• Macron signera sûrement ce traité scélérat !

    Dans trois ans, Macron quittera l’Elysée mais restera comme le président le plus progressiste qu’on ait eu !

    Concernant les traités internationaux, ils signent tout ce qui se présente pourvu que cela aille dans le sens de l’européisme, du mondialisme et du progressisme.

    Il a signé le Pacte de Marrakech qui engageait la France dans la submersion migratoire. Il vient de récidiver avec le Pacte Asile et Migration de l’Union européenne et va, à coup sûr, ratifier le traité mondial sur les pandémies qui privera la France de toute souveraineté en matière de santé au profit de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

    C’est ce que dénonce cet article paru dans The EpochTimes qui alerte notamment sur les dangers de la main-mise de la Chine sur l’OMS :

    L’OMS en proie à un accord malin

    Quatre années se sont écoulées depuis l’apparition du Covid-19 et la mauvaise gestion mondiale de sa propagation. Aujourd’hui, les mêmes gouvernements et organisations internationales qui ont menti au sujet de la dernière pandémie négocient un accord mondial sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI) à l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

    Pourtant, le principal coupable n’a pas changé. Bien que la Chine n’ait jamais été tenue pour responsable de son refus de respecter les règlesjuridiquement contraignantes du RSI (l’OMS n’a pas de pouvoir de sanction pour les imposer) ou de son obstruction permanente à une enquête approfondie sur les origines du Covid-19, Pékin collabore désormais avec différentes administrations pour élaborer l’accord mondial sur les pandémies.

    Il va donc de soi que ce nouvel accord sert les intérêts de l’État-parti chinois. Les ébauches successives de cet accord se concentrent sur tous les domaines possibles – de l’envoi de l’argent de nos contribuables à l’étranger à l’affaiblissement des droits de propriété intellectuelle, en passant par le renforcement des pouvoirs de l’OMS au détriment de la souveraineté nationale des États. Oui, c’est cette même OMS qui n’a pas mis en place une équipe d’experts internationaux dans les premières semaines de l’émergence du Covid-19 en Chine (comme l’exige le RSI), capitulant au contraire devant le Parti communiste chinois et lui permettant de déterminer la réponse internationale à la pandémie.

    La dernière version de l’accord oblige même les parties de fournir une assistance financière et technique aux pays en développement. Bien sûr, les pays occidentaux ont une longue tradition d’assistance – le Plan d’aide d’urgence à la lutte contre le sida à l’étranger (PEPFAR) lancé par le président américain George W. Bush en est un bon exemple – mais cette assistance a toujours été volontaire et non obligatoire.

    Sans surprise, la Chine devrait profiter des nouvelles dispositions destinées à aider les pays « pauvres ». Bien qu’elle occupe la deuxième place dans l’économie mondiale, la Chine est toujours considérée comme un « pays en développement » et profite de dérogations liées à ce statut au sein des Nations unies, de leurs institutions spécialisées (dont l’OMS) et de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Ainsi, le pays à l’origine de la pandémie du Covid-19 ne subira non seulement aucune conséquence de ses actes mais, si les pays occidentaux signent l’accord sur les pandémies, il bénéficiera également de transferts obligatoires de fonds provenant des contribuables de ces pays.

    Le régime chinois profiterait également d’autres dispositions du nouvel accord qui incite les gouvernements à promouvoir une « production durable et géographiquement diversifiée » de produits liés à la pandémie (tels que les vaccins), à investir dans les capacités des pays en développement et à leur donner accès à la recherche exclusive. De plus, Pékin pourrait utiliser les « flexibilités » de l’accord sur les aspects commerciaux des droits de propriété intellectuelle pour passer outre les brevets et pour pousser les détenteurs de droits à réduire ou à renoncer à leurs redevances.

    La Chine, connue pour ses vols de propriété intellectuelle, ne manquerait pas de tirer profit de ces privilèges.

    Tout cela réduirait considérablement les investissements futurs dans la recherche en matière de santé – exactement à l’inverse de ce qui devrait se passer si nous voulons être prêts à faire face à une nouvelle pandémie. Et pour aggraver les choses, l’accord ignore presque totalement les nombreuses lacunes des procédures actuelles de réponse aux pandémies – telle que, par exemple, l’obligation des gouvernements à accorder un accès immédiat aux équipes internationales d’experts pour évaluer la menace de foyers suspects et à assurer une divulgation complète et en temps voulu des données génomiques.

    Bien entendu, la supervision de la production durable et géographiquement diversifiée des produits thérapeutiques, de dépistage ou des vaccins, ainsi que de leurs transferts et distribution aura un prix élevé. Le montant exact n’est pas précisé, mais il est certain que ce sera un montant à plusieurs groupements de trois chiffres.

    En outre, le nouvel accord porterait un coup dur aux droits à la liberté d’expression. Le désir des gouvernements d’utiliser la pandémie pour réprimer les idées et les opinions « non officielles » afin de « protéger » la santé et la sécurité publiques s’est avéré bien durable. L’accord demande aux gouvernements :

    de coopérer, conformément à la législation nationale, pour prévenir la désinformation et la mésinformation.

    La Chine et la Russie n’ont pas besoin d’être encouragées à censurer la parole. Cependant, une telle formulation dans un accord international encouragera ceux qui, dans les pays libres, souhaitent également supprimer les opinions « non officielles » sous prétexte de lutter contre la désinformation et la mésinformation.

    D’ailleurs, l’OMS elle-même semble offensée par les critiques. Au début de l’année, Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’OMS, a déclaré que les négociations de l’accord sur les pandémies se déroulaient dans un environnement très difficile, face à un « torrent de fausses nouvelles, de mensonges et de théories du complot ». Ironiquement, c’était le même argument que celui utilisé contre les conservateurs qui souscrivaient à la version de plus en plus crédible de la fuite de laboratoire.

    En résumé, le nouvel accord sur la pandémie devrait nous alarmer tous.

    Il est bien plus axé sur la redistribution des revenus, le transfert de technologies et l’affaiblissement des droits de propriété intellectuelle que sur la prévention, la détection et la réponse aux pandémies. Cet accord ne s’attaque pas à l’éléphant dans la boutique – l’absence des moyens de mise en application des normes du RSI – et, tel qu’il est rédigé, il n’est rien d’autre qu’un mécanisme d’accaparement du pouvoir par l’OMS contrôlée par Pékin.

    Notre gouvernement doit le rejeter entièrement.

    Kevin Roberts et Robert Redfield pour The EpochTimes.

    Et voila confirmée la prochaine signature du traité sur les pandémies :


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  • Les aberrations du transgenrisme

    L’idéologie est le pire ennemi de l’intelligence !

    Les adeptes de toute idéologie voit le monde au travers d’un prisme déformant qui leur fait ignorer ou nier la réalité.

    Récemment la présidente de France Télévisions a avoué, devant une commission d’enquête, que ses chaines de télévision voulaient montrer le monde :

    « non pas tel qu’il était mais tel qu’on voudrait qu’il soit ! »

    On hésite entre naïveté et provocation pour qualifier une telle déclaration qu’elle partage avec nombre de progressistes.

    Le wokisme est la pointe avancée et le bras armé du progressisme. Comme tel, il illustre parfaitement cette défaite de l’intelligente face à une idéologie délirante. Un seul exemple suffit à démontrer l’absurdité de cette idéologie qui a accouché de la folle théorie du genre.

    Quelle personne douée de bon sens pourrait trouver légitime que des hommes s’identifiant comme des femmes soient autorisés à participer aux compétitions sportives dans la catégorie des femmes ?

    Pourtant, le lobby LGBT transgenre l’exige et nombre de fédérations sportives lui avaient cédé dans un premier temps avant de revenir sur leur décision, les unes après les autres.

    Libération, feuille de chou progressiste s’il en est, a osé écrire, comme le rapporte un article de Boulevard Voltaire :

    Aucune étude scientifique ne prouve un quelconque avantage dans athlètes transgenres sur leurs adversaires femmes.

    Faut-il vraiment des études pour vérifier cette évidence ?

    Voici l’article de Boulevard Voltaire évoqué plus haut :

    JO de Paris : faut-il exclure les « femmes »
    transgenres des compétitions ?

    C’est un post de Laurent Obertone, sur son compte X, qui relaie l’info sous le titre « vidéo inclusive du jour ». Il écrit :

    C’est donc « un.e iel.le » de plus sur le podium. Et Obertone de rappeler le papier de Libération sur le sujet, publié le 18 mai 2023. C’était dans la rubrique « Débunkage ». Autrement dit la chasse aux « fakeniouzes », le débunkage consistant à prendre des déclarations et à montrer en quoi elles sont erronées ou trompeuses. Et pour Libé, c’est donc un fait établi :

    Dans les rares travaux traitant de la transidentité dans le sport, aucune étude scientifique ne prouve un quelconque avantage sur leurs adversaires. Pire que cela, dans certains cas, elles seraient mêmes physiologiquement désavantagées.

    On fera à cela deux remarques. Primo, nous semble-t-il, les seuls résultats à étudier sont ceux des compétitions : les hommes devenus femmes coiffent-ils leurs concurrentes sur le poteau ? Secundo, pourquoi la question ne porte-t-elle que sur les individus passés du masculin au féminin et jamais sur ceux ayant effectué une transition du féminin vers le masculin ? En effet, si tout ce monde se vaut dans l’indistinction, pourquoi n’observe-t-on aucun athlète transgenre de haut niveau dans les compétitions masculines ?

    Il suffirait d’un peu de logique et de mémoire pour y voir clair… et pour constater comment, une fois de plus, on a décidé de nier la réalité pour renverser les choses.

    Hier, les contrôles de féminité servaient à traquer le dopage

    Les contrôles de féminité dans le sport existent depuis les années 1970. Non pas pour favoriser l’intégration des trans comme on le réclame aujourd’hui mais, au contraire, pour débusquer les athlètes femmes (généralement des pays de l’Est) dopées à la testostérone et aux stéroïdes anabolisants. Parce que, oui, n’en déplaise à nos ayatollahs de la transidentité, il existe bel et bien des marqueurs de la virilité : musculature plus puissante, capacité pulmonaire plus grande et taux de testostérone plus élevé, soit autant d’éléments qui rendent la compétition déloyale.

    Depuis, le wokisme est passé par là qui prétend nier les différences biologiques au nom de l’égalité.

    Alors, devant les polémiques qui enflent, le CIO a décidé, fin 2021, de ne rien décider, laissant l’initiative aux diverses fédérations sportives internationales.

    C’est ainsi qu’en 2023, World Athletics – fédération mondiale d’athlétisme – décidait :

    Les compétitions féminines internationales sont désormais interdites aux athlètes transgenres hommes et femmes qui ont connu une puberté masculine.

    L’UCI, l’Union cycliste internationale, lui emboîtait le pas, par son président : 

    Le devoir de l’instance est de garantir l’égalité des chances entre tous les concurrents. Laquelle égalité était à l’évidence menacée.

    La testostérone en guise d’arbitre

    Comment faire, alors, pour savoir qui peut concourir chez les femmes ? En dosant la testostérone. Le Conseil de World Athletics retient désormais que, pour les personnes trans comme pour celles qui se déclarent « intersexes » (sic), ce taux doit être maintenu en deçà de 2,5 nmol/l pendant vingt-quatre mois. Une injustice, écrivait Libé dans son article, arguant des effets secondaires et néfastes des thérapies de transition et déplorant des conditions moins favorables pour ces athlètes :

    Les personnes transgenres ont par exemple moins de sponsors, peuvent moins s’entraîner, ont plus de difficultés d’accès aux équipements ou structures sportives. Et donc pas les mêmes chances d’accéder aux podiums mondiaux.

    Une compassion très orientée car on notera, en revanche, que l’exclusion des athlètes russes – qu’elles soient cisgenres, transgenres, intersexuelles ou autres – n’a posé de problème à personne.

    Marie Delarue pour Boulevard Voltaire.


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  • Daniel Conversano explose les souverainistes !


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  • BIENVENUE EN MÉLENCHONIE (Xavier Jésu)

    Mes amis, pensez bien que je fais tous les efforts possibles et imaginables pour devenir un vrai « mec » de gauche, mais je n’ai pas encore trouvé les clés de la réussite pour me retrouver dans le camp du bien et m’immuniser du virus de la peste brune que mon médecin, le Docteur Boyard, a cru déceler chez moi.

    J’ai même décidé de m’infliger l’ultime épreuve de rattrapage en me mettant mes écouteurs intra-auriculaires dans mes esgourdes pour m’isoler du monde des « fachos » et écouter le discours du Duce Mélenchoni lors du lancement de la campagne pour les Européennes de LFI. J’avoue ne pas avoir eu le courage d’aller au-delà de son allocution qu’il a criée pendant une vingtaine de minutes. On se serait cru au discours éructé le 30 janvier 1939 par un bien triste moustachu.

    On le sait maintenant, Méluche voit des fachos partout, sauf dans ses propres rangs, bien sûr. Même Éric Naulleau et Michel Onfray, qui se revendiquent clairement de gauche, sont classés maintenant dans le camp de l’extrême droite, donc pétainistes et donc fascistes parce qu’ils ne suivent pas les délires des idéologues gavés de quinoa et qui considèrent que les drag Queen ont leur place dans les écoles primaires. Michel Onfray avait parfaitement résumé le monde de l’intolérance dont fait partie l’extrême gauche en déclarant :

    « La pensée dominante ne respecte pas ce qui n’est pas elle et traite toute opposition sur le mode du mépris, de la caricature ou de l’invective. La reductio ad Hitlerum fait la loi. On insulte, on caricature, on déforme, on méprise, on censure, on falsifie, on présente comme intox des infos et comme infos des intox… »

    Mais revenons quelques instants à ce qui m’a le plus marqué du discours du Lider Maximo, autocrate incontesté d’une association, La France Insoumise, qui ne comprend que trois membres ( pour éviter, probablement, la concurrence interne ).

    À 1 minute et 44 secondes du début de son discours, notre millionnaire Parisien, nourri presqu’exclusivement par l’argent public, rendait déjà hommage à Robespierre. Rappelons au passage que le brave Maximilien avait, entre septembre 1793 et son arrestation le 27 juillet 1794, été responsable avec le Comité de salut public d’un bain de sang qu’était la Terreur, au cours de laquelle des centaines de milliers de citoyens français furent arrêtés parce qu’ils étaient soupçonnés d’activités contre-révolutionnaires ; 16 594 de ces “suspects” furent guillotinés, tandis que des dizaines de milliers d’autres furent tués dans des massacres ou moururent en prison en attendant leur procès. Rien d’étonnant qu’il ne voit pas, dans les attaques du Hamas le 7 octobre dernier, la moindre notion de massacre, ce qui a valu d’être visé, comme Alain Soral et le NPA, par une plainte déposée par la JFJ. Serait-ce pour lui « un (nouveau) détail » dans l’histoire d’Israël ? Rien d’étonnant, non plus, qu’il ait pu s’acoquiner avec les communistes qui, eux, ont 100 millions de morts sur leurs épaules.  

    Il fustige ensuite les « puissants et, en particulier, les gouvernements des libéraux […] qui essayent de nous disperser par le racisme et la haine » !

    Ah ?

    Mais, dites-donc, cher ami, quand Danièle Obono disait de Jean Castex que c’était un « homme blanc de droite bien techno & gros cumulard » y contribuait-elle aussi ?

    Et quand l’élu LFI Jean-Philippe Nilor a comparé Mansour Kamardine, élu LR de Mayotte, à un « nègre de maison » y contribuait-il aussi ?

    Quant à la « haine », il n’y a pas mieux que lui pour en parler, tout simplement parce qu’il la manipule avec brio, quotidiennement : il suffit de le voir vomir la sienne sur les journalistes qui ne sont pas pro-extrême-gauche.

    « Le manichéisme de la gauche est toujours de mise : il faut trouver des dominés à défendre et des dominants à haïr, avec la haine comme moteur de la motivation. »

    ( Patrick Aulnas)

    Il continue ensuite sur la liberté d’expression en déplorant (à juste titre) les manipulations judiciaires dans certains pays (Sénégal, Brésil, Équateur) pour empêcher la liberté d’expression et considère que nous sommes, nous aussi, « en voie de république bananière ». Mais oui, vous avez raison, Monsieur le censeur en chef qui refuse de répondre aux invitations de Cnews (tout en glorifiant la valeur du débat) et qui balaye d’un geste de la main l’action antisémite menée contre une étudiante de Sciences Po, jugeant l’information fausse : vous ne rêvez que de censure, matin, midi et soir, espérant, comme votre piteuse collègue Sardine Ruisseau, que Cnews et C8 perdent leurs fréquences. Est-ce cela, votre vision de la « liberté d’expression » ?

    J’ai adoré le moment où il se moquait de ceux qui tentent de nous faire peur, à chaque élection, avec la menace de la Russie (comme ce fut le cas avec la menace des chars de cette même Russie du temps de l’URSS). Mais a-t-il oublié que lui-même, tous ses copains de gauche, d’extrême gauche et les macronistes en font de même en brandissant à chaque élection le péril fasciste, le bruit non pas des chars, mais celui des bottes des nazis, les descentes des milices collabos ? Ne s’est-il pas rendu compte que les milices actuelles sont celles d’extrême gauche, donc de son côté et que le péril fasciste a été remplacé par le péril islamiste qu’il valide en allant défiler aux côté des plus beaux spécimens de barbus excités ?

    En revanche, pas un mot sur le besoin de sécurité et la protection de l’Europe parce qu’il rêve, comme ses amis mondialistes du MEDEF, d’une uniformisation du consommateur, d’une créolisation de la population mondiale. Tout le monde remplacera tout le monde. Mais on commence vraiment à en mesurer les dramatiques conséquences.

    L’ensauvagement progresse chaque jour un peu plus sur notre territoire, repoussant les limites géographiques des lieux de convivialité et d’échanges. Les minorités seront, demain, les maîtres d’un monde presque orwellien où le couteau, la machette, la kalachnikov remplaceront stylos, livres et culture générale. La gauche aura achevé son plan de déconstruction entamé en 1968 sans en maîtriser la « bête », un peu comme le Docteur Jekyll et son pendant nocturne, Mr. Hyde, devenu incontrôlable.

    Bien sûr, on va me dire que, comme tout bon représentant de la fachosphère, j’exagère le trait pour mieux justifier « ma haine » ! Mais de quelle haine parle-t-on ? Ce mot, sorti tout droit du vocabulaire courant du manuel du parfait petit gauchiste, comme les mots « raciste », « xénophobe », « islamophobe », etc., est brandi par les ayatollahs de la pensée unique.

    Finalement, je ne serai jamais un « mec » de gauche. Et Dieu m’en garde !!

    Xavier Jésu


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