• En finir avec l’invasion… ou mourir.

    Par:  ..

    boulevard-voltaire-prise-constantinople

    C'est la chute de Constantinople que l'on rejoue, mais en plus grand.

    L’Europe vit les pires heures de son histoire mais ne le sait pas encore.
     Les deux conflits mondiaux du siècle dernier semblaient la limite infranchissable du mal, voyant le Vieux Continent se déchirer et s’autodétruire à coups de millions de morts.
     Mais en réalité, la substance de la civilisation n’était pas menacée.
     Biologiquement, l’Europe demeurait.
    Même un temps victorieux, l’empire dégénéré des nazis n’aurait pas tenu.
     En 2014, beaucoup plus radicalement, deux phénomènes sont en train, sous nos yeux, de mettre à bas 3.000 ans d’épopée : l’effondrement démographique total et continu depuis 40 ans et – la nature ayant horreur du vide – l’invasion des populations africaines.
    Voisinage mortel.
    C’est la chute de Constantinople que l’on rejoue, mais en plus grand : une forteresse riche de culture, mais appauvrie moralement, où le sexe des anges est devenu l’alpha et l’oméga de toute discussion, forteresse entourée d’armées vigoureuses dont les ventres terriblement féconds sont des canons.
     
    Disons-le froidement : il n’est pas question, ici, de faire des immigrés la source du mal.
     Ils agissent finalement comme toute masse humaine désespérée le ferait.
    C’est nous-mêmes qui nous suicidons.
    Au delà du « Suicide français » de Zemmour, c’est un « Suicide européen » qu’il faudrait écrire.
    Les autorités italiennes ont, ce samedi, annoncé le sauvetage de 900 migrants en mer dans le cadre de l’opération Mare Nostrum.
    Chaque mois, ce sont des milliers d’Africains qui sont ainsi récupérés et ramenés à bon port par nos propres soins.
    Ils feront souche dans leur pays d’accueil, deviendront des dizaines puis des centaines de milliers par le biais du regroupement familial.

     Dans cette situation ubuesque, voyez-vous, tout est inversé : les envahisseurs sont appelés des« migrants » et l’envahi vient les « sauver ».
    Les historiens du futur auront un mal fou à comprendre.

    Dans cette chronique de l’absurde, les chapitres sont chaque jour plus délirants : c’est un évêque espagnol qui s’insurge parce que son gouvernement a réinstallé des barbelés au sommet du mur de Ceuta, c’est la police d’Oslo qui avoue « avoir perdu la ville » face à l’immigration, c’est le ministre de l’Intérieur français qui déclare que les terroristes islamiques « ont abandonné les valeurs de l’islam », c’est l’ancienne ministre UMP Valérie Pécresse qui défend le droit à porter le foulard…

    Il reste peu de solutions pour éviter à l’Europe la submersion démographique : vu l’extrême misère des pays d’origine des « migrants », même la fermeture du robinet des aides sociales ne suffirait plus.

     Les gouvernements du futur proche auront le choix entre organiser une certaine résistance militaire face aux « migrants » ou alors ériger des murs gigantesques et infranchissables, sortes de nouveaux limes romain.

     Le reste n’est que littérature…

    votre commentaire
  • Entretien avec Lionel Baland « Je crois que Jörg Haider a été assassiné »

    Entretien avec Lionel Baland « Je crois que Jörg Haider a été assassiné »
     Lionel Baland, spécialiste des partis populistes en Europe, publie aux éditions des Cimes un ouvrage consacré à Jörg Haider. Il y remet en cause la version officielle de la mort du leader de la droite patriotique autrichienne. Nous l’avons rencontré.

    Minute : Pourquoi avoir choisi de réaliser un ouvrage sur Jörg Haider ?
    Lionel Baland : Jörg Haider est une personnalité extraordinaire qui a profondément modifié le paysage politique de son pays. Homme de com­munication, il a un peu été le Mo­zart de la politique autrichienne. Il a également transformé son bastion de Carinthie – dont il fut longtemps gouverneur – en laboratoire de ses idées et en vitrine de ses réalisations.
    Quelques mois après son décès, ren­contrant d’anciennes proches col­laboratrices de Jörg Haider, j’ai décidé de réaliser un ouvrage sur le su­jet, à partir de sources essentiellement allemandes, afin de faire con­naître au public francophone l’histoire et les réalisations de cette su­perstar de la politique, tout en l’inscrivant dans le contexte historique de sa famille de pensée.

    Quel a été le parcours de Jörg Haider ?
    En 1986, lorsqu’il prend le contrôle du parti libéral FPÖ, cette formation politique est au bord de l’effondrement. Jörg Haider, en en­chaînant une série de victoires, permet au FPÖ de devenir, lors des élections législatives de 1999, le deuxième parti du pays avec 26,9 % des voix. Au début de l’année 2000, un gouvernement réunissant le FPÖ et la troisième formation du pays, le parti conservateur ÖVP, voit le jour. Alors que Jörg Haider de­vrait logiquement assumer la fonction de chancelier, il est con­traint, sous la forte pression internationale, de

    céder la place au dirigeant de l’ÖVP Wolfgang Schuessel. Mais il n’empêche : durant sept années, les patriotes autrichiens par­ticipent à la gestion gouvernementale.

    Jörg Haider semble avoir préfiguré l’essor des populismes européens, le plus souvent libéraux et conservateurs…
    Oui, le FPÖ est un parti libéral qui a été membre de l’Internationale libérale. La révolution allemande de 1848, prolongement des événements qui ont lieu en France à la même époque, se déroule à Francfort-sur-le-Main.
    Les libéraux, qui représentent à l’époque une force politique progressiste, désirent un accroissement et un renforcement des libertés in­dividuelles (liberté de presse, d’association, de réunion, mais également la mise en place de mesures so­ciales. Ils sont également anticléricaux, c’est-à-dire opposés à l’intervention de l’Eglise dans les af­faires de l’Etat. Si ces idées sont celles des libéraux au sein des différents pays d’Europe, en Allemagne ceux-ci désirent également réaliser l’u­nité du peuple allemand. Si, en Autriche, la tendance nationaliste grande-allemande reste puissante au sein du FPÖ, en Allemagne, elle a quasiment disparu au sein du par­ti libéral-démocrate, le FDP.
    L’histoire étant ce qu’elle est, comment expliquer le succès de Jörg Haider ?
    Il faut examiner les raisons liées à un contexte politique favorable ; et les capacités exceptionnelles de Jörg Haider pour en tirer profit. Au cours des années 1970, les deux par­tis du système, socialiste et so­cial-chrétien, récoltent ensemble 90 % des voix. L’Autriche est à cette époque un petit pays tranquille pro­tégé par le rideau de fer et au sein duquel les entreprises fournissent des emplois stables aux ci­toyens. L’ouverture des frontières chan­ge progressivement la donne. Le phénomène s’accélère avec le dé­mantèlement du rideau de fer et l’effondrement des régimes commu­nistes d’Europe de l’Est, ainsi qu’avec les guerres de démembrement de la Yougoslavie. L’Autriche se retrouve au début des années 1990 face à une délinquance massive. De plus, soumise à la mondialisation, l’économie autrichienne of­fre des emplois et situations économiques de plus en plus précaires. Jörg Haider surfe sur ces changements sociologiques afin de porter des coups au système en place et de récolter les voix.

    C’est là qu’interviennent ses « capacités exceptionnelles » ?
    Absolument ! C’est une personne extrêmement innovante qui met au point toute une série de stratégies et de méthodes qu’emploient encore son successeur à la tête du FPÖ… et les leaders populistes eu­ropéens. Sur le plan tactique, Haider a compris l’importance cruciale de l’enracinement. C’est tout sauf un homme de coups. Lorsqu’il n’est pas actif à l’échelle du pays, il travaille le terrain dans son bastion. Il a donc à tout moment une possibili­té de repli, en même temps qu’une base électorale solide qui le propulse sur la scène nationale.
    Il a aussi compris l’importance d’une bonne communication…
    Jörg Haider développe l’image d’un gagnant, jeune, bronzé, sportif. Il se déplace dans des voitures de sport et dispose d’une impressionnante garde-robe. En Carinthie, tout le monde l’appelle Jörg et le tu­toie, tout comme il tutoie tout le mon­­de. Au sein d’un paysage politi­que sclérosé, ses concurrents font pâle figure à côté de lui. Jörg Haider passe son temps à briser des tabous politiques. Il devient une sorte de Ro­bin des Bois qui défend le peuple face aux abus des puissants. Il dénonce le partage de l’appareil d’Etat entre les deux partis du système et la distribution de prében­des aux affidés de ces formations po­litiques et de leurs organisations annexes. Il surfe sur le rejet de l’immigration et de l’insécurité. Il dit tout haut ce que beaucoup de person­nes pensent tout bas.

    Comment expliquer la soudaine chute de Haider, au milieu des années 2000 ?
    N’ayant pu être chancelier d’Au­triche, il décide de couper les ponts avec l’aile dure du parti et crée, en 2005, le BZÖ, Mouvement pour l’a­venir de l’Autriche. Au sein du gou­vernement, le BZÖ remplace le FPÖ. Ce dernier, repris en main par Heinz-Christian Strache, se retrouve dans l’opposition.

    Ce fut une erreur car Haider a cassé une belle dynamique…
    Oui. Lors des élections législatives d’octobre 2006, le BZÖ sauve les meubles en obtenant tout juste les 4 % nécessaires pour siéger au Parlement. Le FPÖ est à 11 %. Un gouvernement réunissant les so­ciaux-dé­mocrates et les conservateurs voit le jour. Cependant, des élections anticipées ont lieu en septembre 2008. Le BZÖ décroche plus de 10 % des voix et le FPÖ 17,54 %. Jörg Haider déclare : « Je crois qu’a­près celle de Lazare, ma résurrection est la plus éclatante de l’histoire ! » Les liens sont renoués et la formation d’un gouvernement réunissant les deux partis patriotiques et le Par­ti conservateur est envisagée. Mais le 11 oc­tobre 2008 au matin, la nouvelle tom­­be : Jörg Haider est décédé dans un accident de voiture.

    En France, on imagine mal la portée de l’événement…
    Parce que les Français font naturellement un parallèle avec le Front national diabolisé. Mais en Autri­che, ce n’est pas pareil. Des milliers de personnes déposent des bougies dans le centre de Klagenfurt, la ca­pitale de la Carinthie dont Hai­der est le gouverneur. Le gotha de la po­litique autrichienne, parmi le­quel le président de la République autrichienne et le chancelier, participent à la cérémonie funèbre en présence de plus de 30 000 person­nes – ce qui, pour un pays de seulement 8 millions d’habitants, est très important !

    Vous remettez en cause la version officielle du décès de Jörg Haider. N’êtes-vous pas un peu conspirationniste ?
    Non. Je ne suis pas du tout cons­pirationniste. Lors de la réalisation de mon livre, j’ai utilisé essentiellement des sources en allemand, ce qui m’a permis d’écarter les élucubrations d’une partie de la presse francophone sur le sujet. Au dé­part, j’ai complètement cru en la version officielle de l’accident et aux articles de presse prétendant à la bisexualité de Jörg Haider.
    Mais au fil des lectures, des vi­sites et des rencontres, j’ai découvert que la version établie ne tient pas la route. J’explique pourquoi au sein du livre, documents à l’appui. Haider vivait une véritable ré­surrection politique. Il est étrange qu’il ait pris le risque de se faire voir dans un établissement gay… Et apparemment, il ne s’y est pas ren­du. En outre, lui qui ne buvait ja­mais une goutte d’alcool, n’aurait sans doute pas pris le risque de prendre le volant en état d’ivresse, car il savait qu’un malheureux con­trôle routier avait ainsi coûté sa carrière à un célèbre politique autrichien. L’autopsie a révélé des con­clusions troublantes sur la présence d’alcool dans le sang et les urines de Haider, dont la presse n’a pas te­nu compte. La nature de l’accident ne correspond pas aux dégâts cons­tatés sur la voiture. L’enquête sem­ble avoir été bâclée… De plus, je ne suis pas le seul à penser cela. Le cé­lèbre journaliste Gerhard Wisnew­ski, qui réalise des documentaires pour les plus grandes chaînes allemandes, a enquêté durant des mois sur le sujet et arrive à la conclusion qu’il y a 90 % de probabilités que Jörg Haider ait été assassiné.

    Pourquoi s’en prendre à lui ?
    Je ne connais pas encore les cau­ses de cet éventuel assassinat, mais je sais que le retour de Haider sur le devant de la scène gênait beaucoup de monde. Permettez-moi enfin de rappeler qu’il n’est pas incongru d’envisager l’assassinat d’un leader populiste. Après tout, le Français François Duprat est-il, oui ou non, mort dans un attentat à la bom­be ? Jean-Marie Le Pen a-t-il, oui ou non, échappé à un attentat qui a fait exploser tout son im­meuble ? A-t-on, oui ou non, mis le feu à la maison du Suisse Oskar Freysinger ? Le néerlandais Pim For­tyuin a-t-il, oui ou non, été as­sassiné ? Alors pourquoi pas un Hai­der à nouveau en plein essor ?    n

    Entretien réalisé par Patrick Cousteau


    Pour en savoir plus
    Jörg Haider, le phénix. Histoire de la famille politique libérale et nationale en Autriche, éd. des Cimes, 192 p., cahier de 16 pages de photos en couleurs, 19 euros.
    Disponible sur le site Internet http://editions-cimes.fr/ou par chèque de 22,50 euros (dont 3,50 euros de frais de livraison) à l’ordre de EDC/ASMA, BP 80 308, 75 723 Paris Cedex 15.

     


    votre commentaire
  •  Francarabia !!!

    Par: Pieds Noirs 9A.. Francarabia !!!

    Article N°1157 dans Archives 2013

     Francarabia !!!

                                        Francarabia !!!

     Francarabia !!!« Les immigrés sont ici chez eux », avait dit le président François Mitterrand le mercredi 27 septembre 2006, sur Canal plus, rompant en direct le jeûne du ramadan, l’acteur Jamel Debbouze dont les parents venus du Maroc s’installèrent en France dans les années 1960 s’inscrivait dans la ligne de l’ancien président de la république en déclarant :« Ce pays (la France) est le nôtre. » Tout patriote se féliciterait naturellement de tels propos s’ils n’étaient à double sens, pouvant aussi être interprétés comme une incitation à faire régner la« loi des banlieues ».

    1- le règne musulman : l’Europe devient une province, une colonie de l’Islam, grâce à trois facteurs clefs que sont la foi, la démographie et le patrimoine culturel.

    Une laïcité extrême prédomine en Europe, surtout parmi ses élites, au point que les chrétiens croyants (pratiquants ou non) sont considérés comme mentalement déséquilibrés et incapables d’assumer des taches publiques . Par ailleurs, la foi des musulmans, avec son tempérament djihadiste et son suprématisme islamique dont la loi de la charia, tranche autant qu’il est possible avec celle des chrétiens européens non pratiquants. Ce contraste amène de nombreux musulmans à considérer l’Europe comme un continent mûr pour la conversion et la domination.

    L’effondrement démographique des populations Française de souche allié au taux de fertilité élevé des musulmans prédisent un changement rapide(à l’échelle de 2 ou 3 générations) du visage ethnique du continent Européen : «Marseille  Roubaix Lille Amsterdam et Rotterdam  Bruxelles  Contour de la région Parisienne ,pourraient devenir, d’ici 2015, les premières grandes villes Européennes à majorité musulmane. Les pronostics actuels prévoient une majorité musulmane  dans l’armée Russe dés 2015. »

     Francarabia !!!

     Nombre d’Européens, je parle majoritairement de la France, matraqués de façon continue par une véritable propagande nationale et Européenne, ont l’impression que leur culture historique ne vaut pas qu’on la défende, voire qu’on la préserve. Ce manque d’assurance a des conséquences directes négatives pour les immigrants musulmans (comment s’approprier une culture que les indigènes eux-mêmes ont appris à mépriser et ne souhaitent pas transmettre à leurs enfants?). « En résumé, cette première argumentation avance que l’Europe sera islamisée, qu’elle se soumettra ou se convertira sans résistance à l’Islam parce que le yen de l’Europe s’accorde si bien au yang de l’Islam : faiblesse et puissance de la religiosité, de la fertilité et de l’identité culturelle. »

    2- l’expulsion des musulmans : à l’image des agriculteurs Français en Algérie ou des agriculteurs Arabo-musulmans en Espagne, il est possible d’imaginer un rejet brutal des musulmans d’Europe. Pipes fait référence à un commentateur Américain, Ralph Peters, pour qui « il est trop fait abstraction de l’histoire et de la brutalité indéracinable de l’Europe. » Sous entendu, les Européens indigènes, qui constituent toujours 95% de la population du continent, pourraient se réveiller et imposer leur volonté de façon violente.Mais moi j'y crois pas beaucoup car le Français est toujours endormie et la gauche faisant tout pour la détruire (la famille). 

    A l’appui de ce scénario, le mouvement d’irritation qui semble se dessiner à l’échelle Européenne, notamment au sein des masses populaires et en décalage avec des élites acquises à la "doxa multi culturaliste", en réponse à l’altérité islamique et à ses revendications communautaires. « Si ces éléments opposés à l’immigration et à l’Islam ont généralement des racines néofascistes, ils gagnent en respectabilité avec le temps en se concentrant sur les questions de foi, d’identité et de démographie. » L’audience croissante de ce type d’analyse se nourrissant bien sur d’une immigration incontrôlée et perçue par les indigènes comme un facteur d’anarchie et d’insécurité au sens large.

    3- l’intégration des musulmans : les Européens autochtones et les immigrants musulmans trouvent un modus vivendi. De la même façon que l’Islam change l’Europe, l’Europe change l’Islam qui, opérant un aggiornamento salutaire, accède à la modernité en dissociant le profane du sacré, le religieux du politique, permettant ainsi à ses sujets de vivre leur foi tout en respectant les principes laïques de leur pays d’accueil. Pour Pipes, cette vision idyllique est improbable, l’éventualité de voir les musulmans accepter les restrictions de l’Europe historique et s’intégrer sans heurts dans ce cadre étant bien peu probable ,car ils ne se civiliseront jamais dans un pays laïque ..et s'intégrerons jamais sauf s'ils occupent les sols comme le font actuellement en France depuis plus de 50 ans maintenant  ..<<Ils ne seront jamais Français ,mettez-vous bien cela dans votre petite tête>> ..

    Il est donc difficile d’imaginer un autre scénario pour l’Europe occidentale que l’islamisation ou la guerre civile.

    << Toutefois, le problème Européen est si inédit, si étendu, qu’il est difficile de le comprendre, tentant de l’ignorer et presque impossible d’en pronostiquer l’évolution. L’Europe nous entraîne tous en terre inconnue. voir un génocide de population chrétienne >>

    Immigration I. Idéologie.

    << L’Histoire nous enseigne que les migrations améliorent le sort de ceux qui s’exilent mais aussi font avancer l’humanité toute entière. » Ces propos de Kofi Annan, secrétaire général des Nations Unies (Le Monde, 9 juin 2006), illustrent l’image d’une immigration idyllique, source de toutes les vertus, tous les progrès, comme jadis le socialisme. Le consensus idéologique sur ce sujet, dans les élites socialo communiste Françaises , est assourdissant : le credo est : << l’immigration est une chance pour la France >>. A part cela ,ne savent rien dire d'autre ,comme le collabo Edwy Plenel qui se forge pour la nouvelle génération ..

    Soutenir l’idée que si cette immigration est parfois nécessaire pour des raisons économiques, démographiques ou culturelles, elle puisse constituer, mal gérée et au delà d’un certain volume, un facteur de désordre, d’instabilité et de déchirements est impossible. Cette approche univoque, totalisante et passionnelle de l’immigration distingue la France des autres grandes nations Européennes, notamment l’Allemagne ou la Grande-Bretagne, ou le débat sur cette question est infiniment plus libre et pragmatique.

    Mythes, repentance…et idéologie.

    La haine de soi, la honte d’être Français, un sentiment de culpabilité permanent, imprègnent une grande partie de ces élites et expliquent leur inhibition à l’égard de ce tabou. Ce sentiment de culpabilité est alimenté par notre histoire Française et par la parenthèse Vichyste. Et l’image d’une France rongée par le "racisme, la xénophobie et l’antisémitisme" est omniprésente (cf l’ouvrage de BH Levy "L’Idéologie Française, livre culte de la gauche ,enfin se disant libérale des années 80). La référence Vichyste est systématique dans l’argutie progressiste, comme si l’expulsion d’étranger en situation irrégulière en 2007 et la déportation de Juifs pendant la seconde guerre mondiale se valaient. Ce rapprochement entre la nécessaire politique de maîtrise de l’immigration et les lois antisémites et xénophobes du gouvernement Laval à Vichy est une des clefs de la propagande du lobby immigrationniste et du terrorisme intellectuel que fait régner l’intelligentsia médiatique, politique et culturelle.

    Notre histoire Française apporter à tous ses pays d'Afrique ,est une autre source du complexe Français à l’égard de l’immigration ; comme s’il existait une dette éternelle du monde occidental- de la France, notamment- envers ses anciennes colonies et départements Français d'Algérie. Français ou Européen de souche. L’immigration et comme une revanche sur tout le bien être que l'on leur a apporter en ces années de développement , de soigner les maladies et autres (dispensaires , hôpitaux, grand ouvrage ,barrage et autres) ..Bouteflika est venu en France pour ce faire soigné et bien d'autre ..Alors la gauche su'ils arrêtent de dire le contraire si ce n'est eux qui provoque la famine dans certains pays ou ils y sont passaient ..

    Or, maîtriser l’immigration (concept évidemment "fascisant" au regard de l’idéologie mondialiste, "sans frontiériste") est inconcevable si l’on s’interdit par avance, par principe, d’expulser du territoire toute famille avec enfant installée illégalement en France. Aujourd’hui, (n’importe quelle famille ,aussi le cas de Leonarda) peut entrer en France au moyen d’un visa de court séjour, s’installer dans la clandestinité, scolariser ses enfants, puisque la scolarisation est un droit absolu, même si les parents sont en situation irrégulière. Proclamer le droit pour toute famille à ne pas être expulsée si ses enfants sont scolarisés en France et à bénéficier d’une régularisation aboutirait de facto à ouvrir notre territoire aux familles du monde entier...et abolir l’idée même de nation.Donc plus de nation Française et cela va de soit ..

    On reconnaît ici l’argumentaire de la propagande inouïe orchestrée par quelques associations d’extrême gauche (Réseau Education Sans Frontières, SOS racisme), et repris par une partie importante de la presse et des média en général (Libération, Le Monde, France-Inter, RMC etc), faisant jouer les bons sentiments au mépris de toute rationalité et de toute légalité.

    Derrière cette mobilisation une nouvelle idéologie est omni présente. Elle affirme un droit supérieur et universel de l’individu qui prévaut en toutes circonstances sur l’intérêt général et sur la loi Républicaine, votée par les représentants ( ???) de la Nation.

    Il semble qu’une bonne partie de notre intelligentsia, jadis acquise au mythe de l’« homme nouveau » ou de celui de la "régénération de la société", prône aujourd’hui une stratégie de recomposition du paysage humain en France.Si l’on ne peut changer l’ homme, alors il faut changer les hommes. Il s’agit la d’un principe totalitaire, commun au national socialisme et au socialisme et dont on a pu voir que les racines plongent dans la philosophie des Lumières, qui voue à l’effacement l’image d’un peuple Français majoritairement d’origine Européenne ou issu des territoires d’outre mer auquel se substituerait un peuplement nouveau issu d’une immigration de remplacement.

    "L'ordre, et l'ordre seul, fait en définitive la liberté. Le désordre fait la servitude. Le triomphe des démagogies est passager mais les ruines sont éternelles." Charles Péguy, Les Cahiers de la Quinzaine.Pieds Noirs 9A..

     


    votre commentaire
  •            Delanoë poudre d'escampette en Tunisie!

     

                 OUI A LA POUDRE D'ESCAMPETTOPHOBIE 

    Delanoë en fuite en Tunisie!

    BERTRAND DELANOË ÉPINGLÉ ! EN FUITE EN TUNISIE

    Après avoir laissé en partant un déficit "DÉMENTIEL" de 400. Millions d'Euros à sa suivante Anne HIDALGO...

    Inouï, ils sont tous à l'unanimité corrompus !

    Faîte suivre, car les médias ne parlent de rien !

    Pour  eux tout va bien au parti socialo communiste anti France ou le copain des copains et des coquins coquines .."Le clan des clans"au pouvoir élus par des inconscients ..

     BERTRAND DELANOË épinglé !!!  

    Sa fuite de la Mairie expliquée !!!

    DELANOËdémasqué par Capital et l'Inspection Générale de la ville de Paris !

    LE BOOMERANG de DELANOË !

      selon la revue " CAPITAL ",Bertrand DELANOË 

    Voilà neuf ans que ce cachottier finance avec l'argent du Contribuable une bonne trentaine de postes de permanents CGT et son« Ami»,planqués dans une des mutuelles de la ville : la MCVPAP...

    Dans un rapport au vitriol, l'Inspection générale de la ville de PARIS, chiffre à 1,2 million d'euros par an, le coût de ce petit cadeau consenti, sans aucun fondement juridique, à l'organisation de Bernard THIBAULT... On peut donc estimer que plus de 10 millions d'euros ont été consacrés depuis 2001, à cette œuvre charitable. 

    Source : Magazine Capital.

    Même, en s'y mettant à deux,Bertrand DELANOË et Bernard THIBAULT auront beaucoup  de mal à rembourser !Sur cette affaire, les médiassont restés très discrets !… et le Gouvernement aussi ! 

    Vous pouvez lire l'intégralité de cet article dans le site :

    http://www.capital.fr/enquetes/derapages/l-incroyable-derive-financiere-de-la-mairie-de-paris-549730>

     


    votre commentaire
  • El Alia et le massacre du 20 août 1955

    philippeville
    Le 10 novembre 2014
     
    Par notre ami Manuel Gomez Ecrivain
     
     
    Y avait-il quelqu’un, même un simple anonyme, ce samedi matin, 1er novembre, pour se recueillir sur les tombes de ces 123 victimes du FLN ?
     M. Bouteflika, Président de la République Algérienne, entouré de nombreux membres de son gouvernement, du Président du Conseil et du ministre de la Défense, s’est recueilli samedi matin 1er novembre, devant le carré des martyrs au cimetière d’El Alia, à Alger.

    El Alia (à l’époque El Halia) est un nom hautement symbolique : celui d’une victoire écrasante du FLN vers la conquête de l’indépendance de l’Algérie.

    C’est dans ce petit village minier près de Philippeville, où les Arabes et les Français cohabitaient en parfaite osmose, que le 20 août 1955 à 12h, une katiba (bande de terroristes-égorgeurs du FLN), armée jusqu’aux dents, a massacré 123 habitants (71 européens, 52 musulmans et 120 disparus).

    Mais je laisse la parole à Marie-Jeanne Pusceddu, qui était sur place ce jour-là (Marie-Jeanne a été recueillie par les sœurs de Saint Vincent de Paul à Lacanau-les-Bains (Gironde) :

    « Il était 12h lorsque nous avons entendu des coups de feu et les youyous des mauresques. Tous les hommes travaillaient à la mine. Ma belle-sœur, Rosé, sa petite dernière, Bernadette (3 mois) dans les bras, et ses enfants, Geneviève, 8 ans, Jean-Paul, 5 ans, Anne-Marie, 4 ans et Nicole, 14 ans, sont venus se réfugier chez nous. Il y avait ma mère, mon frère Roland, 8 ans, mes sœurs Suzanne, 10 ans, et Olga, 14 ans, et mon mari qui venait de rentrer pour déjeuner avec nous. Mon autre fils, Roger, 17 ans, travaillait à la mine.

    Les fellaghas ont fait irruption en cassant la porte à coups de hache. C’était Chérif qui le dirigeait. Chérif, le chauffeur de taxi, notre ami, lui qui avait assisté à notre mariage et était venu nous chercher à la gare à notre retour du voyage de noces. Il commandait les fellaghas qui hurlaient : ‘Nous voulons les hommes’.

    Chérif a tiré en pleine poitrine sur ma pauvre mère avec son fusil de chasse. Elle est morte sur le coup, avec Roland dans ses bras, grièvement blessé.

    Rosé a été tuée d’un tir dans le dos et son bébé écrasé contre le mur.

    Ensuite, Chérif a tiré sur moi et j’ai reçu la balle à la hauteur de ma hanche. Olga, ma sœur, a été violée puis assassinée et mon autre sœur, Suzanne, blessée à la tête (elle en porte encore aujourd’hui la marque).

    Toute la famille Azaï a également été massacrée à coups de couteau, la sœur de ma mère, son mari, ses deux filles, dont l’une était paralysée, et son autre fille, qui arrivait de France en vacances, déchiquetée à coups de couteau avec son bébé.

    A la mine, le massacre s’est poursuivi. Mon frère assassiné, mon cousin Julien également, au restaurant. Pierrot Scarfoto à coups de fourchette et les testicules coupées et enfoncées dans la bouche, tout comme mon neveu, René.

    Mon père sourd de naissance, blessé, s’est réfugié dans une galerie abandonnée où on ne l’a retrouvé mort que quinze jours plus tard.

    Treize membres de ma famille ont été abattus ce même jour. »

    L’armée française est arrivée à 17h.

    Y avait-il quelqu’un, même un simple anonyme, ce samedi matin, 1er novembre, pour se recueillir sur les tombes de ces 123 victimes du FLN ?

    Encore faudrait-il que ces tombes soient toujours présentes et qu’elles n’aient pas été profanées, pour tenter d’en effacer même le souvenir…

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique