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  • Immigration : LR nous prend pour des perdreaux de l’année..

    Avant de rentrer dans le vif du sujet, il est important de noter que jusqu’à maintenant tous ceux qui parlaient d’immigration en soulignant que c’était la source d’une multitude de problèmes étaient qualifiés de fascistes, de racistes ou de xénophobes. Y compris par le parti LR.

    Aujourd’hui, les LR semblent se réveiller et à cette occasion découvrent la face cachée de la lune, à savoir que oui, l’immigration est un grave problème pour notre pays et qu’elle a d’innombrables conséquences comme l’insécurité, un coût social délirant, de la fraude sociale, des atteintes à la laïcité, un refus de s’intégrer et encore plus de s’assimiler, la création de zones géographiques dans lesquelles les Lois de la République ne s’appliquent plus, etc. Bref ils ont découvert tout ce qui pourrit au quotidien la vie de notre pays et des Français.

    La motivation de ces propositions LR est toute simple. Avec la Loi sur la retraite à 64 ans, les LR en sauvant le gouvernement Macron (49.3) se sont « grillés » aux yeux de l’opinion publique.

    Il n’y a pas besoin d’être grand clerc pour comprendre que pour les Français, même les plus crédules, Macron et LR c’est maintenant blanc bonnet et bonnet blanc.

    Si LR ne trouve pas le moyen de faire croire qu’ils sont différents, c’est leur disparition qui est à l’ordre du jour, à l’occasion des prochaines élections.

    Ils ont donc trouvé avec l’immigration un sujet avec lequel ils pensent se refaire une virginité.

    Sauf que le projet qu’ils présentent n’est qu’un projet à “l’eau tiède” alors qu’il faudrait un véritable projet de rupture avec les politiques suivies depuis des décennies par tout le personnel politique, qu’il soit de droite ou de gauche. De plus ils se heurtent à un problème constitutionnel.

    Ainsi, ils proposent deux Lois.

    L’une est une Loi constitutionnelle parce que le sujet de l’immigration n’est pas prévu, selon certains, dans les thèmes mentionnés dans l’article 11 de la Constitution de notre pays.

    De qui se moque-t-on ?

    Voilà ce que dit l’article 11 de notre Constitution :

    « Le Président de la République, sur proposition du Gouvernement pendant la durée des sessions ou sur proposition conjointe des deux assemblées, publiées au Journal Officiel, peut soumettre au référendum tout projet de loi portant sur l’organisation des pouvoirs publics, sur des réformes relatives à la politique économique ou sociale de la nation et aux services publics qui y concourent, ou tendant à autoriser la ratification d’un traité qui, sans être contraire à la Constitution, aurait des incidences sur le fonctionnement des institutions. »

    Ceux qui prétendent que l’article 11 ne peut-être utilisé pour organiser un référendum sur l’immigration, affirment donc que cette dernière ne relèverait pas d’une politique “sociale”. En conséquence l’article 11 ne peut être utilisé et il faudrait une modification de la Constitution.

    Vraiment ?

    Le regroupement familial, ce n’est pas un problème social ?

    Les versements sociaux qui se chiffrent en dizaines de milliards, faits à des millions de personnes immigrées, ce n’est pas un problème social ?

    Les fraudes sociales en tout genres, causées par de nombreux membres de cette immigration, ce n’est pas un problème social ?

    La délinquance liée à cette immigration et le coût que cela entraîne pour notre pays, ce n’est pas un problème social ?

    Cet argument « ce n’est pas social » est une manière de botter en touche qui ne trompe personne.

    Alors, il reste la voie parlementaire. Là c’est l’article 89 de la Constitution qui doit être utilisé.

    L’initiative de la révision, telle qu’elle est définie à l’art. 89 de la Constitution, revient soit :

    • au président de la République sur proposition du Premier ministre : on parle alors de projet de révision ;
    • soit aux membres du Parlement : il s’agit dans ce cas d’une proposition de révision.

    Dans les deux cas, le texte de la révision doit être voté en termes identiques par l’Assemblée nationale et par le Sénat.

    Pour devenir définitive, la révision doit ensuite être obligatoirement approuvée par référendum lorsqu’il s’agit d’une proposition de révision constitutionnelle.

    Les révisions initiées par le président de la République peuvent être approuvées par référendum ou par la majorité des 3/5 des suffrages exprimés des deux chambres du Parlement réunies en Congrès.

    Le chef de l’État peut, en tout état de cause, arrêter la procédure de révision, même si les deux assemblées sont parvenues à l’adoption d’un texte identique, puisqu’il dispose du pouvoir de convoquer le Congrès ou le corps électoral en cas de référendum.

    Cet argument « constitutionnel » ne tient donc pas la route et ne résiste pas à la plus élémentaire critique. Quant à l’article 89, tout dépend du président de la République. S’il refuse, l’affaire est terminée.

    Et tout le monde sait que l’affaire est perdue d’avance pour la modification de la Constitution et un référendum sur l’immigration. Puisque Macron bloquera.

    L’initiative constitutionnelle LR n’a qu’un but : qu’ils se refassent une virginité en disant « Nous étions pour le référendum, mais Macron bloque toute possibilité d’y recourir. C’est lui le responsable, pas LR ».

    C’est facile et ça ne coûte rien de jouer cette comédie dont tout est prévu à l’avance.

    Chacun pourrait se demander : « Mais au fait, pourquoi Macron refuse-t-il le référendum alors qu’il sait que 70 % des Français veulent un arrêt de l’immigration ? ».

    Là on pose la question de fond. La question « banco ».

    Et la réponse est : à cause de l’Europe.

    Au fur et à mesure de la construction de l’Europe, on a assisté à un transfert de compétences, donc à une perte de notre indépendance nationale sur de multiples sujets.

    Ce n’est plus la France qui décide de sa politique sur nombre de sujets, c’est l’Europe. Plus exactement la Commission européenne qui n’a été élue par personne mais qui impose sa politique à tous les pays membres de l’Union européenne.

    Il se trouve que l’une des « compétences partagée » est l’immigration. La réalité étant que sur l’immigration c’est une compétence « partagée » sur le papier, mais en réalité c’est l’Europe qui est seule maître à bord.

    Macron n’est qu’un exécutant qui ne fait qu’appliquer la politique de l’Europe. Il n’a pas le choix et aucune marge de manœuvre. Il doit appliquer ce qui est décidé à Bruxelles.

    Et même s’il faisait un référendum, contraire à la volonté de Bruxelles, le Conseil constitutionnel s’opposerait au motif des accords signés avec l’Europe sur ce sujet et que la France est obligée d’appliquer en vertu de l’article 5 de notre Constitution.

    Ce qui prouve que nous vivons sous le règne du « gouvernement des juges » et que les hommes politiques français ne peuvent plus décider ou faire ce qu’ils veulent.

    En conséquence, si la France voulait vraiment reprendre la main sur le sujet de l’immigration, il faudrait qu’elle dénonce les accords signés dans ce domaine avec l’Europe.

    Ce qui déclencherait une crise majeure, car ou on est dans l’Europe et on accepte son fonctionnement, ou on n’y est pas. On ne peut pas y être et n’accepter que ce qu’on veut.

    L’acceptation de la perte de notre indépendance nationale sur de multiples sujets a des conséquences dramatiques pour notre pays.

    Nous sommes en train d’en vivre un tragique exemple avec l’immigration.

    Ce qui n’empêchera pas TOUS les partis de se présenter l’an prochain aux élections européennes, avec nombre d’entre eux qui vous diront : « Votez pour nous, pour une autre Europe » alors qu’il savent parfaitement qu’il n’y aucune possibilité de modifier les traités, ni l’Europe.

    Je rappelle que pour pouvoir modifier un traité, il faut l’unanimité des pays de l’Union européenne.

    C’est pourquoi on ne peut que rire lorsqu’on entend un Mélenchon déclarer de manière péremptoire : « Si je suis élu, j’imposerai la renégociation des traités ».

    Il n’y a que les imbéciles et les ignares qui ne savent pas ce qu’est l’Europe pour le croire.

    Il en va de même lorsque LR écrit dans sa proposition de Loi constitutionnelle que LR compte inscrire dans la Constitution « la possibilité de déroger à la primauté des traités et du droit européen (…) quand “les intérêts fondamentaux de la nation” sont en jeu ».

    En écrivant cela LR confirme ce que j’écrivais plus haut, à savoir que la question clé c’est l’Europe et notre présence en son sein, avec abandon de notre indépendance nationale sur moult sujets, dont l’immigration.

    Mais en lisant cela, on a aussi envie de leur dire :

    « Oh les gars, vous nous avez raconté des histoires pendant des dizaines d’années. Vous avez dit qu’avec l’Europe ce serait mieux et qu’on serait plus forts.

    En 1992, vous avez dit qu’il fallait voter OUI à Maastricht (y compris Mélenchon) alors que vous saviez que le passage de la CEE à l’UE signait la fin de notre indépendance nationale et que nous perdions à cette occasion la possibilité de décider souverainement ce que veut ou ne veut pas notre pays.

    Aujourd’hui on en paye le prix avec l’immigration, entre autres sujets. Vous trouvez aujourd’hui que ça pose un problème.

    Vous ne pensez pas que vous auriez dû réfléchir un peu avant d’appeler à voter OUI à Maastricht ? Et de nous embarquer dans cette galère. »

    Quant à la possibilité de « déroger (…) si les intérêts fondamentaux de la nation sont en jeu ».

    Là, comme Mélenchon, LR nous prend pour des crétins. Aucune dérogation ne sera accordée.

    Ils le savent parfaitement. Ou alors c’est qu’ils sont totalement ignorants et n’ont même pas compris ce que signifiait mettre le doigt dans l’engrenage de Maastricht.

    Avec l’Europe, nous allons boire le calice jusqu’à la lie.

    Sauf si nous sortons de l’Europe (Article 50 du Traité européen) comme l’ont fait les Anglais, afin de retrouver notre liberté et notre indépendance nationale.

    Mais vous verrez l’an prochain, LR présentera une liste aux élections européennes et je parie qu’ils diront que ce sera pour « une autre Europe » en sachant pertinemment que c’est une escroquerie politique car l’Europe ne peut pas être changée de l’intérieur. La seule solution c’est d’en sortir !

    Quant à la seconde Loi de LR, une Loi « simple », c’est un concentré de mesures à l’eau tiède qui ne solutionnera aucun problème, même si elle était adoptée, ce qui est impossible car la NUPES et les macronistes voteront contre. Donc il n’y aura aucune majorité pour la voter.

    Au final, la seule chose qu’on puisse retenir de tout cela, c’est que LR vient de découvrir que l’immigration est un problème majeur pour le pays.

    Ils viennent aussi de nous faire la preuve que leur tentative, qu’ils savent condamnée d’avance, vise avec cynisme à une seule chose : essayer de se refaire une virginité politique en prévision des prochaines élections afin de ne pas disparaître.

    Bernard GERMAIN

    https://ripostelaique.com/


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  • Face à la répression arbitraire du gouvernement, union du camp national et identitaire !.

    Face à la répression arbitraire du gouvernement, union du camp national et identitaire !

    Face à la répression inouïe, arbitraire et autoritaire de la part du gouvernement, désireux de museler l'opposition nationale en l'interdisant de manifester ou de se réunir, le camp national doit impérativement s'unir pour refuser cette atteinte grave aux libertés politiques fondamentales.

    C'est pourquoi, dans les jours et semaines qui viennent, le Parti de la France va prendre contact avec l'ensemble des forces nationales et identitaires, sans exclusive, pour mettre en place une riposte adaptée et unitaire à cette forfaiture.

    Si nous courbons l'échine et ne réagissons pas immédiatement, nous serons voués à la clandestinité, à la marginalité politique et exclus du débat public.

    Ce combat est essentiel pour la survie de la cause nationale en France occupée. Ne laissons pas une poignée de bureaucrates cosmopolites entraver notre droit à la résistance populaire !

    Thomas Joly - Président du Parti de la France


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  • Affaire Lola sur France 5 : un documentaire orchestré par l’extrême gauche.

    Sept mois après l’horrible meurtre de la petite Lola, France 5 proposait, ce dimanche 21 mai, un nouveau numéro de sa série La Fabrique du mensonge consacré à cette tragique affaire. Loin de s’interroger sur les liens entre immigration non contrôlée et insécurité ou de s’attarder sur la non-exécution d’une grande partie des OQTF, le documentaire qui cite Boulevard Voltaire souhaitait décrypter « comment le visage de l’adolescente est devenu, en une semaine, un symbole récupéré par l’extrême droite sur les réseaux sociaux ». Aux manettes de cette manipulation des faits, les acteurs sont tous motivés par une même idéologie.

    Propagande du service public

    Premier acteur, et non des moindres, le service public a participé à la production et permis la diffusion de ce nouvel épisode de la saison 3 de La Fabrique du mensonge. Avec l’argent du contribuable, France Télévisions soutient la réalisation de cette soirée qui vire rapidement au discours de propagande, comme bon nombre des programmes de France 5 désormais. Il suffit, pour s’en rendre compte, de regarder les récents invités et thèmes de débat de l’émission C ce soir, sur la même France 5. À ses côtés, le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC), organisme public alimenté en grande partie par des taxes sur les entrées au cinéma, a également pris part à la production de ce numéro. Contacté pour connaître le montant de l’aide allouée, le CNC n’a pas encore répondu à nos sollicitations.

    Au-delà du service public qui offre une stature non négligeable à ce pseudo-documentaire sur l’affaire Lola, deux sociétés de production sont engagées depuis plusieurs mois dans la réalisation des films pour La Fabrique du mensonge. On trouve d’abord Babel Doc, fondée en 2007 par Stéphanie Lebrun, actuelle directrice du Centre de formation des journalistes (CFJ), connu pour son orientation très à gauche, et le journaliste Sébastien Daguerressar. Longtemps consacrée à la réalisation de films internationaux, cette société produit désormais de nombreux formats pour les chaînes de télévision françaises, notamment pour le service public et Arte. Un rapide coup d’œil à son catalogue de documentaires donne la couleur idéologique des formats. Si certaines productions – sur les maux de la jeunesse ou le Covid - n’attirent pas le regard, d’autres – sur Greta Thunberg, sur l’égalité des sexes en Suède ou encore contre la gouvernance de Bolsonaro au Brésil - ne laissent que peu de doutes quant au prisme écolo-progressiste de Babel Doc.

    La revanche des anciens de Canal+

    Coproducteur aux côtés de Babel Doc, Together Media porte également un discours empreint de progressisme. Rien d’étonnant, quand on sait que cette société de production a été fondée par Renaud Le Van Kim, ancien producteur du Grand Journal sur Canal+débarqué par Vincent Bolloré en 2015. Cofondateur de Brut, ce professionnel expérimenté définit, dans les colonnes de Challenges, sa ligne éditoriale comme « un set de valeurs progressistes et globales qui dépassent les frontières ». À savoir « le féminisme, l’écologie et les droits des minorités ». Une ligne qui semble partagée par ses employés, dont Félix Suffert Lopez, ancien de Canal+ période pré-Bolloré lui aussi, devenu au sein de Together Media l’un des producteurs de La Fabrique du mensonge. C’est à eux qu’on doit, notamment, la présence de Karim Rissouli, lui aussi ancien de Canal+ qui « ne se voyait pas travailler pour Vincent Bolloré », à la présentation de plusieurs émissions sur France 5, dont La Fabrique du mensonge.

    Avec ce numéro consacré à l’affaire Lola, ce club des anciens de Canal+ tient sa revanche ou peut-être sa vengeance sur Vincent Bolloré. Avec l’aide d’« experts » hostiles au milliardaire breton, ils accusent en filigrane les chaînes du groupe Bolloré – notamment CNews et l’émission de Cyril Hanouna – d’avoir fait le jeu de l’extrême droite en instrumentalisant l’affaire Lola. Ces médias en auraient trop fait sur le meurtre de l’adolescente. Pour France 5, l’affaire Lola doit rester un fait divers.

    Clémence de Longraye

    Source : http://bvoltaire.fr

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    Un internaute décortique les manipulations et mensonges du documentaire.


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