• LE MONARQUE QUI DÉTESTAIT LES « MÂLES BLANCS »

    LE MONARQUE QUI DÉTESTAIT LES « MÂLES BLANCS »

    (Cédric de Valfrancisque)

    « Notre simple existence…africanise, arabise, berbérise, créolise, islamise, noirise, la fille aînée de l’Eglise, jadis blanche et immaculée, aussi assurément que le sac et le ressac des flots polissent les blocs de granit aux prétentions d’éternité… »

    (Houria Bouteldja (1))

    Il y a quelques mois, je vous racontais qu’en classant des archives familiales, j’avais retrouvé une missive écrite par un aïeul, Jean-Aymard de Séconlat, petit hobereau cévenol qui a passé sa vie à parcourir le vaste monde.  Je ne puis mettre en doute l’authenticité de ses écrits mais je ne saurais trop vous dire où se situe le pays dont il décrit les travers, us et coutumes ? Qu’il vous suffise de savoir qu’il était peuplé de « Cellezéceux », lesquels étaient divisés, comme notre ancien Soudan, en diverses ethnies qui se faisaient la guerre entre elles, pour le plus grand bonheur de son souverain qui ne régnait que grâce à ces querelles tribales. Jean-Aymard de Séconlat a laissé moult notes sur le règne d’Emmanuel 1er, dit « Manu le fol ». Je ne puis vous dire s’il devait son surnom au fait d’être complètement folledingo ou à son goût pour les invertis – les « folles » – qui grenouillaient dans sa Cour et son gouvernement ? Ce roitelet, qui avait accédé au Trône très jeune, vivait avec sa vieille gouvernante, dame Brigitte, née Trognon du Touké, qui avait l’âge d’être sa mère. C’était un jeune arrogant, prétentieux, vaniteux comme un paon et qui avait une particularité qui aurait pu laisser une trace dans l’histoire si tout ceci n’avait pas tourné au drame : « Manu le fol » n’aimait que les haridelles boucanées, les invertis et surtout…les nègres. Ce type était blanc mais ne supportait pas sa couleur de peau. Les médisants disaient aussi qu’il n’aimait pas son sexe – d’où son attirance pour les antiphysiques – et les jouvencelles – d’où son goût pour les vieilles peaux.

    Avant d’aller plus loin dans mon récit (qui est celui de Jean-Aymard de Séconlat) disons que le sujet que j’aborde est sulfureux, aussi, comme je n’ai aucune envie de rendre des comptes à la 17° Chambre correctionnelle, je vais m’entourer de quelques précautions sémantiques.

    Traiter du racisme en France, c’est comme parler de corde dans la maison d’un pendu (ou de cornes dans celle d’un cocu) ; c’est mal vu et très risqué ! C’est un sujet tabou qui peut vous envoyer devant les tribunaux plus sûrement que de braquer une banque. Notre pays, depuis les Lois Pleven, Gayssot, Taubira et consorts, est devenu, petit à petit, totalement liberticide. Il est interdit, chez nous, d’avoir un avis défavorable (ou un jugement sévère) à l’égard des « minorités », qu’elles soient raciales, religieuses ou sexuelles. Pour avoir une idée de la répression de notre liberté d’expression, je vous invite à lire la loi du 1er juillet 1972 relative à la lutte contre le racisme. Dans le Code pénal, les articles 225-1 à 225-4 traitent des discriminations. L’article 225-1 en donne la définition ; l’article 225-2, lui, précise les fortes peines encourues ; l’article 225-3-1 reconnaît le « testing » ; et l’article 225-4 précise les peines encourues par les personnes morales. Les articles du Code pénal ont été ajoutés (ou modifiés) par différentes lois (loi n°2001-1066 du 16 novembre 2001, loi n°2004-1486 du 30 décembre 2004, loi n°2011-334 du 29 mars 2011). Dans le Code du travail, les articles L1131-1 à L1134-5 composent toute la section sur les discriminations. Comme si ça ne suffisait pas, la loi n° 2008-496 (loi du 27 mai 2008) traite des dispositions d’adaptation au droit communautaire. Liste non exhaustive car le sujet est inépuisable. C’est, disons-le, du pain béni pour les minorités qui se sentent (ou se disent) discriminées. Contre le « mâle blanc » on gagne à tous les coups !

    Si vous n’avez pas le courage de lire tout ça, ce que je peux aisément comprendre, sachez que la loi reconnaît… 27 critères de discriminations, excusez du peu ! La toute dernière, la 27ème, concerne la discrimination…capillaire. Où s’arrêtera-t-on ? Sommes-nous encore en démocratie ?

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    Peut-on encore parler de liberté d’expression et/ou de pluralité d’opinions ?

    Aussi, avant d’être cloué au pilori, je tiens à dire que, depuis ma prime jeunesse, aussi loin que je remonte, je n’ai pas le souvenir d’avoir fait le moindre mal, le moindre tort, à un arabe, à un noir, à un juif. Pas plus, d’ailleurs, qu’à un asiatique, communauté que j’allais oublier tant elle est discrète. Mais depuis la création du mouvement « Black Lives Matter », en 2013, la mort de George Floyd à Minneapolis, en 2020, et en France, l’affaire Traoré, c’est une surenchère permanente à la veulerie compassionnelle et à la repentance devant l’allogène qui crie sa haine de l’occidental.

    Précisons, avant qu’on me tombe dessus, que le qualificatif de « nègre » n’est en rien une insulte ; il définit une couleur de peau. Aimé Césaire et Léopold Sedar Senghor revendiquaient leur « négritude » et ils avaient raison. Alors soyons précis et essayons de parler français : qu’est-ce qu’un « petit noir » ? Un expresso ? Un négrillon ? Un pygmée ? On peut en dire autant du « blanc » : blanc comme quoi ? Comme la neige ? Comme la came que les bobos reniflent pendant leurs soirées-partouzes ? Il y a, qu’on le veuille ou non, des typologies très diverses : type européen, caucasien, asiatique, maghrébin, africain…En Afrique, parmi les nombreuses ethnies, le peul et le toucouleur n’ont rien de commun avec le wolof, le lébou, le sérére, le mandingue etc…etc…

    Mais revenons au règne – calamiteux – de « Manu le fol ». Pour accéder au Trône, ce jeune homme narcissique avait été aidé par la finance apatride qui rêvait d’une gouvernance mondiale. Lors d’une sorte de convent maçonnique, on lui avait fait jurer de remplacer la population ancienne et peu docile de son pays par des gens venus d’ailleurs. « Manu le fol » détestait les « mâles blancs » qui peuplaient son pays, connus pour être râleurs, bagarreurs, ombrageux et attachés à leur liberté.

    Un de ses prédécesseurs, aussi folledinguo que lui, messire Giscard de Chamalières, avait fait voter une loi permettant le « regroupement familial », une folie qui autorisait le nouvel arrivant à faire venir sa famille Dans le pays, on acceptait déjà le « Jus Solis » qui faisait automatiquement d’un enfant d’immigré né dans le pays un citoyen du royaume, comme si le simple fait pour un veau de naître dans une écurie faisait de lui un étalon ou un cheval de course !

    Messire Giscard de Chamalières et tous ses successeurs avaient été beaucoup plus loin que l’empereur Caracalla qui avait octroyé, en l’an 212, la citoyenneté romaine à tout estranger vivant dans l’Empire romain. Pourtant, nul n’ignorait que c’est à la « Constitution Antonine » qu’on devait la chute de l’Empire romain. Dans les milieux avertis, on parlait de « remplacement de population ».

    Or donc, pour complaire à ses maîtres, « Manu le fol » avait laissé entrer en son pays moult nègres ou mahométans, venus officiellement ou clandestinement. Dans les deux cas, le pays leur offrait le gîte et le couvert ainsi que des soins gratuits. Ils étaient donc autorisés à faire venir leur famille et comme beaucoup étaient polygames, ils amenaient avec eux une nombreuse marmaille.

    Très vite, le bas peuple, lassé des vols, rapines, pillages, meurtres, crimes odieux, trafics de substances hallucinogènes illicites, eut des velléités de rébellion, il convenait donc de le mettre au pas. D’abord en le trainant devant les chats-fourrés pour délit de racisme. Il était invité à ne pas faire d’amalgame et à ne point stigmatiser les nouveaux arrivants. Quiconque proférait une critique, aussi justifiée soit-elle, était traduit devant les juges et finissait parfois dans un cul de basse-fosse ou à la chiourme. Ensuite en lui imposant partout la « diversité » (puisque c’est ainsi qu’on nommait ce qui n’était pas blanc). « Manu le fol » exigea donc que dorénavant, toutes les réclames – ancêtres de la publicité – montrent des nègres ou, à la rigueur, des suppôts de Mahomet. Dans les théâtres, cabarets, salles de spectacle, les rôles principaux furent confiés à des allogènes basanés. Les blancs étant cantonnés aux rôles de valet, de traitre, ou d’idiot du village. Lors de la traditionnelle « Fête de la musique de sauvage »(2) il fit venir en son palais des invertis négroïdes attifés comme des femelles qui firent grand bruit et grand scandale en braillant des chansons obscènes.

    Quand il se rendait dans les îles ou les territoires qu’il prenait pour des îles (3) on le voyait caressant amoureusement de jeunes éphèbes à la peau noire et luisante.   

    Il avait nommé, comme porte-parole de son gouvernement, la dame Sibette Haine-Diaye, une grosse négresse qui, tel Henri IV avec la poule au pot, voulait imposer à tous le « Kébab » qui n’était pas à proprement parler une « cuisine du terroir ». Dans le même ordre d’idée (ou la même volonté de nocivité) il avait confié le ministère des escholiers à un nègre, Pap N’Diable, surtout connu pour sa détestation des blancs. Pour défendre la langue du pays lors d’un sommet, il avait choisi comme marraine une plantureuse chanteuse négresse du nom d’Yseult, qui n’avait rien à voir avec « Yseut la Blonde » dont le chevalier Tristan tomba fou amoureux. Cette Yseult avait pourtant proféré moult sotties et méchancetés sur le royaume avant que de quitter le pays pour s’en aller vivre outre- Quiévrain. Dans sa volonté de marquer les esprits, il avait fait entrer dans le temple maçonnique des grands hommes du pays, la chanteuse Joséphine Blakédeker dont la qualité principale était, vous l’aurez compris, d’être noire.

    Au début de son règne, il avait mandé à un ancien ministre – surnommé « l’éponge » (4) – de commettre un rapport pour améliorer le logement et ramener la paix dans les faubourgs aux mains de gangs allogènes. Puis, en gamin capricieux, il avait refusé de lire les préconisations de ce rapport en déclarant que « deux mâles blancs » n’ont pas à donner leur avis sur ces problèmes.

    Petit à petit, subrepticement, le pays se « négrifiait ». On vit, par exemple, une député noire inviter le peuple ancien à « manger (ses) morts » or le pays avait pour coutume d’honorer ses défunts et ne pratiquait pas le cannibalisme nécrophage.

    Aidés et encouragés par les affidés de « Manu le fol » (et autres « collabos ») et conscients de la lâcheté, de la veulerie et de la dégénérescence d’une partie du peupleles nouveaux venus osaient toutes les provocations. Dans la ville natale du plus grand poète-écrivain du paysils transformèrent sa statue en lui badigeonnant le visage en noir. Plus rien ne les arrêtait ! « Manu le fol » jubilait.

    En vue de jeux ou joutes réunissant en sa capitale – Boboland – des pays voisins, il décida qu’à la cérémonie d’ouverture des jeux, il ferait chanter une artiste originaire de… Bamako, au Mali.   

    Peut être une image de texte qui dit ’LES CHIFFRES DE L'IPJ DÉLINQUANCE À NICE: 54% DES COUPABLES SONT ÉTRANGERS ग Institut pour InstitutpourlaJustice la Justice Source Bryan Masson/préfecture des Alpes-Maritimes’Jean-Aymard de Séconlat écrit qu’à cette époque, une majorité de délits – vols, escroqueries, crimes, viols, etc – était le fait des nouveaux venus, qu’ils fussent naturalisés ou clandestins.

    Le pays allait à vau l’eau, la peur et l’insécurité régnaient partout, la crasse également ; les rats envahissaient les villes. Les ateliers, usines et industries fermaient leurs portes. On ne fabriquait plus rien. La classe ouvrière était totalement laminée. Les petits commerçants faisaient faillite.

    L’inflation était galopante. Les hospitaux, hospices, et lazarets manquaient cruellement de médecins, d’infirmières, de médications. Les escholiers n’apprenaient plus à lire, écrire ou compter ; on ne leur enseignait plus que l’eschologie, la théorie du genre et l’accueil du migrant.

    Les tribunaux ne punissaient que les habitants de souche et se montraient plus cléments et compréhensifs à l’égard des malfrats allogènes que de leurs victimes.Peut être une image de ‎texte qui dit ’‎LES CHIFFRES DE L'IPJ PRISON FERME: 41% DES CONDAMNÉS NE METTENT JAMAIS LES PIEDS EN PRISON קף Institut pour la Justice Source étude 59 de 'Institut pour la Justice‎’‎

    Et puis, et puis, lors d’une « Fête de la musique de sauvage » le couple royal décida de faire à nouveau venir en son palais des nègres braillards. « Manu le fol » chargea donc son ministre des Affaires Estrangères d’aller chercher les perles rares dans quelques tribus de la lointaine Afrique. Ce ministre, dont la qualité première était de porter la jaquette flottante, ramena d’on ne sait trop où quelques nègres de la plus belle ébène. Hélas, trois fois hélas, en ces temps anciens, il existait encore des tribus anthropophages en Afrique. A peine arrivés au sein du palais, les cannibales hésitèrent entre la viellasse et le galopin, puis, tel le gorille de Georges Brassens, ils délaissèrent la vieille.

    Le règne calamiteux de « Manu le fol » finit ainsi, tragiquement…

    Jean-Aymard de Séconlat concluait ses écrits par une belle envolée :

     « J’ai grande chance de vivre en France, ce pays où les gens sont tous blancs ! ».

    Pour ma part, je vis avec mon temps et je me dis que nous avons de la chance de vivre dans une vraie démocratie, dans ce beau pays parangon « des droits-de-l’homme et des libertés » et je refuse catégoriquement de chanter « Noir c’est noir, il n’y a plus d’espoir… »     

    Cédric de Valfrancisque.

    19 avril 2024

    1) Co-fondatrice des mouvements « Ni putes ni soumises », « Les Blédardes » et « Les indigènes de la République ».

    2) Fête créée jadis par le ministre de la trouduculture de François de Jarnac, seigneur de Latché et de l’observatoire, successeur de Giscard de Chamalières dont il continua et aggrava l’œuvre de destruction du pays.

    3) Bien qu’ayant été longtemps escholier, il prenait la Guyane pour une île.

    4) J’ignore le pourquoi de ce surnom.


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