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    T'es payé pour faire chier | abenchaalors.fr

    Tu es con ?
    Tu aimes faire chier les gens ?
    Tu n'as aucune valeur ?
    Deviens contrôleur de pass-sanitaire !

    Peut être une image de texte qui dit ’La situation est grave!!! Aujourd'hui on a testé 300 personnes d'un village de 200 habitants, résultat 400 cas positifs.’

    Peut être une image de texte qui dit ’NOUS AVONS LE CHOIX ይ$2A0294 DE NOTRE ÉVOLUTION’

    Vaccination : Il ne faut pas confondre "je n'ai pas le choix" avec "je n'ai pas les couilles" !

    Les cons sans aucune valeur


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  • Nigeria : 3462 chrétiens ont été tués depuis le début de l’année par des djihadistes et des bergers peuls musulmans, autant que durant toute l’année 2020

    3462 chrétiens ont été tués au Nigeria lors des sept premiers mois de l’année selon l’ONG locale Intersociety. Soit environ 17 morts par jour. Un chiffre d’autant plus glaçant qu’il est quasiment égal au nombre total de victimes chrétiennes dénombrées tout au long de l’année 2020.

    Au nord-ouest du pays, bergers nomades traditionnellement musulmans et agriculteurs chrétiens se font face. Sur fond de crise environnementale qui cristallise les tensions, les bergers en quête de terres plus verdoyantes pour leur bétail attaquent les cultivateurs.

    En l’espace de 200 jours, des bergers peuls (aussi appelés fulanis musulmans) djihadistes se seraient rendus responsables de la mort d’au moins 1.900 chrétiens. Un décompte macabre qui s’alourdit avec la prise en compte du groupe terroriste Boko Haram, de l’État islamique en Afrique de l’Ouest et de bandits peuls. Ces trois groupes auraient causé la mort de 1.063 chrétiens. Entre motifs idéologiques et appât du gain, leurs motivations restent parfois obscures.

    Quand les autorités n’ont pas perdu la main face à ces groupes, elles sont à l’origine de violences contre les chrétiens. En se basant sur le récit de témoins oculaires, de victimes et de sources locales et internationale, l’organisation Intersociety estime qu’environ 490 décès peuvent leur être imputés. Le manque de poursuites à l’encontre d’auteurs de crimes contribue au sentiment d’impunité. Mgr Matthew Hassan Kukah, évêque du diocèse de Sokoto au nord-ouest d’Abuja, estimait que le gouvernement était « soit dépassé soit indifférent » face à la situation. […]

    aleteia via fdesouche


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  • Toulouse : des vigiles tchétchènes venus sécuriser l’intervention d’un serrurier agressés par un groupe de jeunes

    Cliquez pour lire le document ci-dessus .
     
    La Dépêche | 31 Juillet 2021

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  • Assassinat de Frank Goes contre de l’argent à Bruxelles : moins 1 an après le tueur est déjà hors de prison et s’affiche sur les RS

    Tous les suspects interpellés dans le cadre de l’assassinat de l’entrepreneur Frank Goes sont déjà sortis de prison moins d’un an après les faits. Comme le présumé commanditaire et le présumé intermédiaire, l’exécutant du crime, l’ancien joueur de foot Dylan Duby, a finalement eu droit à son bracelet électronique, lui qui a avoué avoir poignardé à mort la victime en échange de la somme de « 10.000 euros ».

    Le 29 septembre 2020 vers 18h30, l’entrepreneur Frank Goes, âgé de 54 ans, administrateur délégué des Entreprises Générales Goes, a été poignardé à mort en pleine rue, alors qu’il sortait du siège de sa société, rue Honoré Longtin à Jette, et qu’il s’apprêtait à monter dans sa voiture.

    C’est le Liégeois Dylan Duby, 24 ans, ex-défenseur de Givry, qui a exécuté le crime. Inculpé du chef d’assassinat et placé sous mandat d’arrêt le mercredi 18 novembre 2020, il a avoué avoir agi en échange de « 10.000 euros », somme qui lui a été payée par un intermédiaire pour le compte d’un commanditaire. Moins d’1 an après, il est déjà hors de prison.

    Dylan Duby vient d’obtenir son bracelet électronique et de regagner son domicileCliquez pour agrandir | La Capitale du 31 Juillet 2021

    SudInfo via fdesouche


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  • LA GRANDE MAGOUILLE !

    Rachida Dati jugée pour corruption : son rôle en Algérie sera-t-il enfin révélé ?

    Rachida Dati
    Rachida Dati. D. R.

    Par Kamel M. – Le régime monarchique de Rabat reçoit une autre taloche sur la tête. Une de ses lobbyistes les plus actives en France et en Europe a été mise en examen pour corruption. L’ancienne ministre de la Justice de Nicolas Sarkozy est soupçonnée d’avoir perçu des fonds suspects par l’intermédiaire de la structure néerlandaise du constructeur automobile français Renault.

    En novembre 2020, l’ancien président-directeur général de la marque au losange avait confirmé l’implication de l’eurodéputée Rachida Dati dans le dossier de l’implantation de la marque au losange en Algérie en 2014. Interviewé par une chaîne française au Liban, son pays d’origine où il s’est réfugié fuyant la justice nipponne, Carlos Ghosn avait affirmé que la candidate malheureuse à la mairie de Paris a effectivement été rémunérée pour aider la firme à s’installer «en Afrique du Nord», sans entrer dans les détails et esquivant presque la question. Par «Afrique du Nord», il faut comprendre l’Algérie, puisque l’usine Renault existait déjà depuis de longues années au Maroc.

    Le dossier Renault-Algérie n’a pas été traité sur un pied d’égalité en Algérie où des industriels sont jugés dans l’affaire des usines de montage automobile décriées par les nouvelles autorités et qualifiées de «supercherie». Pourtant, la marque française ne diffère en rien des marques ciblées par la justice en matière d’intégration qui est quasi nulle.

    L’usine Renault de Oued Tlilet, dans l’ouest du pays, a été inaugurée par l’ancien Premier ministre Abdelmalek Sellal, actuellement incarcéré. L’affaire Renault-Algérie avait fait couler beaucoup d’encre en son temps déjà, bien avant les procès qui l’épargnent jusqu’à ce jour. De nombreuses sources avaient fait état d’«indus avantages» accordés au constructeur automobile français au détriment de la firme allemande Volkswagen, entre autres. Une longueur d’avance avait été accordée à Renault, comme cela fut le cas avec l’opérateur égyptien Orascom dont le patron, l’Egyptien Naguib Sawiris, avait fini par traîner l’Etat algérien devant les juridictions internationales après avoir largement profité de son monopole et de sa position dominante au détriment de l’opérateur national historique.

    En février 2019, des sources avaient révélé au grand jour une rémunération astronomique – on parlait à l’époque de 600 000 euros, la somme passe désormais à 900 000 euros – touchée par la lobbyiste Rachida Dati qui s’était rendue en Algérie en décembre 2010. Trois mois plus tard, soit le 20 mars 2011, le directeur général de Renault-Algérie, Stéphane Galoustian, annonçait que «les négociations avec les autorités algériennes pour la mise en place en Algérie d’une usine de fabrication de véhicules de son groupe se poursuivent». Sa visite avait été précédée, quelques mois plus tôt, par celle de Jean-Pierre Raffarin, envoyé spécial de Nicolas Sarkozy, avec lequel le ministre de l’Industrie, Mohamed Benmeradi, menait les discussions à l’époque.

    Désormais citée dans l’affaire du PDG de la marque française, le Franco-Libanais Carlos Ghosn, Rachida Dati avait tenté de justifier cette prime sidérale en affirmant qu’elle officiait en qualité d’avocate pour le compte du groupe. Une affirmation qui tendait déjà à confirmer son rôle d’intermédiaire pour le compte de cette firme automobile qui sera la toute première à implanter son usine en Algérie avant que des marques concurrentes, sud-coréennes et allemandes notamment, s’installent à leur tour après de laborieux pourparlers avec le très controversé Abdeslam Bouchouareb.

    Des voix s’étaient élevées à l’époque pour dénoncer le volume insignifiant de véhicules produits en Algérie par Renault, comparativement aux investissements gigantesques consentis par le constructeur français au Maroc voisin, en dépit de la taille du marché algérien autrement plus grande. D’autres dénonçaient carrément un favoritisme accordé aux Français au détriment d’autres nationalités qui, pourtant, avaient exprimé leur souhait de construire des usines de montage en Algérie, en promettant une production beaucoup plus importante et en envisageant même d’exporter vers l’Afrique dès les premières années.

    Selon des indiscrétions, l’arrogant PDG de Renault se targuait dans ses discours, et lors de ses réunions au sujet de l’Algérie, que la marque qu’il dirigeait s’implanterait dans notre pays «quand [il l’aura] décidé» et «à [ses] conditions».

    K. M.

    https://www.algeriepatriotique.com/


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