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les Algériens doivent remercier et honorer cette charmante Fille La France !
Dans le droit de savoir
HISTOIRE DE L'AFRIQUE DU NORD
C'est faux d'accuser la France , de haine raciale envers les indigènes Musulmans .
Ceux qui cache la vérité , auront le châtiment de Dieu Allah , seigneur d Abraham ..
Voici une preuve de plus sur l’humanité de la Marianne .
La logique les Algériens doivent remercier et honorer cette charmante Fille La France .
Mohamed Ben Si Ahmed Bencherif, né le 16 février 1879 à Djelfa et mort le 22 mars 1921 à Djelfa, est un romancier et médecin bénévole algérien d'expression française.
Il est né le 16 février 1879 à Djelfa, chez les Ouled si M’hamed, de la confédération des Ouled Naïls. Son grand-père, Si Cherif Ben El-Ahrèche, servit l'Émir Abdelkader. Mohamed ben si Ahmed Benchérif suivit les cours du lycée d'Alger. Condisciple en 1897 de l'Émir Khaled à l'école militaire de Saint-Cyr (France), il en sort sous-lieutenant en 1899.
Affecté comme officier d'ordonnance du Gouverneur général Charles Jonnart, il est lieutenant de spahis en 1905 et caïd des Ouled Si M'hamed le 4 février 1907. En 1908, il combat avec son goum au Maroc. De retour en Algérie en 1914, il part pour le front français. Fait prisonnier à Lille en octobre 1914, il tombe gravement malade en captivité et refuse d'avoir des privilèges par rapport à ses compagnons de captivité à Krefeld. Interné en Suisse après seize mois de captivité, il est rapatrié en mai 1918 et est promu capitaine cette année-là. Il reprend sa place à la tête des Ouled Si M’hamed.
Le typhus se déclarant à Djelfa, il se dévoue inlassablement auprès de ses compatriotes. Lui-même est atteint par la maladie et meurt le 22 mars 1921 à Djelfa. Il avait accompli le pèlerinage à la Mecque en 1913.
Son pere sous lieutenant saint cyrien mort pour la france 1899.
Et lui meme capitaine formé a saint cyr .
Bachagha des tribus des ouled nail .
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