• 2042, Youcef Slimani, un président musulman à l’Elysée

    Je relaye aujourd’hui une fiction signée Le Crapaud @Zoltan_47, un auteur très productif sur X dont j’ai souvent repris les tweets comme dans ce précédent article:

    L’autodérision qui manque tant aux progressistes !

    Cette fois-ci, Le Crapaud marche sur les traces de Michel Houellebeck et de son roman Soumission.

    Il imagine la victoire d’un candidat musulman à l’élection présidentielle de 2042.

    10 Avril 2044.

    La chambre présidentielle était calme ce matin-là.

    Les premiers rayons du soleil venaient progressivement chasser l’obscurité, révélant progressivement l’antre du maître des lieux. Celui qui occupait cette chambre depuis maintenant deux ans n’avait pas dormi cette nuit-là, préférant rester assis dans le large fauteuil en cuir qui trônait au milieu de la pièce face à la fenêtre.

    Depuis son élection le 27 avril 2042, le président Slimani n’avait jamais connu de problème de sommeil. Ni l’assassinat de ses opposants politiques, ni la mise en place chaotique de la charia, ni même toutes les exécutions auxquelles il avait assisté n’avaient réussi à troubler son sommeil.

    Mais cette nuit-là avait été différente. Le calme et le silence qui régnaient dans la chambre ne pouvaient laisser imaginer que le pays était au bord de l’explosion. Les cris de rage du peuple en colère ne pouvaient atteindre les oreilles de Youcef Slimani, mais ils occupaient chacune de ses pensées depuis la veille.

    Il n’entendit pas que Yasmina, son épouse, l’avait rejoint dans son antre.

    – Youcef ? Tu n’as pas dormi?

    – Non. Comment dormir alors que le pays est sur le point d’exploser ? Quelles sont les nouvelles ?

    – De nombreuses manifestations devant les églises et les synagogues dans tout le pays. Plusieurs morts du côté des forces de l’ordre et des manifestants. Qu’est-ce que tu comptes faire?

    – Je sais ce que je dois faire. Va prévenir la sécurité, je vais sortir aujourd’hui.

    – Sortir ? Tu as perdu la tête ? Tu risques de te faire tuer ! Reste ici, en sécurité avec les enfants et moi. On va trouver une solution.

    – Ne discute pas, j’ai pris ma décision. Va prévenir la sécurité.

    Personne ne connaissait mieux Youcef que Yasmina. Elle savait que son mari ne changerait pas d’avis. En s’éloignant du fauteuil, elle ne quitta pas Youcef du regard. Elle savait que cet instant pourrait être le dernier souvenir de l’homme dont elle était tombée amoureuse 25 ans auparavant sur les bancs de la fac.

    Trente minutes s’étaient écoulées depuis la conversation entre Youcef et Yasmina. Le chef de la sécurité, Malik Taleb, faisait les cent pas dans le hall du palais de l’Élysée sous le regard de deux gardes armés imperturbables lorsque le président descendit les marches qui menaient au rez-de-chaussée.

    – Tout est prêt monsieur Taleb?

    – Oui monsieur le président, la voiture vous attend dans la cour et tous les membres de votre sécurité rapprochée seront présents. J’ai également appelé les services de police, ils attendent qu’on leur fournisse l’adresse du lieu où vous voulez vous rendre.

    – Et les drones ? Ils sont tous opérationnels ? Ce n’est pas le jour pour un problème technique.

    – Oui monsieur le président, j’ai moi-même supervisé la maintenance et les tests. La nouvelle version de l’IA a même gagné en rapidité de calcul, nous avons …

    – Assez de détails techniques. Allez prévenir la police de se rendre à la grande synagogue de la Victoire. Vous savez si le grand rabbin de Paris est sur place ?

    – Oui monsieur le président, il est sous surveillance constante et il se trouve sur place.

    – Hamdoulilah, répondit Youcef tout en se dirigeant vers la porte principale du palais de l’Élysée.

    Avant même que le portier ouvre pour son maître, le président Slimani put entendre le bourdonnement des drones qui l’attendaient dehors. Bien qu’habitué à être suivi en permanence par cette nuée de plastique et de métal, Youcef Slimani ne put s’empêcher d’observer pendant quelques secondes le ballet de ses protecteurs au-dessus de la cour du palais.

    Les cinquante drones qui constituaient la garde rapprochée du président étaient à la pointe de la technologie. Contrôlés par une intelligence artificielle dernier cri, ces drones d’à peine quarante centimètres d’envergure avaient été conçus dans le seul but de suivre le président lors de ses déplacements extérieurs et de neutraliser toute personne qui voudrait s’en prendre à lui.

    Youcef monta dans la voiture qui l’attendait au bout du tapis rouge du perron de l’Élysée, et celle-ci prit la route, suivie par les véhicules de ses agents de sécurité et les drones. Durant le court trajet jusqu’à la grande synagogue, il observa les rues qui portaient encore les stigmates des émeutes de la nuit : des voitures encore fumantes, des vitrines brisées, des poubelles éventrées et des panneaux de signalisation arrachés. Le pays avait déjà connu son lot de fureur et de violence, mais jamais les dégâts n’avaient été aussi considérables.

    – Nous arrivons bientôt, monsieur le président, annonça le chauffeur.

    – Tout est prêt ?

    – Oui, monsieur le président, la police a dégagé la route pour nous permettre d’accéder à l’entrée de la synagogue, mais je dois vous prévenir, la foule sur les trottoirs est enragée.

    – …Très bien.

    Le cortège roulait maintenant lentement, ce qui laissa le temps au président Slimani d’observer les manifestants et leur fureur non dissimulée. Les pancartes brandies par hommes, femmes et enfants ne laissaient guère de doute sur leur identité. Des Juifs et des Chrétiens furieux suite à sa décision de détruire ou de convertir en mosquée tous les lieux de culte suspectés d’avoir exprimé une hostilité envers le régime.

    Sous les huées de la foule, la voiture se gara devant l’entrée de la synagogue. Le grand rabbin de France attendait devant la porte, statique, ne se préoccupant ni des drones s’étant stabilisés au-dessus de la voiture, ni des innombrables hommes en armes se déployant dans le périmètre autour du véhicule. Un des agents de sécurité de la garde rapprochée du président vint ouvrir la porte de la voiture.

    Pendant que la porte s’ouvrait, le grand rabbin crut voir Slimani dissimuler un objet dans la manche de son costume, puis le vit sortir et s’approcher de lui.

    – Qu’est-ce que tu fais ici, Youcef ?

    – C’est une manière bien peu cordiale de s’adresser à ton président. Je suis venu en paix, David.

    – En paix ? Avec tes soldats et tes machines à tuer volantes ?

    – Il faut bien que je pense à ma sécurité, vous, Juifs et Chrétiens, avez montré hier soir toute votre sauvagerie.

    – Notre sauvagerie ? C’est toi qui parle de sauvagerie avec tes mains couvertes de sang ?

    – Je n’ai jamais tué personne, David. Je m’assure simplement de préserver l’ordre et de servir Allah de mon mieux.

    – Assez de mensonges, dis-moi ce que tu viens faire ici.

    – Je viens te proposer de mettre fin à ce chaos. Parle avec l’archevêque et appelez au calme ensemble. Je m’engage à faire preuve de bienveillance.

    – Tu crois vraiment que nous allons laisser nos lieux sacrés se faire détruire ou être changés en mosquées ? N’oublie pas que nous nous connaissons depuis longtemps, Youcef. Je n’irais pas jusqu’à dire que nous avons été amis, mais l’homme que tu étais autrefois n’était pas le monstre que j’ai en face de moi aujourd’hui. Je ne peux plus faire confiance aux mensonges que tu prononces.

    – Nous sommes donc dans une impasse. Tu ne me laisses pas d’autre choix David.

    Youcef secoua légèrement son bras droit pour faire glisser l’objet qu’il avait dissimulé avant de sortir de la voiture. Un poignard à la lame étincelante et au manche nacré qu’il empoigna à la fin de sa chute. D’un geste sûr et rapide, il enfonça violemment le poignard dans l’abdomen de David tout en saisissant sa nuque avec son autre main. Il remua le poignard avec rage tout en regardant s’éteindre la lueur dans les yeux de l’homme qui l’avait invité à son mariage 30 ans auparavant.

    La foule s’était tue et regardait le corps du grand rabbin tomber aux pieds de son bourreau. Le silence régnait dans la rue pendant que le sang se répandait devant la porte de la synagogue. La stupéfaction des manifestants fut de courte durée. Des hurlements vinrent déchirer le silence éphémère de la rue.

    Très vite, les barrières séparant la population de la route s’agitèrent et tombèrent. Le premier coup de feu retentit lorsqu’un homme portant une large croix autour du cou tenta d’attraper l’arme d’un policier. La détonation attisa la colère des croyants et la fureur prit possession de la rue. Les hurlements arrivaient presque à couvrir le bruit des armes de la police et de la garde rapprochée du président mais Youcef ne bougeait pas, préférant observer le sang s’étaler au sol jusqu’à atteindre ses chaussures en cuir noir.

    Depuis le premier coup de feu, les drones étaient entrés en état d’alerte, se déplaçant par à-coups afin de pouvoir analyser le moindre centimètre carré de la zone autour de leur maître. L’intelligence artificielle analysait chaque personne, chaque objet, chaque mouvement susceptible d’être une menace pour le président.

    L’anarchie provoquée par les affrontements n’empêcha pas un des drones de repérer un émeutier ramassant l’arme d’un agent de la sécurité mort. Cet acte sonna comme une sentence fatale. En un dixième de seconde, le petit canon situé sous le drone cibla la tête de l’homme et tira une petite bille de plomb qui pénétra son crâne et qui le fit tomber raide mort instantanément.

    Une autre menace arriva rapidement, sous les traits d’une nonne enragée qui s’était mise à courir en direction du président en brandissant un marteau. Un autre drone tira une bille qui transperça le voile et la boîte crânienne de la religieuse. Plusieurs autres personnes essayèrent de se rapprocher du président mais la sentence fut la même.

    Progressivement, les tirs se calmèrent, les gémissements des blessés vinrent se substituer aux cris et la fureur laissa place à la désolation. Le président Slimani admirait son œuvre. Le sang avait recouvert la quasi-totalité de la route et les corps se comptaient par dizaines.

    – Monsieur le président ? Tout va bien ? lui demanda un agent qui avait visiblement reçu une balle perdue dans le bras gauche.

    – Oui, tout va bien.

    – Que fait-on maintenant, monsieur le président ?

    – Prévenez la police et l’armée. Dites-leur d’ouvrir le feu sur toutes les personnes en train de manifester devant les églises et les synagogues. Hommes, femmes et enfants.

    – …… Euh

    – Vous contestez mon ordre, agent El Mekki ?

    – Non, monsieur le président, je vais transmettre votre ordre. L’agent El Mekki s’éloigna, laissant son président seul devant l’entrée de la synagogue. Youcef s’approcha du corps du grand rabbin et se pencha pour chuchoter ses adieux à celui qui avait osé s’opposer à lui:

    – Allah Akbar …

    Le Crapaud @Zoltan_47


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  • Macron signera sûrement ce traité scélérat !

    Dans trois ans, Macron quittera l’Elysée mais restera comme le président le plus progressiste qu’on ait eu !

    Concernant les traités internationaux, ils signent tout ce qui se présente pourvu que cela aille dans le sens de l’européisme, du mondialisme et du progressisme.

    Il a signé le Pacte de Marrakech qui engageait la France dans la submersion migratoire. Il vient de récidiver avec le Pacte Asile et Migration de l’Union européenne et va, à coup sûr, ratifier le traité mondial sur les pandémies qui privera la France de toute souveraineté en matière de santé au profit de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

    C’est ce que dénonce cet article paru dans The EpochTimes qui alerte notamment sur les dangers de la main-mise de la Chine sur l’OMS :

    L’OMS en proie à un accord malin

    Quatre années se sont écoulées depuis l’apparition du Covid-19 et la mauvaise gestion mondiale de sa propagation. Aujourd’hui, les mêmes gouvernements et organisations internationales qui ont menti au sujet de la dernière pandémie négocient un accord mondial sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI) à l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

    Pourtant, le principal coupable n’a pas changé. Bien que la Chine n’ait jamais été tenue pour responsable de son refus de respecter les règlesjuridiquement contraignantes du RSI (l’OMS n’a pas de pouvoir de sanction pour les imposer) ou de son obstruction permanente à une enquête approfondie sur les origines du Covid-19, Pékin collabore désormais avec différentes administrations pour élaborer l’accord mondial sur les pandémies.

    Il va donc de soi que ce nouvel accord sert les intérêts de l’État-parti chinois. Les ébauches successives de cet accord se concentrent sur tous les domaines possibles – de l’envoi de l’argent de nos contribuables à l’étranger à l’affaiblissement des droits de propriété intellectuelle, en passant par le renforcement des pouvoirs de l’OMS au détriment de la souveraineté nationale des États. Oui, c’est cette même OMS qui n’a pas mis en place une équipe d’experts internationaux dans les premières semaines de l’émergence du Covid-19 en Chine (comme l’exige le RSI), capitulant au contraire devant le Parti communiste chinois et lui permettant de déterminer la réponse internationale à la pandémie.

    La dernière version de l’accord oblige même les parties de fournir une assistance financière et technique aux pays en développement. Bien sûr, les pays occidentaux ont une longue tradition d’assistance – le Plan d’aide d’urgence à la lutte contre le sida à l’étranger (PEPFAR) lancé par le président américain George W. Bush en est un bon exemple – mais cette assistance a toujours été volontaire et non obligatoire.

    Sans surprise, la Chine devrait profiter des nouvelles dispositions destinées à aider les pays « pauvres ». Bien qu’elle occupe la deuxième place dans l’économie mondiale, la Chine est toujours considérée comme un « pays en développement » et profite de dérogations liées à ce statut au sein des Nations unies, de leurs institutions spécialisées (dont l’OMS) et de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Ainsi, le pays à l’origine de la pandémie du Covid-19 ne subira non seulement aucune conséquence de ses actes mais, si les pays occidentaux signent l’accord sur les pandémies, il bénéficiera également de transferts obligatoires de fonds provenant des contribuables de ces pays.

    Le régime chinois profiterait également d’autres dispositions du nouvel accord qui incite les gouvernements à promouvoir une « production durable et géographiquement diversifiée » de produits liés à la pandémie (tels que les vaccins), à investir dans les capacités des pays en développement et à leur donner accès à la recherche exclusive. De plus, Pékin pourrait utiliser les « flexibilités » de l’accord sur les aspects commerciaux des droits de propriété intellectuelle pour passer outre les brevets et pour pousser les détenteurs de droits à réduire ou à renoncer à leurs redevances.

    La Chine, connue pour ses vols de propriété intellectuelle, ne manquerait pas de tirer profit de ces privilèges.

    Tout cela réduirait considérablement les investissements futurs dans la recherche en matière de santé – exactement à l’inverse de ce qui devrait se passer si nous voulons être prêts à faire face à une nouvelle pandémie. Et pour aggraver les choses, l’accord ignore presque totalement les nombreuses lacunes des procédures actuelles de réponse aux pandémies – telle que, par exemple, l’obligation des gouvernements à accorder un accès immédiat aux équipes internationales d’experts pour évaluer la menace de foyers suspects et à assurer une divulgation complète et en temps voulu des données génomiques.

    Bien entendu, la supervision de la production durable et géographiquement diversifiée des produits thérapeutiques, de dépistage ou des vaccins, ainsi que de leurs transferts et distribution aura un prix élevé. Le montant exact n’est pas précisé, mais il est certain que ce sera un montant à plusieurs groupements de trois chiffres.

    En outre, le nouvel accord porterait un coup dur aux droits à la liberté d’expression. Le désir des gouvernements d’utiliser la pandémie pour réprimer les idées et les opinions « non officielles » afin de « protéger » la santé et la sécurité publiques s’est avéré bien durable. L’accord demande aux gouvernements :

    de coopérer, conformément à la législation nationale, pour prévenir la désinformation et la mésinformation.

    La Chine et la Russie n’ont pas besoin d’être encouragées à censurer la parole. Cependant, une telle formulation dans un accord international encouragera ceux qui, dans les pays libres, souhaitent également supprimer les opinions « non officielles » sous prétexte de lutter contre la désinformation et la mésinformation.

    D’ailleurs, l’OMS elle-même semble offensée par les critiques. Au début de l’année, Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’OMS, a déclaré que les négociations de l’accord sur les pandémies se déroulaient dans un environnement très difficile, face à un « torrent de fausses nouvelles, de mensonges et de théories du complot ». Ironiquement, c’était le même argument que celui utilisé contre les conservateurs qui souscrivaient à la version de plus en plus crédible de la fuite de laboratoire.

    En résumé, le nouvel accord sur la pandémie devrait nous alarmer tous.

    Il est bien plus axé sur la redistribution des revenus, le transfert de technologies et l’affaiblissement des droits de propriété intellectuelle que sur la prévention, la détection et la réponse aux pandémies. Cet accord ne s’attaque pas à l’éléphant dans la boutique – l’absence des moyens de mise en application des normes du RSI – et, tel qu’il est rédigé, il n’est rien d’autre qu’un mécanisme d’accaparement du pouvoir par l’OMS contrôlée par Pékin.

    Notre gouvernement doit le rejeter entièrement.

    Kevin Roberts et Robert Redfield pour The EpochTimes.

    Et voila confirmée la prochaine signature du traité sur les pandémies :


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  • Les aberrations du transgenrisme

    L’idéologie est le pire ennemi de l’intelligence !

    Les adeptes de toute idéologie voit le monde au travers d’un prisme déformant qui leur fait ignorer ou nier la réalité.

    Récemment la présidente de France Télévisions a avoué, devant une commission d’enquête, que ses chaines de télévision voulaient montrer le monde :

    « non pas tel qu’il était mais tel qu’on voudrait qu’il soit ! »

    On hésite entre naïveté et provocation pour qualifier une telle déclaration qu’elle partage avec nombre de progressistes.

    Le wokisme est la pointe avancée et le bras armé du progressisme. Comme tel, il illustre parfaitement cette défaite de l’intelligente face à une idéologie délirante. Un seul exemple suffit à démontrer l’absurdité de cette idéologie qui a accouché de la folle théorie du genre.

    Quelle personne douée de bon sens pourrait trouver légitime que des hommes s’identifiant comme des femmes soient autorisés à participer aux compétitions sportives dans la catégorie des femmes ?

    Pourtant, le lobby LGBT transgenre l’exige et nombre de fédérations sportives lui avaient cédé dans un premier temps avant de revenir sur leur décision, les unes après les autres.

    Libération, feuille de chou progressiste s’il en est, a osé écrire, comme le rapporte un article de Boulevard Voltaire :

    Aucune étude scientifique ne prouve un quelconque avantage dans athlètes transgenres sur leurs adversaires femmes.

    Faut-il vraiment des études pour vérifier cette évidence ?

    Voici l’article de Boulevard Voltaire évoqué plus haut :

    JO de Paris : faut-il exclure les « femmes »
    transgenres des compétitions ?

    C’est un post de Laurent Obertone, sur son compte X, qui relaie l’info sous le titre « vidéo inclusive du jour ». Il écrit :

    C’est donc « un.e iel.le » de plus sur le podium. Et Obertone de rappeler le papier de Libération sur le sujet, publié le 18 mai 2023. C’était dans la rubrique « Débunkage ». Autrement dit la chasse aux « fakeniouzes », le débunkage consistant à prendre des déclarations et à montrer en quoi elles sont erronées ou trompeuses. Et pour Libé, c’est donc un fait établi :

    Dans les rares travaux traitant de la transidentité dans le sport, aucune étude scientifique ne prouve un quelconque avantage sur leurs adversaires. Pire que cela, dans certains cas, elles seraient mêmes physiologiquement désavantagées.

    On fera à cela deux remarques. Primo, nous semble-t-il, les seuls résultats à étudier sont ceux des compétitions : les hommes devenus femmes coiffent-ils leurs concurrentes sur le poteau ? Secundo, pourquoi la question ne porte-t-elle que sur les individus passés du masculin au féminin et jamais sur ceux ayant effectué une transition du féminin vers le masculin ? En effet, si tout ce monde se vaut dans l’indistinction, pourquoi n’observe-t-on aucun athlète transgenre de haut niveau dans les compétitions masculines ?

    Il suffirait d’un peu de logique et de mémoire pour y voir clair… et pour constater comment, une fois de plus, on a décidé de nier la réalité pour renverser les choses.

    Hier, les contrôles de féminité servaient à traquer le dopage

    Les contrôles de féminité dans le sport existent depuis les années 1970. Non pas pour favoriser l’intégration des trans comme on le réclame aujourd’hui mais, au contraire, pour débusquer les athlètes femmes (généralement des pays de l’Est) dopées à la testostérone et aux stéroïdes anabolisants. Parce que, oui, n’en déplaise à nos ayatollahs de la transidentité, il existe bel et bien des marqueurs de la virilité : musculature plus puissante, capacité pulmonaire plus grande et taux de testostérone plus élevé, soit autant d’éléments qui rendent la compétition déloyale.

    Depuis, le wokisme est passé par là qui prétend nier les différences biologiques au nom de l’égalité.

    Alors, devant les polémiques qui enflent, le CIO a décidé, fin 2021, de ne rien décider, laissant l’initiative aux diverses fédérations sportives internationales.

    C’est ainsi qu’en 2023, World Athletics – fédération mondiale d’athlétisme – décidait :

    Les compétitions féminines internationales sont désormais interdites aux athlètes transgenres hommes et femmes qui ont connu une puberté masculine.

    L’UCI, l’Union cycliste internationale, lui emboîtait le pas, par son président : 

    Le devoir de l’instance est de garantir l’égalité des chances entre tous les concurrents. Laquelle égalité était à l’évidence menacée.

    La testostérone en guise d’arbitre

    Comment faire, alors, pour savoir qui peut concourir chez les femmes ? En dosant la testostérone. Le Conseil de World Athletics retient désormais que, pour les personnes trans comme pour celles qui se déclarent « intersexes » (sic), ce taux doit être maintenu en deçà de 2,5 nmol/l pendant vingt-quatre mois. Une injustice, écrivait Libé dans son article, arguant des effets secondaires et néfastes des thérapies de transition et déplorant des conditions moins favorables pour ces athlètes :

    Les personnes transgenres ont par exemple moins de sponsors, peuvent moins s’entraîner, ont plus de difficultés d’accès aux équipements ou structures sportives. Et donc pas les mêmes chances d’accéder aux podiums mondiaux.

    Une compassion très orientée car on notera, en revanche, que l’exclusion des athlètes russes – qu’elles soient cisgenres, transgenres, intersexuelles ou autres – n’a posé de problème à personne.

    Marie Delarue pour Boulevard Voltaire.


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  • Daniel Conversano explose les souverainistes !


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  • BIENVENUE EN MÉLENCHONIE (Xavier Jésu)

    Mes amis, pensez bien que je fais tous les efforts possibles et imaginables pour devenir un vrai « mec » de gauche, mais je n’ai pas encore trouvé les clés de la réussite pour me retrouver dans le camp du bien et m’immuniser du virus de la peste brune que mon médecin, le Docteur Boyard, a cru déceler chez moi.

    J’ai même décidé de m’infliger l’ultime épreuve de rattrapage en me mettant mes écouteurs intra-auriculaires dans mes esgourdes pour m’isoler du monde des « fachos » et écouter le discours du Duce Mélenchoni lors du lancement de la campagne pour les Européennes de LFI. J’avoue ne pas avoir eu le courage d’aller au-delà de son allocution qu’il a criée pendant une vingtaine de minutes. On se serait cru au discours éructé le 30 janvier 1939 par un bien triste moustachu.

    On le sait maintenant, Méluche voit des fachos partout, sauf dans ses propres rangs, bien sûr. Même Éric Naulleau et Michel Onfray, qui se revendiquent clairement de gauche, sont classés maintenant dans le camp de l’extrême droite, donc pétainistes et donc fascistes parce qu’ils ne suivent pas les délires des idéologues gavés de quinoa et qui considèrent que les drag Queen ont leur place dans les écoles primaires. Michel Onfray avait parfaitement résumé le monde de l’intolérance dont fait partie l’extrême gauche en déclarant :

    « La pensée dominante ne respecte pas ce qui n’est pas elle et traite toute opposition sur le mode du mépris, de la caricature ou de l’invective. La reductio ad Hitlerum fait la loi. On insulte, on caricature, on déforme, on méprise, on censure, on falsifie, on présente comme intox des infos et comme infos des intox… »

    Mais revenons quelques instants à ce qui m’a le plus marqué du discours du Lider Maximo, autocrate incontesté d’une association, La France Insoumise, qui ne comprend que trois membres ( pour éviter, probablement, la concurrence interne ).

    À 1 minute et 44 secondes du début de son discours, notre millionnaire Parisien, nourri presqu’exclusivement par l’argent public, rendait déjà hommage à Robespierre. Rappelons au passage que le brave Maximilien avait, entre septembre 1793 et son arrestation le 27 juillet 1794, été responsable avec le Comité de salut public d’un bain de sang qu’était la Terreur, au cours de laquelle des centaines de milliers de citoyens français furent arrêtés parce qu’ils étaient soupçonnés d’activités contre-révolutionnaires ; 16 594 de ces “suspects” furent guillotinés, tandis que des dizaines de milliers d’autres furent tués dans des massacres ou moururent en prison en attendant leur procès. Rien d’étonnant qu’il ne voit pas, dans les attaques du Hamas le 7 octobre dernier, la moindre notion de massacre, ce qui a valu d’être visé, comme Alain Soral et le NPA, par une plainte déposée par la JFJ. Serait-ce pour lui « un (nouveau) détail » dans l’histoire d’Israël ? Rien d’étonnant, non plus, qu’il ait pu s’acoquiner avec les communistes qui, eux, ont 100 millions de morts sur leurs épaules.  

    Il fustige ensuite les « puissants et, en particulier, les gouvernements des libéraux […] qui essayent de nous disperser par le racisme et la haine » !

    Ah ?

    Mais, dites-donc, cher ami, quand Danièle Obono disait de Jean Castex que c’était un « homme blanc de droite bien techno & gros cumulard » y contribuait-elle aussi ?

    Et quand l’élu LFI Jean-Philippe Nilor a comparé Mansour Kamardine, élu LR de Mayotte, à un « nègre de maison » y contribuait-il aussi ?

    Quant à la « haine », il n’y a pas mieux que lui pour en parler, tout simplement parce qu’il la manipule avec brio, quotidiennement : il suffit de le voir vomir la sienne sur les journalistes qui ne sont pas pro-extrême-gauche.

    « Le manichéisme de la gauche est toujours de mise : il faut trouver des dominés à défendre et des dominants à haïr, avec la haine comme moteur de la motivation. »

    ( Patrick Aulnas)

    Il continue ensuite sur la liberté d’expression en déplorant (à juste titre) les manipulations judiciaires dans certains pays (Sénégal, Brésil, Équateur) pour empêcher la liberté d’expression et considère que nous sommes, nous aussi, « en voie de république bananière ». Mais oui, vous avez raison, Monsieur le censeur en chef qui refuse de répondre aux invitations de Cnews (tout en glorifiant la valeur du débat) et qui balaye d’un geste de la main l’action antisémite menée contre une étudiante de Sciences Po, jugeant l’information fausse : vous ne rêvez que de censure, matin, midi et soir, espérant, comme votre piteuse collègue Sardine Ruisseau, que Cnews et C8 perdent leurs fréquences. Est-ce cela, votre vision de la « liberté d’expression » ?

    J’ai adoré le moment où il se moquait de ceux qui tentent de nous faire peur, à chaque élection, avec la menace de la Russie (comme ce fut le cas avec la menace des chars de cette même Russie du temps de l’URSS). Mais a-t-il oublié que lui-même, tous ses copains de gauche, d’extrême gauche et les macronistes en font de même en brandissant à chaque élection le péril fasciste, le bruit non pas des chars, mais celui des bottes des nazis, les descentes des milices collabos ? Ne s’est-il pas rendu compte que les milices actuelles sont celles d’extrême gauche, donc de son côté et que le péril fasciste a été remplacé par le péril islamiste qu’il valide en allant défiler aux côté des plus beaux spécimens de barbus excités ?

    En revanche, pas un mot sur le besoin de sécurité et la protection de l’Europe parce qu’il rêve, comme ses amis mondialistes du MEDEF, d’une uniformisation du consommateur, d’une créolisation de la population mondiale. Tout le monde remplacera tout le monde. Mais on commence vraiment à en mesurer les dramatiques conséquences.

    L’ensauvagement progresse chaque jour un peu plus sur notre territoire, repoussant les limites géographiques des lieux de convivialité et d’échanges. Les minorités seront, demain, les maîtres d’un monde presque orwellien où le couteau, la machette, la kalachnikov remplaceront stylos, livres et culture générale. La gauche aura achevé son plan de déconstruction entamé en 1968 sans en maîtriser la « bête », un peu comme le Docteur Jekyll et son pendant nocturne, Mr. Hyde, devenu incontrôlable.

    Bien sûr, on va me dire que, comme tout bon représentant de la fachosphère, j’exagère le trait pour mieux justifier « ma haine » ! Mais de quelle haine parle-t-on ? Ce mot, sorti tout droit du vocabulaire courant du manuel du parfait petit gauchiste, comme les mots « raciste », « xénophobe », « islamophobe », etc., est brandi par les ayatollahs de la pensée unique.

    Finalement, je ne serai jamais un « mec » de gauche. Et Dieu m’en garde !!

    Xavier Jésu


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