• J’ai honte …

    J’ai honte de voir la France se renier …

    J’ai honte que le pays des droits de l’homme ait à ce point perdu le sens de ses valeurs premières et universelles.

    Je reste traumatisé par la descente aux enfers qu’a connue notre pays lors de la crise sanitaire du covid-19.

    J’ai vu les Gaulois irréductibles se laisser terroriser par un virus très faiblement mortel, se laisser enfermer, accepter de signer ses propres autorisations de sortie, accepter de laisser leurs anciens mourir du rivotril dans les Ehpads sans qu’ils puissent les visiter, et courir se faire piquer pour pouvoir aller au resto et au cinéma !

    J’ai vu la grande majorité des médecins rompre leur serment d’Hippocrate et se coucher devant les pouvoirs politique et sanitaire les empêchant de soigner leurs patients.

    J’ai vu aussi l’Ordre des médecins poursuivre les quelques médecins récalcitrants qui osaient faire simplement leur noble métier !

    J’ai vu des députés se coucher et voter des lois liberticides, valider des passes sanitaire puis vaccinal qui obligeaient, de fait, les Français à se faire injecter une substance expérimentale encore en cours de test.

    J’ai vu un pouvoir jeter comme des malpropres des soignants sans salaire, sans même le droit aux minimas sociaux !

    Oui, j’ai honte d’être Français !

    Et pire, la France sera la dernière à reconnaitre ses erreurs !

    J’ai vu s’accumuler, jour après jour, partout sauf dans les médias français, les preuves de l’inefficacité des vaccins – on vient d’attaquer la quatrième dose !

    J’ai vu gonfler aussi la liste des effets secondaires parfois mortels sous une totale omerta des médias français.

    Regardez cette statistique concernant les athlètes :

    Entre 2021 et 2022, la mortalité des athlètes a été
    multipliée par 17 par rapport à la période 1966-2004 !

    Et qu’on ne nous dise pas que c’est le covid qui a tué ces hommes et femmes en pleine santé et dans la force de l’âge !

    Dans de nombreux pays, certaines institutions officielles comment à se rebeller comme en Allemagne :

    En Italie, la révolte gronde !

    Deux bombes viennent d’y éclater alors que l’omerta règne en France.

    L’ordre des médecins italien rétropédale et veut que tous les soignants non vaccinés soient réintégrés. Ils renvoient la balle au ministre de la santé Speranza et refusent d’appliquer d’autres sanctions à l’avenir, disant qu’ils ont dû faire le « sale boulot » demandé par le gouvernement.

    Un tribunal italien a reconnu comme recevable la plainte d’un enseignant italien suspendu car non vacciné. Ce dernier demande une analyse du contenu des vaccins notamment des protéines qui le composent.

    Ricardo nous détaille ce qui se passe en Italie dans la vidéo suivante :

    Cliquez sur l’image pour regarder la vidéo

    Souhaitons que Ricardo ait raison et que le scandale éclate enfin !

    Les déclarations hallucinantes de Jean-François Delfraissy semblent montrer qu’il ne veut pas être le seul à porter la responsabilité des mesures imbéciles prises lors de cette crise sanitaire et des morts inutiles qui en ont découlé. J’y reviendrai …

    Dernière minute : j’ajoute cette intervention (sous-titrée) d’un journaliste très connu sur le plateau d’une grande télé américaine, Fox News :

    Verrons-nous cela à la télévision française ? Sûrement pas avant que le scandale n’ait éclaté au plan mondial !

    http://www.a-droite-fierement.fr/


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  • Pour information    
     
    La Chine communiste totalitaire et ses leçons de morale sur le respect de l'intégrité territoriale des Etats et la non-ingérence dans les affaires des autres pays.
    Ce pays a respecté l'intégrité territoriale de la France et de l'Occident en étant le premier pays non-arabe à reconnaître le GPRA (gouvernement du FLN) dès 1958, et en recevant officiellement Ferhat Abbas en octobre 1960. Alors que l'Algérie était territoire français.
    Ferhat Abbas à Pékin | INA

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  • Big Pharma va développer des vaccins à ARNm pour des dizaines de maladies

    Dès 2020, les plus grands laboratoires pharmaceutiques s’unissaient – impensable il y a seulement quelques années encore – pour signer une déclaration qualifiée d’historique pour « continuer à faire de la sécurité et du bien-être des personnes vaccinées la priorité absolue dans le développement des premiers vaccins contre la COVID-19 ».

    NEW YORK, le 8 septembre 2020 — Les PDG d’AstraZeneca, BioNTech, GlaxoSmithKline plc, Johnson & Johnson, Merck, connue sous le nom de MSD en dehors des États-Unis et du Canada, Moderna, Inc., Novavax, Inc., Pfizer Inc., et Sanofi, ont annoncé aujourd’hui avoir signé un accord historique qui traduit leur engagement commun pour la préservation de l’intégrité du processus scientifique tout au long de leur démarche qui vise à déposer d’éventuelles demandes d’homologation en vue d’obtenir des approbations dans le monde entier pour les premiers vaccins contre la COVID-19.

    Nous avons déjà évoqué le fait que l’industrie pharmaceutique ne fait pas de santé publique mais du business dans le secteur de la santé, la communication grand public consiste à construire artificiellement un « monde de bisounours » où la manipulation des masses reste le maître mot. Cette déclaration est postérieure à une entente préalable sur le partage d’un marché des injections qui s’annonçait juteux dès le début de l’épidémie en janvier 2020, date à laquelle Pfizer-BioNtech et Moderna disposaient déjà d’un « candidat vaccin », précisément ceux-là qui ont été commercialisés avec la collaboration des pays occidentaux et fabriqués en 2 jours seulement pour BioNtech si l’on se fie à la propre déclaration de son patron.

    Nous avons par ailleurs déjà évoqué la fabrication des vaccins antérieurement à l’apparition officielle de l’épidémie de Sars-Cov-2 et la participation de Moderna à l’ingénierie du Sars-Cov-2.

    Le vaccin thérapeutique généralisé, prochaine étape de Big pharma

    Moderna a misé sur la vaccinothérapie, c’est-à-dire en réalité les thérapies géniques pour développer son activité. Mais ce n’est pas le seul laboratoire à suivre cette voie et Covid a été le déclencheur pour développer artificiellement un marché dont les populations se seraient méfiés si on ne leur avait instillé la peur et la contrainte en supprimant les droits les plus fondamentaux comme celui de la libre circulation et l’accès aux lieux publics. On ne reviendra pas sur ces épisodes avec lesquels on devrait renouer d’ici peu avec la variole du singe et le Covid d’automne.

    Dans une attente réelle, certains professeurs de médecine annoncent que grâce au Covid, les thérapies géniques à ARNm vont se développer pour traiter les cancers. Oui et c’est tout à fait l’objectif de Big Pharma et pas seulement pour le cancer, ni seulement pour les personnes qui sont en capacité de financer ces thérapies. Les pays Occidentaux ont montré leur capacité à financer ces injections sans limites et sans protection des populations, y compris dans les pays du Sud, notamment en AfriqueLes injections expérimentales ont été payées avec l’argent public au profit de l’industrie pharmaceutique qui s’est enrichie comme jamais depuis qu’elle existe, grevant les finances publiques et affaiblissant l’occident, particulièrement l’Europe dont les politiques de confinement ont accentué la déstructuration de l’économie. Des compensations aux entreprises ont été versées encore sur financement public au point que la France s’est anormalement endettée et fragilisée. Une volonté de mettre le pays à terre ?

    Pour ses différentes plateformes de vaccins thérapeutiques disponibles ou en projet dans le monde, Moderna envisage de nombreux autres vaccins (cancer, Zika, VIH/sida, grippe, cytomégalovirus/CMV, le virus respiratoire syncytial…). La disponibilité d’une cagnotte de 15 milliards de dollars grâce aux injections Covid permet d’envisager l’avenir en grand, d’autant plus lorsque les autorités publiques participent à contraindre leur population pour des injections rendues quasi-obligatoires au risque de sanctions. Ou encore lorsque les autorités travaillent à la facilitation des procédures d’autorisation de mise sur le marché pour de prochaines épidémies potentielles, alors qu’il faudrait au contraire renforcer les contrôles et ne pas déresponsabiliser les laboratoires des effets indésirables de leurs produits.

    Au lieu de passer des années à concevoir un nouveau vaccin à base d’ARNm, Moderna s’aide de la bioinformatique et « utilise un logiciel de modélisation pour réaliser un nouveau produit en quelques semaines, voire en quelques jours », ce que nous explique VMware, un partenaire de Moderna.

    L’OMS valide les orientations de Big Pharma sans protection pour les populations

    C’est totalement passé inaperçu mais l’OMS « publie début 2022 de nouvelles recommandations sur la modification du génome humain pour faire progresser la santé publique ». Depuis que le secteur privé s’est emparé de la recherche génomique, la brevetabilité du vivant a basculé du secteur public au secteur marchand où la régulation s’effectue dans une optique de profit enveloppée d’un discours faussement éthique. Le système des Nations unies – dont l’habitude ; maintenant bien connue, consiste à présenter des textes normatifs soi-disant protecteurs qui sont en réalité progressistes et transgressifs – a conçu un texte sur le génome humain et les droits de l’homme qui, sous couvert d’éthique, autorise la brevetabilité du génome humain modifié.

    La spécialiste Mendoza Caminade alerte : « Il faut trouver un juste équilibre entre les intérêts de la recherche, et les grands principes éthiques de protection de la personne humaine. La difficulté est de trouver cet équilibre [….] Les pressions du privé, de l’industrie en général, font céder certains Etats sous couvert de progrès technologiques ».

    En réalité, les autorités participent à une transgression programmée des droits de l’Homme, il suffit pour cela de s’intéresser en France aux lois de bioéthique articulées autour d’états généraux, un système participatif en réalité régulièrement contourné par le législateur. Par exemple, la gestation pour autrui, toujours interdite en France, a été reconnue lorsque celle-ci est réalisée à l’étranger ; un moyen de contourner la loi française et de préparer la prochaine étape d’une loi favorable en France. La révision périodique des lois de bioéthique a surtout pour objectif de faire accepter la transgression régulée de la dignité de la personne humaine. Nous assistons à un simulacre de démocratie piloté par des intérêts financiers et idéologiques. Outre le fonctionnement anti-démocratique, ces pratiques amorcent une étape nouvelle que nous vivons pleinement actuellement : celle d’une gouvernance autoritaire et mondialiste qui s’affirme de plus en plus ouvertement – notamment via le système des Nations Unies – ; gouvernance qui laisse peu de place à la contestation. Le système des Nations unies n’est pas un système démocratique mais privé, la gouvernance a basculé des nations à un système privé antidémocratique financé par des fonds privés. Cette situation fait le lit de violentes révoltes à venir avec la complicité de nos élus.

    Les injections permettent d’introduire des nanotechnologies dans l’organisme

    Les injections sont une finalité, et elles ne protégeront pas davantage les populations contre les autres maladies que contre le Covid mais devraient accroître davantage encore l’effondrement du système immunitaire.

    L’observation à la microscopie et la spectroscopie du contenu des injections expérimentales contre Covid a montré la présence de nanotechnologies et d’oxyde de graphène. Ces différents éléments n’apparaissent pas dans la composition officielle des sérums. Les nanotechnologies identifiées et leur analyse permettent de comprendre ce que l’industrie pharmaceutique envisage à travers le développement d’injections dites thérapeutiques.

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  • Ministre de l'Economie du Brésil, Paulo Guedes : "la France est en train de devenir insignifiante"

    Le ministre de l’Économie du Brésil, Paulo Guedes, a reproché au gouvernement français ses critiques sur la déforestation en Amazonie. Il a menacé de l'envoyer se «faire foutre» et de se détourner du marché français.

    Le ministre de l'Economie du Brésil, Paulo Guedes, a affirmé que la France était en train de devenir «insignifiante», menaçant de se détourner du marché français si Paris ne cessait pas ses critiques sur la déforestation en Amazonie. «Vous avez intérêt à bien nous traiter, sinon on va vous envoyer vous faire foutre», a-t-il lancé le 9 août à Brasilia, lors d'un congrès de chefs d'entreprise du secteur de la restauration dont des extraits filmés ont commencé à être diffusés dans la presse brésilienne le 10 août.

    Paulo Guedes a ensuite eu recours à la comparaison, prenant l'exemple de l'incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, en 2019. «Un jour, un ministre français m'a dit : "Vous êtes en train de brûler la forêt". Je lui ai répondu : "Et vous, vous avez brûlé Notre-Dame"», a-t-il raconté, sans préciser de quel ministre il parlait.

    «Ce sont des accusations futiles ! Vous n'avez pas brûlé Notre-Dame, mais vous n'avez pas réussi à empêcher le petit pâté de maison [où se trouve la cathédrale] de prendre feu. Chez nous, [la forêt amazonienne] est plus grande que l'Europe et vous nous critiquez», a-t-il ajouté. Et de poursuivre : «Après, j'ai donné un autre exemple [au ministre] : "nos échanges commerciaux avec vous [la France] s'élevaient à 2 milliards de dollars en 2000, autant que la Chine. Aujourd'hui, c'est 7 milliards avec vous et 120 milliards avec la Chine. Vous devenez insignifiants pour nous"».

    Le Brésil exige que la France s'ouvre au Mercosur

    Dans son discours du 9 août, Paulo Guedes a critiqué le fait que le président français Emmanuel Macron soit opposé à la ratification de l'accord commercial entre l'Union européenne et le Mercosur (qui réunit Brésil, Argentine, Uruguay et Paraguay), doutant de l'engagement du Brésil à défendre l'environnement, face à l'avancée de la déforestation et des incendies en Amazonie.

    «Ou la France nous ouvre son marché, à nous et au Mercosur, ou elle deviendra insignifiante pour nous et on ira voir ailleurs», a-t-il insisté. En septembre 2019, Jair Bolsonaro et Emmanuel Macron ont eu de nombreuses passes d'armes au sujet des feux de forêt en Amazonie, le président brésilien accusant son homologue français de menacer la «souveraineté» du Brésil en critiquant sa politique environnementale. Paulo Guedes s'était à l'époque distingué en affirmant que Brigitte Macron était «vraiment moche».

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  • La Grande-Bretagne collabore-t-elle réellement avec l'Ukraine pour détruire le pont de Crimée ?


    Des bruits sont lancés depuis Kiev, selon lesquels la Grande-Bretagne consulterait Kiev en vue de la destruction du pont de Crimée. 

    Ce pont est certes particulièrement symbolique de la défaite et du Maîdan en Ukraine, et des technologies politiques de "révolutions sur mesure" globalistes, puisqu'il marque la perte définitive du territoire.

     Mais les Britanniques ont-ils conscience que de ce fait, ils deviennent partie au conflit ?

    Cela fait un mois que l'Ukraine, par différentes voix, lance le discours d'une attaque du pont de Crimée. Notamment, Arestovitch, le pantin conseiller de l'Office présidentiel ukrainien, déclarait que le pont serait attaqué, dès que la possibilité technique se présenterait. L'armée ukrainienne militairement recule malgré les armes des pays de l'OTAN et satellites américains, elle n'a pu faire reculer la Russie que lors des négociations / chantages. L'attaque du pont de Crimée, qui n'est pas un ouvrage militaire, mais civil, entrerait parfaitement dans la logique du combat mené par les Atlantistes. Il leur reste comme une (grosse) arrête en travers de la gorge. Le lancement du Maidan a lancé le départ du processus de décomposition de l'Ukraine (Crimée, Donbass etc.) et a signé la fin de son étaticité (tutelle directe atlantiste). Faute de pouvoir reprendre la Crimée, il serait symbolique de détruire le pont.

    Le ministère ukrainien de la Défense en parlait à la mi-juillet. Vadim Skibitsky, représentant du renseignement militaire ukrainien, envisageait sérieusement la possibilité d'utiliser les fameux HIMARS américains pour cibler le pont de Crimée. La déclaration n'a pas été prise au sérieux en Russie, en raison du niveau particulièrement élevé de sécurisation du site. Mais les risques existent toujours.

    Après qu'un participant à un show politique sur Rossiya 1, Igor Korotchenko, ait déclaré que des discussions ont eu lieu entre l'Ukraine et la Grande-Bretagne sur ce sujet lors du sommet de l'OTAN en juillet, le député ukrainien Alexeï Goncharenko a publié une photo sur son Telegram déclarant que des discussions sont en cours depuis le mois de juin avec la Grande-Bretagne.

     

     
    Plus concrètement :
    "Dans le même temps, Wallace a informé que Londres transférerait des M270 MLRS de fabrication américaine à l'Ukraine avec des missiles capables d'atteindre des cibles à une distance allant jusqu'à 80 km, et fournirait un nombre supplémentaire de MLRS, ainsi que des missiles guidés M31A1."

    Si réellement cette attaque se produisait, la Grande-Bretagne deviendrait partie active au conflit et à un conflit qui serait largement renforcé, puisqu'il aurait touché le territoire russe de manière symbolique, ce qui obligerait la Russie à monter d'un cran. Les Britanniques, confirment-ils les déclarations des Ukrainiens ? Il serait intéressant de le savoir ...


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