• LE DROIT DE VÉRITÉ ET LE DROIT DE SAVOIR !

    Posté Par:Pieds Noirs 9A..

     LE DROIT DE VÉRITÉ 

    ET LE DROIT DE SAVOIR !

     

    Le service de propagande des "fellaghas" et leurs soutiens en France , eux et la vérité sa fait deux .

    Maintenant les algériens disent qu'ils ont gagne la guerre .
    Et ça, c'est quoi, on n'a pas inventé des mensonges comme vous. Et maintenant même nos politiques se mettent a genoux alors que l'Algérie était Française et non colonisée ,l'Algérien n'existé pas ...Alger est un nom Français !.

    (Honneur au Général Maurice Challe)

    Qui vous a enlever le pantalon , nous avons pas peur de le dire .

    Éclairage

    Le ralliement de Ali Hambli et de ses hommes prend place dans le cadre de la grande contre-offensive déployée par l'armée Française en 1958-1959 sous la direction du général Challe, en tête du commandement militaire de l'Algérie. Après, la « bataille des frontières » en 1958, qui porte un coup terrible à l'ALN notamment à la frontière algéro-tunisienne, le plan Challe est mis en œuvre. Il s'agit d'asphyxier la « rébellion » et d'assiéger, en particulier dans les zones montagneuses, les compagnies et les commandos de l'ALN. Les combattants algériens sont contraints de se disperser, de se dissimuler toujours davantage, puis doivent s'exposer pour se déplacer et se ravitailler, risquant ainsi les offensives ou les embuscades de l'armée française. Les pertes infligées à l'ALN - morts, blessés, prisonniers ou ralliés - sont extrêmement lourdes. Dans ce contexte, une grave crise interne se développe au sein du FLN et de l'ALN, en particulier entre les chefs de l'intérieur et ceux de l'extérieur. Le capitaine Ali Hambli, qui tient une position importante dans la wilaya I à la frontière tunisienne, est entré en dissidence avec Krim Belkacem, vice-président du GPRA et ministre des forces armées, et le chef Saïd Mohammedi.

    Replié de la wilaya I vers la Tunisie avec ses hommes, Ali Hambli est arrêté en avril 1958 pour avoir critiqué les dirigeants de l'extérieur, qui vivraient dans l'opulence, éloignés des combats. Il est libéré en octobre 1958 avec pour ordre de rejoindre l'Algérie de l'autre côté de la frontière avec ses hommes. Assailli par des soldats de l'ALN, eux-mêmes appuyés par des combattants tunisiens, il fait le choix de rejoindre l'ennemi.

    C'est ainsi qu'il se rallie à l'armée Française, le 21 mars 1959, avec sa katiba (compagnie de l'ALN), en l'occurrence 150 hommes environ. Les rushes de ces images tournées le lendemain par l'armée Française nous montrent ces hommes, placés sous la protection de militaires Français, à Aïn Beida. Les séquences insistent sur les visages de ces hommes, souvent très jeunes, aux traits tirés, et qui reçoivent de la nourriture distribuée par l'armée Française.


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