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  • LE GRAND REMPLACEMENT , LE CHANGEMENT DE PEUPLE  ...

    Par:Pieds Noirs 9A..

    LE GRAND REMPLACEMENT , LE CHANGEMENT DE PEUPLE ...

    Article N°3048 du Jeudi 10 Août 2017

    C’est désormais une certitude démographique. Un jour, le Français blanc, de souche ou pas, sera en minorité dans son propre pays...

    LE GRAND REMPLACEMENT , LE CHANGEMENT DE PEUPLE  ...

    C’est nous-mêmes qui nous suicidons, ce n'est pas un rêve, mais la réalité. Dans cette situation ubuesque, voyez-vous, tout est inversé : les envahisseurs sont appelés des « migrants » et l’envahi vient les « sauver ». Les historiens du futur auront un mal fou à comprendre...

    Le fait du Grand remplacement creuse à nouveau, que personne ne se soucie guère,disons plutôt que peut-être dans 10 ans comprendront bien le bon vivre ensemble à la mode à la mode de chez nous,enfin de chez eux ...

    Si ce n'est encore plus, la vieille distinction maurrassienne entre le « pays réel » et le « pays légal », c'est-à-dire entre le monde vécu, celui du transport commun à 22h dans la banlieue parisienne, de la gare de Châtelet-les-Halles et j'en passe, des personnes âgées isolées dans les cités, et le pays des statistiques, des chiffres, des experts et des énarques propres sur eux,et riche en poches ...
    Ce « pays légal », c'est aussi celui des médias ; ceux qui, hier par exemple, imposent sur les grandes chaînes de télévision publique des apologies de l'immigration et un apport de soutien aux caisses sociales et du développement de la France .Ils font erreur !...

    C’est la sociologie, ce sont les statistiques,ce sont les chiffres qui se sont chargé de persuader les malheureux innocents Français abusés des ""je suis Charlie""et l'été de leurs ""bison futé"" de les prendre pour des bébés ,enfin    hébétés ainsi par le bourrage de crâne quotidien, qu’à l’école ou la déformation de l'histoire dont le niveau monte de plus en plus contre la vraie histoire, que la culture se répandait dans les masses, qu’il n’y avait aucune délinquance des immigrés, que d’ailleurs, il y avait de moins en moins d’immigrés, que l’immigration diminuait, que jamais il n’y avait eu si peu d’étrangers dans notre pays : bref que le système éducatif ne s’effondrait pas du tout, que la Grande Désulfuration n’avait pas lieu, que le Grand Remplacement était un fantasme...

    Il reste peu de solutions pour éviter à la France la submersion démographique : vu l’extrême misère des pays d’origine des « migrants », dont pas de très grands courageux quand même ,dont même la fermeture du robinet des aides sociales ne suffirait plus... 

    Ils sont là et bien là et les cousins cousines arriveront à les rejoindre, pour en faire des zones urbaines qui deviendront de plus en plus islamiques ainsi que les campagnes, l’écart s’accroît entre ces 4 et plus de populations. Et surtout, lorsque nous voyons des endroits comme Luton (Angleterre). Lorsque vous regardez l’expérience des femmes à Cologne (Allemagne). Nous voyons parfaitement ce que l’avenir nous réserve : la violence et la violence sexuelle contre les non-musulmans. Ce sera l’emprise de la charia » ...Pieds Noirs 9A..


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  • GUELMA (Algérie)

    Une ville sale et désolante, une gabegie écologique

    Des déchets amochant le cadre de vie et causant toutes sortes de nuisances. © D.R.

    Les cités Gahdour-Tahar et Zeghdoudi-Slimane illustrent parfaitement cette déliquescence, avec en l'occurrence des déchets dans des terrains vagues, aires de jeux, squares, rues et abords des immeubles.

    Censée être une vitrine de la wilaya, la ville de Guelma périclite au fil des ans au grand dam de ses habitants qui évoluent dans un environnement néfaste qui influe négativement sur leur qualité de vie. Un octogénaire s'est rapproché de Liberté pour déverser sa colère et son ras-le-bol : “Je peux vous affirmer que la cote d'alerte est amplement franchie ! Nous assistons à la descente aux enfers de notre ville natale qui est devenue un dépotoir à ciel ouvert ! Que font les élus locaux qui sont grassement rétribués afin de remplir leur devoir envers leurs administrés ? Les squares, les aires de jeux, les cités, les quartiers, les boulevards, avenues et rues croulent sous des tonnes d'ordures hétéroclites et cela perdure sans susciter une réaction salvatrice ! Par pitié, transmettez fidèlement notre message car il est inadmissible de tolérer ce laisser-aller au XXIe siècle. Une tournée à travers les divers secteurs du chef-lieu de wilaya nous confirme ce malheureux constat citoyen.
    Les cités Gahdour-Tahar et Zeghdoudi-Slimane (ex-Champ de manœuvres) illustrent parfaitement cette déliquescence avec en l'occurrence des déchets permanents au niveau des terrains vagues, aires de jeux, squares, rues et abords des bâtiments collectifs.
    Une vieille dame nous confie : “En fin d'après-midi, des voisines et moi-même sortons de nos appartements et nous nous retrouvons dans cet espace repoussant qui abrite depuis des mois des tas de bouteilles vides, des sachets, des ordures ménagères, des ronces, des restes de repas, etc. Ce malheureux panorama nous démoralise et nous secoue car comment aspirer à une détente dans de telles conditions ? Nous jetons l'anathème sur nos élus locaux qui restent sourds à nos légitimes doléances et ils sont indignes de gérer Guelma qui était au cours des années 80 la ville la plus propre et la mieux éclairée d'Algérie !” Des témoignages analogues sont exprimés par les riverains des cités populaires de Aïn Defla (ex-Fougerolle), sur les hauteurs de la ville, car ce vaste quartier est livré à lui-même : des ordures hétéroclites jonchent le sol, des troupeaux de vaches se repaissent de ces déchets, des chiens errants déambulent dans les rues et les ronces et les herbes occupent tous les espaces ! La cité Bensouilah, mitoyenne du complexe industriel de l'Enasucre, est dans un état déplorable : rues et trottoirs défoncés, tas d’immondices et environnement lugubre. Ammi Lakhdar, un retraité de l'éducation nationale, est catastrophé par cette inertie de l'APC qui renie ses obligations qui consistent à offrir un cadre de vie sain et harmonieux aux citoyens. Visiblement excédé par cette démission de la municipalité, il affirme : “Où sont passées les brigades de balayeurs communaux qui, dans un passé récent, s'évertuaient à nettoyer les rues, les cités et les squares et qui disposaient seulement d'une brouette et d'un balai ? Ces bonnes habitudes ont mystérieusement disparu et c'est ce qui explique cette dérive impardonnable. De nombreux présidents d'APC avaient accompli un travail remarquable durant leurs mandats car ils se levaient à l'aube et sillonnaient tous les secteurs de la ville pour s'enquérir de visu du travail des éboueurs, des équipes de nettoiement et des balayeurs ! En dépit des énormes moyens humains, matériels et financiers dont elle dispose, l'actuelle APC est aux abonnés absents et cela n'honore aucunement son président !” Un sexagénaire qui assistait à cette discussion s'implique : “C'est honteux d'accepter cette démission de nos édiles qui préfèrent se pavaner dans les véhicules de service et faire la sourde oreille à nos appels ! Je dois recevoir un couple d'amis d'outre-Méditerranée qui doit effectuer un séjour d'une dizaine de jours à Guelma et j'appréhende leur réaction face à cette gabegie écologique.”

     http://www.liberte-algerie.com


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  • Voitures "made in Algérie": le gouvernement dresse un bilan catastrophique ...

    En Algérie, les prix des voitures flambent à mesure que les chaînes de montage fleurissent. Dénonçant des "importations déguisées", les autorités veulent remettre à plat tout le secteur du montage automobile, censé initialement être le fleuron industriel du pays.

    Dans l'usine Renault de Oued Tlelat près d'Oran, en Algérie, le 10 novembre 2014© Fournis par AFP Dans l'usine Renault de Oued Tlelat près d'Oran, en Algérie, le 10 novembre 2014

    Le 27 juillet encore, après Renault et Hyundai, Volkswagen inaugurait une usine d'assemblage à Relizane (300 km d'Alger). Grand absent de la cérémonie, le ministre de l'Industrie Mahdjoub Bedda qui, quelques semaines avant, avait tiré à boulets rouges sur le secteur.

    Il avait promis de "mettre un terme au mode actuel de production" automobile en Algérie et, le 31 juillet, le gouvernement a suspendu tout nouveau projet de montage de véhicules.

    L'industrie automobile algérienne est née en 2012 quand les autorités ont conclu un partenariat avec la marque française Renault, qui a débouché fin 2014 sur l'ouverture de l'usine de la première voiture "made in Algeria".

    Entre-temps, la dégringolade à partir de la mi-2014 des prix du pétrole, qui fournit 95% des devises de l'Algérie, a propulsé la filière automobile nationale en tête des priorités pour réduire la facture des importations qui siphonnent les réserves de change. Les autorités ont donc contraint les concessionnaires automobiles à se doter d'une unité de production locale.

    Trois ans après, le bilan dressé par M. Bedda est catastrophique: aucun impact sur les réserves de change ou la création d'emploi, mais un coût important pour l'Etat en termes d'aides et d'avantages fiscaux.

    "Offre faible" 

    Au premier semestre 2017, si le nombre de véhicules importés a fortement chuté (-78% en glissement annuel), l'importation de pièces à monter sur les chaînes en Algérie a exactement compensé les économies en devises sur la même période, selon les chiffres officiels.

    Ultime paradoxe, "la voiture (produite en Algérie) coûte plus cher que dans les pays de provenance", a tonné le ministre, décidé à "arrêter l'importation déguisée" de la part des constructeurs.

    Exemple: la Renault Symbol made in Algeria coûte environ 200.000 dinars (1.600 euros au cours officiel) de plus que sa jumelle importée, la Dacia Logan. Le prix de la petite Hyundai i10 fabriquée sur place commence presque 2.000 euros plus cher qu'en France.

    "Les véhicules neufs sont chers car l'offre est faible", explique Issad Rebrab, patron de Cevital, premier groupe privé d'Algérie et importateur de la marque Hyundai, mais qui n'est pas l'associé de la marque dans son usine d'assemblage de Tiaret, ouverte fin 2016.

    Les importations de véhicules ont atteint un pic historique en 2012 (605.000 unités) avant de diminuer, notamment avec la mise en place de quotas l'an dernier. En 2016, 98.000 véhicules sont entrés en Algérie.

    Cette baisse des importations, non compensée par la production locale, a engendré une pénurie de voitures neuves dans un pays où la demandé annuelle est évaluée à 400.000 unités, estime Mohamed Yaddaden, consultant et ancien cadre du secteur automobile, qui estime que "les prix des voitures neuves ont connu une hausse moyenne de 40% entre 2014 et 2017".

    "Rien à assembler" 

    Le fiasco de l'industrie automobile en Algérie est principalement dû, selon les observateurs, au système adopté: le SKD (semi knocked down) qui consiste à importer le véhicule en kits pré-montés, simplement rivetés ou boulonnés sur place.

    "Le véhicule arrive semi ou complètement fini, donc il n'y a rien à assembler", expliquait début juillet au quotidien El-Watan Mohamed Baïri, patron d'Ival, importateur d'Iveco, promettant que son usine, censée ouvrir prochainement, assemblera elle l'ensemble des pièces des véhicules.

    Fin mars, des images diffusées sur les réseaux sociaux avaient créé le scandale en Algérie: on y voyait arriver à l'usine Hyundai des voitures quasi complètes, sur lesquelles ne restaient à monter que les roues.

    Une commission d'enquête avait rapidement écarté toute infraction mais des médias avaient pointé du doigt les liens entre le patron de l'usine, Mahiédinne Tahkout, et le ministre de l'Industrie d'alors, Abdeslam Bouchouareb, aujourd'hui critiqué par son successeur.

    Les observateurs dénoncent surtout le très faible "taux d'intégration" -c'est à dire de pièces produites localement- de 15%, imposé aux industriels.

    Le gouvernement a annoncé l'élaboration d'un nouveau cahier des charges et la création d'"un vrai marché de la sous-traitance", capable de fournir les usines en pièces fabriquées en Algérie.

    "Nous avons grillé plusieurs étapes, il fallait d'abord former le personnel, bâtir un réseau de sous-traitance avant de se lancer dans le montage de véhicules", a expliqué M. Baïri à El-Watan.

    http://www.msn.com


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  • << que les pieds-noirs aillent se réadapter ailleurs>>Defferre disait : << que les pieds-noirs aillent se réadapter ailleurs>> Il donnait le ton de la haine des Provençaux contre nous Français d'Algérie, immondes capitalistes, tous ses colons qui allaient prendre leur place. Aujourd'hui, ce qui reste de ces provençaux, on les entend moins chanter et ferme bien leurs grandes gueules devant tous ses migrants qui demain les jetterons dehors ...

    Pieds Noirs 9A..


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