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  • En suivant la trace d’un camion de dépannage, les enquêteurs toulousains ont résolu la disparition simultanée de deux fourgons et d’un van dans la même résidence

    Avec les bons « outils », tout est plus facile. Illustration.
    Avec les bons « outils », tout est plus facile. Illustration.© User3280de91
     
    Outillé comme jamais - En suivant la trace d’un camion de dépannage, les enquêteurs toulousains ont résolu la disparition simultanée de deux fourgons et d’un van dans la même résidence

    L’affaire remonte au mois de novembre 2022, quand trois véhicules garés sur le parking d’une résidence du quartier de Rangueil à Toulouse se sont volatilisés au cours de la même soirée. Pas des petites citadines, mais deux fourgons appartenant à la même victime, et le van aménagé de son voisin. Voilà pourquoi les enquêteurs de l’unité des atteintes aux biens de la rive droite se sont attardés sur un témoignage évoquant le passage d’un camion muni d’un plateau dans le secteur.

    Ils ont retrouvé la trace de l’engin, de type fourrière, sur les images de vidéosurveillance et ont remonté la piste jusqu’à un employé d’une petite société de dépannage et deux de ses collègues.

    Plusieurs allers-retours

    Les trois hommes ont été placés en garde à vue mercredi. Après avoir prétendu que l’enlèvement des véhicules avait été fait sur demande de la métropole. Le principal protagoniste, âgé de 39 ans et déjà connu des services, a fini par avouer les vols qui ont demandé plusieurs allers-retours. Il sera jugé prochainement devant le tribunal correctionnel. Ses deux « camarades », qui croyaient, disent-ils, donner un coup de main pour le boulot ne seront pas poursuivis.

    Le propriétaire des deux fourgons ne les reverra pas. Ils ont été refourgués à des spécialistes des pièces détachées. Mais le van a quelques chances d’être toujours en circulation.

     
    Sources :20 MINUTES

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  • Obus à l'uranium pour Kiev: "les céréales seront aussi contaminées"

     
    Le blé et les produits alimentaires produits en Ukraine deviendront radioactifs suite à la décision de Washington de fournir à l’Ukraine des obus à l’uranium appauvri. La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a évoqué ce risque à Sputnik, en marge du forum économique de Saint-Pétersbourg.
     
    Si les États-Unis fournissent à Kiev des obus de char à l'uranium appauvri, cela nuira à l’environnement et contaminera les céréales ukrainiennes, a déclaré ce 14 juin à Sputnik Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, en marge du Forum économique international de Saint-Pétersbourg (SPIEF).
     
    "Apparemment, ceux qui prennent de telles décisions dans le monde anglo-saxon supposent, en raison de leur faiblesse d'esprit, que cela ne les affectera pas. Notre première réaction a été de penser que les céréales et les denrées alimentaires produites en Ukraine seraient également contaminées. Mais à qui les livreront-ils, s’ils parlent tous les jours de la sécurité alimentaire?", s’est-elle demandée.

    Pourquoi cette insouciance?

    Selon la porte-parole, Washington fait mine d'oublier que l'uranium appauvri est nocif pour tous, y compris pour l'environnement.
     
    "Pour les États-Unis, ce n'est apparemment pas un problème […] parce qu'ils pensent qu'étant donné qu'ils sont sur un autre continent, la fourniture de substances radioactives à utiliser dans les opérations de combat ne les affectera pas", a-t-elle ajouté.
     
    Le média Wall Street Journal a récemment annoncé que la Maison Blanche était sur le point d'approuver la fourniture d'obus de chars à l'uranium appauvri à l'Ukraine.
     
    Le 20 mars, Londres avait déclaré qu’il fournira des obus à uranium appauvri à Kiev avec des chars Challenger. Commentant cette décision, le Président russe a déclaré que l’Occident avait décidé de faire la guerre contre la Russie jusqu’au dernier Ukrainien, pour de vrai. Selon Mme Zakharova, l’emploi de tels obus est génocidaire pour les populations visées.
     
    Moscou avait en outre considéré que l’utilisation d’obus de ce type pourrait ressembler à une Yougoslavie bis, entrainant un risque de contamination radioactive et à une épidémie de cancers.
     
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