarité, bienveillance et échange sont les lignes directrices de son action. La soutenir est une nécessité ! »…

    Il ne peut que se féliciter de la réussite du projet, il a été entendu et voilà qu’à 75 ans, alors qu’il pouvait couler une retraite bien méritée après tant d’années au service des damnées de la Terre, que des accusatrices se sont réveillées. Il leur a fallu plus de 20 ans, le temps que le charme ensorceleur de ce Mabuse de la révolution prolétarienne se dissipe.

    Parmi elles nous trouvons l’animatrice télé Muriel Cousin, silencieuse jusqu’ici elle déballe tout, comme elle le fit devant le commissaire politique du 7e dans les années 90.

    On va dire que c’est parole contre parole, qu’elle affabule, mais son ex, le crasseux humoriste atalentueux Stéphane Guillon a confirmé ses propos.

    Et là on constate toute la duplicité gauchiste, eux si prompts à dénoncer Betty Monde à la moindre occasion sont restés silencieux durant ces années, on en connaît la raison, ça aurait pu faire le jeu de kivousavé. Donc ce faisant, ils se sont rendus complices des méfaits de l’entreprise criminelle du prédateur sexuel en col Mao, présumé je précise.

    Combien durant ces années d’autres filles innocentes sont tombées dans ses filets ? Alors que tout ceci aurait pu être évité si Muriel et ses copines d’infortune avaient parlé le moment venu ; mais elles avaient leur carrière à gérer et le crasseux Guillon aussi.

    Désormais on attend la réaction des pétitionnaires fémino-gauchistes…

    Paul Le Poulpe


    votre commentaire
  • Peut être une image de texte qui dit ’Bonjour Je m'appelle Ducon et j'ai voté macron pour éviter le CHAOS RÉUNION DES CRÉTINS ANONYMES’


    1 commentaire
  • Peut être une image de 1 personne et texte


    votre commentaire
  • Quitter l’euro !

      Par Jean Goychman –
    C’est en 1992 que le piège tendu de longue date s’est refermé sur la France. Après une campagne longtemps indécise, les partisans de l’euro l’ont finalement emporté. La mise en place de cette monnaie « idéalisée » s’est pourtant faite en dépit du bon sens et nombre de personnalités avaient pourtant mis en garde contre les dangers qu’une telle monnaie allait faire courir à l’ensemble de notre économie. Pour apporter une réponse rassurante, un certain nombre de « garde-fous » avaient été mis en place, histoire de dire « Dormez tranquilles, braves gens, nous avons tout prévu… »On voit aujourd’hui qu’ils ne valaient pas tripette, puisque inapplicables. Qui se souvient encore des fameux « critères de convergence » de Maastricht ? Oubliés depuis longtemps bien que gravés dans le marbre des traités… 
    Petit retour historique

    En 1763, Benjamin Franklin commença son périple européen par l’Angleterre. Interrogé par le gouverneur de la Banque d’Angleterre (créée en 1694), il répondit que la prospérité des colonies américaines venair de l’utilisation de leur propre monnaie (local scripts) pour les besoins de leur commerce et de leur industrie, qui se trouvaient ainsi financés sans payer d’intérêt à quiconque.

    Le gouverneur trouva cela anormal et fit en sorte que l’emploi de la monnaie anglaise soit obligatoire dans ces colonies dépendantes de Sa Majesté.

    Voici ce qu’écrit Hong Bing Song dans « la guerre des monnaies »:

    « Ainsi, en 1764, ils imposèrent au Parlement britannique l’adoption du Currency Act, interdisant aux colonies d’Amérique d’émettre leur propre monnaie ; les gouvernements locaux devaient, en sus, continuer de s’acquitter de leurs impôts en devises-or et argent envers le gouvernement britannique.

    En seulement un an, la situation s‘est inversée, les temps prospères sont révolus, la récession économique s‘est répandue dans les rues où le chômage sévit. {48} Ecoutons Benjamin Franklin parler douloureusement des graves conséquences de cette loi sur l’économie des colonies :

    Si l‘Angleterre n‘avait pas privé les colonies du droit d‘émission de la monnaie, créant ainsi du chômage et du mécontentement, leurs membres auraient été heureux d‘ajouter une petite taxe sur le thé et d‘autres produits. L‘incapacité des colons à être investis du pouvoir d‘émettre leur propre monnaie, en s‘affranchissant de façon permanente de Georges III et des banques internationales, est la principale raison de l‘éclatement de la guerre d‘indépendance américaine. »

    Ceci aurait dû faire réfléchir les inconditionnels de l’euro. Mais ils n’en avaient cure. Depuis le départ avec le dollar AMGOT, il fallait imposer une Europe « fédérale » et faire une monnaie unique pour tous les pays européens était une priorité absolue, et peu importe qu’elle soit inadaptée à la plupart de ces pays. Il fallait, un point, c’est tout. On allait quand même pas, lorsqu’on veut diriger le monde, se préoccuper des peuples… 
    Le danger était parfaitement connu

    Dans sa « théorie des zones monétaires optimales », Robert Mundell énonce un certain nombre de conditions préalables nécessaire pour créer avec de bonnes chances de succès une zone monétaire

    regroupant plusieurs pays. Elles peuvent se résumer de la façon suivante :

    L’opportunité ou non d’adhérer à une union monétaire s’apprécie donc à la lumière des critères élaborés par la théorie et que l’on peut résumer ainsi :
    • Importance des chocs symétriques.
    • Efficacité des mécanismes d’ajustementCaractéristiques structurelles des économies
    Mundell distingue un premier cas, dans lequel les taux de change sont flexibles, d’union monétaire. En cas de chocs asymétriques, si la demande se déplace d’un pays vers un autre, elle va entraîner l’apparition de chômage dans le premier pays et d’inflation dans le second. Une dévaluation de la monnaie dans le pays touché permettra alors un rééquilibrage de la situation.

    Dans les conditions où une dévaluation de la monnaie ne sera pas possible, seule une mobilité des facteurs à l’intérieur de l’union monétaire plus forte qu’à l’extérieur permettra de contrebalancer l’absence de taux de change flexibles. Par ailleurs, Mundell affirmait également l’importance d’une réelle détermination politique dans la construction réussie d’une union monétaire:

    On notera en particulier :

    « Dans le monde réel, bien sûr, les monnaies sont principalement l’expression de la souveraineté nationale. La réorganisation monétaire ne sera donc possible qu’à la condition de s’accompagner de changements politiques profonds. » 

    La zone euro répond-t-elle à ces critères ?

    Non, elle n’y répond pas pour beaucoup de raisons. La première et la plus importante est qu’il n’y a ni fiscalité commune, ni règles sociales identiques. Ensuite, les économies des pays de la zone euro sont très disparates et ces pays sont souvent concurrents entre eux alors qu’ils auraient dû se spécialiser dans certains domaines afin d’optimiser la production. Quant aux changements politiques profonds, ils ne se sont jusqu’à présent traduits que par une avalanche de normes et de réglementations qui, à défaut de faire converger ces économies, n’ont réussi qu’à exacerber une concurrence résultant des différences de charges sociales et d’impôts propres à chaque pays.

    Même si, au départ, on aurait pu croire qu’en raison des critères retenus, les choses allaient s’uniformiser et que, dans le type monnaie (dettes émises par les Etats contre intérêt payés) les taux d’emprunt de chaque pays allaient converger vers un taux unique, la crise des subprimes de 2008 a vite démontré le contraire.

    L’euro a, de fait, favorisé les économies fortes et handicapé les faibles. Les économies fortes auraient dû voir leur monnaie se réévaluer naturellement alors que les autres auraient dû se dévaluer, leur procurant ainsi un avantage compétitif qui aurait rééquilibré les choses. Ce rêve a vite disparu et laissé la place à une réalité que nous constatons à chaque instant. Les économies fortes de la zone se renforcent en permanence alors que les faibles continuent à s’affaiblir.

    Ne pouvant pas dévaluer pour regagner de la compétitivité afin de faire repartir notre production, les pouvoirs publics ne peuvent que distribuer, lorsque la pression sociale monte, que subventions et allègements de charges dont les effets délétères accentueront encore, à terme, ces phénomènes.

    Nous avons déjà perdu l’industrie textile, l’industrie mécanique est en régression constante et notre agriculture s’effondre. Jusqu’où allons nous glisser sans réagir ? Nos dirigeants sont-ils prêts à sacrifier l’économie de notre pays pour que la fédéralisation de l’Europe se poursuive quel que soit le coût ? Ils ont déjà sacrifié l’esprit de nos institutions en escamotant le référendum de 2005 qui, justement, portait sur le fédéralisme européen et semblent bien déterminés à aller jusqu’au bout, alors qu’il est plus que temps de quitter l’euro, même si cela ne peut se faire qu’en quittant l’Union Européenne car le traité de Maastricht ne permet pas de quitter l’euro seulement.

    C’est l’existence même de notre nation qui est en jeu.
     
     
    Source

    votre commentaire
  • Le rouge Gérard Miller accusé d’agressions sexuelles sous hypnose.

    Gérard Miller, auteur de Hypnose mode d'emploi, accusé d'agressions sexuelles sous hypnose

    Gérard Miller a longtemps pollué les plateaux de télévision et les studios de radios. Ce psychanalyste sévissait aussi en tant qu’écrivain, réalisateur, acteur de théâtre et de cinéma, ainsi que chroniqueur et éditorialiste à la radio et à la télévision française.

    Engagé à l’extrême gauche

    Né de parents juifs originaires de Pologne, Gérard Miller est le fils cadet de Jean Miller, médecin radiologue et de Eve Milecka, pharmacienne, et le frère du psychanalyste Jacques-Alain Miller. Il adhère à l’âge de seize ans aux Jeunesses communistes, puis à dix-sept ans à l’Union des étudiants communistes, mais, se retrouvant proche des positions du Parti communiste chinois, il est d’emblée en désaccord avec le Parti communiste français, lié, lui, au Parti communiste soviétique. Il rejoint donc le Mouvement communiste français marxiste-léniniste, puis l’Union des jeunesses communistes marxistes-léninistes (UJCML) et, enfin, la Gauche prolétarienne. Quelques décennies plus tard, en 2012, il soutient publiquement Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle. Un soutien réitéré systématiquement ensuite.

    Il devient maître de conférences en science politique à l’université Paris-VIII puis professeur au département de psychanalyse de cette même université. Il a également travaillé une quinzaine d’années à l’hôpital psychiatrique Esquirol (St-Maurice) et exerce dans son cabinet depuis la fin des années 1970.

    Omniprésent dans les médias

    Surnommé ironiquement par Libération le « divan marquis » et par L’Express le « psy rouge à paillettes », Gérard Miller a été chroniqueur de Laurent Ruquier à la radio dans Rien à cirer sur France-Inter, puis dans On va s’gêner sur Europe 1 et à la télévision dans On a tout essayé puis On n’a pas tout dit sur France 2. Il a été également chroniqueur dans l’émission Vivement dimanche prochain avec Michel Drucker, dans l’émission Jusqu’ici tout va bien aux côtés de Sophia Aram et l’émission On refait le monde de Marc-Olivier Fogiel. Il a par ailleurs écrit pour LibérationGlobe Hebdo, L’Événement du jeudi et L’Humanité.

    En 2017, il est l’un des trois cofondateurs de la web-télé mélenchoniste Le Média. La même année, il réalise un film de propagande qualifié de documentaire  Jean-Luc Mélenchon, l’homme qui avançait à contre-courant,  diffusé sur France 3.

    Accusations d’agressions sexuelles sous hypnose

    Mais c’est maintenant dans un autre registre que Gérard Miller revient à la une des médias : il est accusé d’agressions sexuelles et d’un viol sous couvert de séances d’hypnoses.

    Dans le magazine Elle de ce mercredi 31 janvier, plusieurs jeunes femmes racontent avoir été les victimes du psychanalyste Gérard Miller. Il aurait à chaque fois tenté de les hypnotiser avant de passer ses mains sous leurs vêtements, ce que l’accusé dément.

    La journaliste Muriel Cousin affirme qu’en 1990, alors qu’elle a 23 ans, elle se prête à une séance d’hypnose pour un article mais lorsqu’elle se réveille brutalement, elle voit le psychanalyste « passer sa main sur [s]on sexe, par-dessus [s]on pantalon ».

    Une autre femme raconte comment, en 2004, alors qu’elle avait 19 ans, il lui propose de faire « un jeu qu’il fait avec ses patients » qui se termine en attouchements.

    D’autres jeunes femmes, prévues comme comédiennes dans ses films, racontent qu’il leur a proposé des séances d’hypnose individuelles, durant lesquelles il les touchait à des parties intimes.

    Toutes les accusations font état d’un même mode opératoire : l’hypnose.

    Gérard Miller, qui n’a pas manqué durant des dizaines d’années de clouer au pilori ceux qui ne lui plaisaient pas sans le moindre sens de la nuance, se retrouve aujourd’hui dans la position de l’accusé, répétant partout démentir les faits incriminés

    Léo Kersauzie

    Source medias-presse.info


    votre commentaire