• BIENVENUE EN MÉLENCHONIE (Xavier Jésu)

    Mes amis, pensez bien que je fais tous les efforts possibles et imaginables pour devenir un vrai « mec » de gauche, mais je n’ai pas encore trouvé les clés de la réussite pour me retrouver dans le camp du bien et m’immuniser du virus de la peste brune que mon médecin, le Docteur Boyard, a cru déceler chez moi.

    J’ai même décidé de m’infliger l’ultime épreuve de rattrapage en me mettant mes écouteurs intra-auriculaires dans mes esgourdes pour m’isoler du monde des « fachos » et écouter le discours du Duce Mélenchoni lors du lancement de la campagne pour les Européennes de LFI. J’avoue ne pas avoir eu le courage d’aller au-delà de son allocution qu’il a criée pendant une vingtaine de minutes. On se serait cru au discours éructé le 30 janvier 1939 par un bien triste moustachu.

    On le sait maintenant, Méluche voit des fachos partout, sauf dans ses propres rangs, bien sûr. Même Éric Naulleau et Michel Onfray, qui se revendiquent clairement de gauche, sont classés maintenant dans le camp de l’extrême droite, donc pétainistes et donc fascistes parce qu’ils ne suivent pas les délires des idéologues gavés de quinoa et qui considèrent que les drag Queen ont leur place dans les écoles primaires. Michel Onfray avait parfaitement résumé le monde de l’intolérance dont fait partie l’extrême gauche en déclarant :

    « La pensée dominante ne respecte pas ce qui n’est pas elle et traite toute opposition sur le mode du mépris, de la caricature ou de l’invective. La reductio ad Hitlerum fait la loi. On insulte, on caricature, on déforme, on méprise, on censure, on falsifie, on présente comme intox des infos et comme infos des intox… »

    Mais revenons quelques instants à ce qui m’a le plus marqué du discours du Lider Maximo, autocrate incontesté d’une association, La France Insoumise, qui ne comprend que trois membres ( pour éviter, probablement, la concurrence interne ).

    À 1 minute et 44 secondes du début de son discours, notre millionnaire Parisien, nourri presqu’exclusivement par l’argent public, rendait déjà hommage à Robespierre. Rappelons au passage que le brave Maximilien avait, entre septembre 1793 et son arrestation le 27 juillet 1794, été responsable avec le Comité de salut public d’un bain de sang qu’était la Terreur, au cours de laquelle des centaines de milliers de citoyens français furent arrêtés parce qu’ils étaient soupçonnés d’activités contre-révolutionnaires ; 16 594 de ces “suspects” furent guillotinés, tandis que des dizaines de milliers d’autres furent tués dans des massacres ou moururent en prison en attendant leur procès. Rien d’étonnant qu’il ne voit pas, dans les attaques du Hamas le 7 octobre dernier, la moindre notion de massacre, ce qui a valu d’être visé, comme Alain Soral et le NPA, par une plainte déposée par la JFJ. Serait-ce pour lui « un (nouveau) détail » dans l’histoire d’Israël ? Rien d’étonnant, non plus, qu’il ait pu s’acoquiner avec les communistes qui, eux, ont 100 millions de morts sur leurs épaules.  

    Il fustige ensuite les « puissants et, en particulier, les gouvernements des libéraux […] qui essayent de nous disperser par le racisme et la haine » !

    Ah ?

    Mais, dites-donc, cher ami, quand Danièle Obono disait de Jean Castex que c’était un « homme blanc de droite bien techno & gros cumulard » y contribuait-elle aussi ?

    Et quand l’élu LFI Jean-Philippe Nilor a comparé Mansour Kamardine, élu LR de Mayotte, à un « nègre de maison » y contribuait-il aussi ?

    Quant à la « haine », il n’y a pas mieux que lui pour en parler, tout simplement parce qu’il la manipule avec brio, quotidiennement : il suffit de le voir vomir la sienne sur les journalistes qui ne sont pas pro-extrême-gauche.

    « Le manichéisme de la gauche est toujours de mise : il faut trouver des dominés à défendre et des dominants à haïr, avec la haine comme moteur de la motivation. »

    ( Patrick Aulnas)

    Il continue ensuite sur la liberté d’expression en déplorant (à juste titre) les manipulations judiciaires dans certains pays (Sénégal, Brésil, Équateur) pour empêcher la liberté d’expression et considère que nous sommes, nous aussi, « en voie de république bananière ». Mais oui, vous avez raison, Monsieur le censeur en chef qui refuse de répondre aux invitations de Cnews (tout en glorifiant la valeur du débat) et qui balaye d’un geste de la main l’action antisémite menée contre une étudiante de Sciences Po, jugeant l’information fausse : vous ne rêvez que de censure, matin, midi et soir, espérant, comme votre piteuse collègue Sardine Ruisseau, que Cnews et C8 perdent leurs fréquences. Est-ce cela, votre vision de la « liberté d’expression » ?

    J’ai adoré le moment où il se moquait de ceux qui tentent de nous faire peur, à chaque élection, avec la menace de la Russie (comme ce fut le cas avec la menace des chars de cette même Russie du temps de l’URSS). Mais a-t-il oublié que lui-même, tous ses copains de gauche, d’extrême gauche et les macronistes en font de même en brandissant à chaque élection le péril fasciste, le bruit non pas des chars, mais celui des bottes des nazis, les descentes des milices collabos ? Ne s’est-il pas rendu compte que les milices actuelles sont celles d’extrême gauche, donc de son côté et que le péril fasciste a été remplacé par le péril islamiste qu’il valide en allant défiler aux côté des plus beaux spécimens de barbus excités ?

    En revanche, pas un mot sur le besoin de sécurité et la protection de l’Europe parce qu’il rêve, comme ses amis mondialistes du MEDEF, d’une uniformisation du consommateur, d’une créolisation de la population mondiale. Tout le monde remplacera tout le monde. Mais on commence vraiment à en mesurer les dramatiques conséquences.

    L’ensauvagement progresse chaque jour un peu plus sur notre territoire, repoussant les limites géographiques des lieux de convivialité et d’échanges. Les minorités seront, demain, les maîtres d’un monde presque orwellien où le couteau, la machette, la kalachnikov remplaceront stylos, livres et culture générale. La gauche aura achevé son plan de déconstruction entamé en 1968 sans en maîtriser la « bête », un peu comme le Docteur Jekyll et son pendant nocturne, Mr. Hyde, devenu incontrôlable.

    Bien sûr, on va me dire que, comme tout bon représentant de la fachosphère, j’exagère le trait pour mieux justifier « ma haine » ! Mais de quelle haine parle-t-on ? Ce mot, sorti tout droit du vocabulaire courant du manuel du parfait petit gauchiste, comme les mots « raciste », « xénophobe », « islamophobe », etc., est brandi par les ayatollahs de la pensée unique.

    Finalement, je ne serai jamais un « mec » de gauche. Et Dieu m’en garde !!

    Xavier Jésu


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  • Financé par Soros, un think tank soutient la répartition des migrants dans les campagnes

    « De Callac à Crépol : les campagnes au cœur des batailles identitaires ». Une cinquantaine de pages de rapport pour analyser les ressorts de la « méthode Callac », du nom du village breton qui, à la fin de l’année 2022, a refusé l’installation d’un centre pour réfugiés. Derrière l’apparence scientifique et rigoureuse de cette étude se cache en réalité un agrégat de poncifs visant à décrédibiliser l’opposition des « identitaires » à la répartition des migrants en zone rurale.

    Combattre les identitaires

    Callac, Saint-Brevin, Bélâbre, Beyssenac… Ces noms de villages français jusqu’alors inconnus du grand public ont émergé dans la presse nationale. Tous étaient visés - et certains restent toujours concernés - par un projet d’installation de migrants sur leur territoire, lancé par une association, la préfecture ou la commune. L’un d’euxoù BV s’était rendu dès les prémices du projet, situé dans les Côtes-d’Armor, a fait couler beaucoup d’encre. À Callac (22), le fonds de dotation Merci envisageait l’installation de plusieurs familles de réfugiés. En accord avec la mairie, l’arrivée des migrants dans ce village breton ne devait plus être qu’une formalité. Mais c’était sans compter sur la mobilisation d’une partie des Callacois et d’habitants de la région qui, une fois informés, se sont battus à coups de tracts et de manifestations pour enterrer le projet. Et finalement, face à l’opposition, la mairie décidait, en janvier 2023, d’abandonner l’initiative.

    C’est sur cet épisode que revient particulièrement l’étude de « Destin commun ». Les deux auteurs, Laurence de Nervaux et Raphaël Llorca, essayent de comprendre comment ceux qu’ils nomment les « identitaires » - catégorie qui serait préoccupée principalement par « l’immigration, le pouvoir d’achat et la menace terroriste » - sont parvenus à faire plier la mairie. À les lire, ces « identitaires », aidés notamment par les médias qui installeraient une « psychose » sur l’insécurité et la violence, auraient réussi à instiller leurs idées en zone rurale. Ils auraient même imposé une « lecture complotiste » (Grand Remplacement) quant à la répartition des migrants dans les campagnes, projet qui, pour rappel, a été lancé par le gouvernement. Or, cette lecture ne serait pas partagée par la majorité des habitants en zone rurale, loin de là. Les deux auteurs affirment ainsi qu’en dehors « du groupe des identitaires, les cas d’hostilités franches et nettes […] sont rares ». Autrement dit, les « identitaires » ruraux auraient imposé une vision faussée de l’immigration à leurs voisins, ce qui aurait conduit au rejet du projet Horizon à Callac.

    Subventionné par George Soros

    Afin qu’à l’avenir l’échec de Callac ne se reproduise plus, les deux auteurs reviennent sur les étapes de l’opposition pour donner des armes aux élus locaux qui souhaitent accueillir des migrants, afin de lutter contre ces identitaires. Création d’un comité d’opposants, manifestation locale, médiatisation de l’affaire avec des médias comme Le FigaroValeurs actuelles ou encore « Boulevard Voltaire qui électrise les conversations », affrontements, « terreur »… Face à cette « méthode », le think tank préconise donc « d’acculturer les élus aux stratégies d’influence identitaire » afin que ceux-ci ne cèdent pas et que les projets de répartition de migrants puissent s’installer en douceur. Et par ailleurs, ils conseillent d'agir contre la « perception de violence » en luttant, d’une part, contre l’isolement et en appelant, d’autre part, les médias à prendre leurs responsabilités. Agir en ce sens relèverait de l’urgence car, comme le notent les auteurs, « l’extrême droite portée par sa trajectoire ascendante ne s’arrêtera pas là ».

    Ce texte, empreint de poncifs sur l’extrême droite qui imposerait la « terreur », pose tout de même quelques problèmes méthodologiques. Tout d’abord, l’étude se fonde en partie sur quatre entretiens individuels, tous réalisés auprès d’acteurs partisans d’un projet de répartition des migrants en zone rurale. Par ailleurs, l’insécurité que disent vivre ou ressentir les habitants de commune rurale auditionnés semble minorée, reléguée au rang de « charge mentale » ou de « perception », malgré la mort du jeune Thomas survenue il y a quelques mois à Crépol, petite commune de la Drôme et dont l’étude se fait l’écho. À cela s'ajoute une coquille topographique dès l'introduction du rapport dans lequel les auteurs situent Crépol en Bretagne...

    Enfin, les conclusions de cette étude qui apporte son soutien à la répartition des migrants en zone rurale sont sans nul doute liées aux acteurs qui financent le travail du think tank présent également en Allemagne, au Royaume-Uni et aux États-Unis. Parmi les soutiens financiers, on trouve notamment l’Open Society Foundations de George Soros, milliardaire hongrois qui subventionne massivement des associations et des études qui œuvrent à la submersion migratoire. Cette étude est donc un énième moyen pour ses soutiens et pour ses auteurs d’appuyer la répartition des migrants sur l’ensemble du territoire national.

    Clémence de Longraye

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • Il faut dissoudre tous ceux qui appellent à manifester contre l’islamophobie

    Le 21 avril 2002, Jean-Marie Le Pen provoquait un séisme dans tout le pays, en se qualifiant pour le deuxième tour, face à Jacques Chirac. Lionel Jospin, qui se voyait déjà à l’Élysée, se retrouvait au tapis, et tous les dirigeants de gauche, à l’exception d’Arlette Laguiller, se ridiculisaient en appelant à voter pour le candidat corrompu du RPR.

    Pendant l’entre deux tours, nous eûmes droit à une propagande grotesque, mais efficace, de l’ensemble de l’appareil d’État, mobilisé contre le “péril fasciste”, avec instrumentalisation des enfants par les enseignants, manipulation des médias et même annulation du débat entre les deux tours, Chirac ayant compris qu’il avait tout à perdre en acceptant un débat dont il serait sorti en lambeaux.

    La symbolique est forte, 22 ans après ce jour historique, tout ce que la gauche compte de collabos et de traîtres va s’associer aux islamistes, dans une marche mensongèrement appelée contre le racisme, l’islamophobie et pour la protection de nos enfants.

    https://solidaires.org/sinformer-et-agir/actualites-et-mobilisations/nationales/appel-a-la-marche-du-21-avril-2024-contre-le-racisme-lislamophobie-et-pour-la-protection-de-tous-les-enfants/

    De quoi s’agit-il ? D’une inversion accusatoire classique, dans un contexte où en France, en Europe et dans le monde, le djihad s’accélère par la multiplication de coups de couteaux mortels contre les infidèles, et même les mauvais musulmans. Alors que nos compatriotes, et à juste titre, sont de plus en plus inquiets par l’invasion migratoire majoritairement musulmane organisée par l’UE, le régime de Macron et les collabos de gauche, il s’agit de faire passer l’idée que la France serait un pays gangrené par le racisme de nos compatriotes à l’égard des paisibles musulmans, et que les policiers – régulièrement agressés par des racailles – assassineraient gratuitement, en toute impunité, les enfants des quartiers. Bien évidemment, on oublie de préciser que ceux-ci, souvent sur des engins volés, ou au volant de voitures qu’ils conduisent sans permis, comme Nahel Merzouk, refusent d’obtempérer aux demandes de contrôles des forces de l’ordre.

    Cette manifestation aura donc lieu plus de 4 années après celle du 10 novembre 2019, où toute la gauche avait cautionné un délit d’islamophobie supposé, et les cris d’Allah akbar poussés près du Bataclan.

    Nous n’avons pas oublié que le 18 décembre 2010, quand nous organisions les Assises internationales contre l’islamisation de nos pays, main dans la main, une dizaine d’islamistes et une cinquantaine de militants de gauche, dont l’ineffable Caroline Fourest et Alexis Corbière, manifestaient déjà contre ce qu’ils appelaient l’islamophobie.

    unis-contre-islamophobie.jpgSi Riposte Laïque a vraiment une raison d’exister, c’est en expliquant depuis toujours que l’islamophobie n’est pas un délit, mais un réflexe de légitime défiance, face à l’islam, qui n’est pas une religion, mais un dogme politico-religieux qui n’a qu’un objectif : la destruction de toute autre civilisation par la conquête et la guerre, afin de parvenir au Grand Califat et d’imposer la charia sur l’ensemble de la planète.

    Donc, quoi qu’en disent les islamistes et les collabos, l’islamophobie, ou le fait de se dire anti-islam, loin d’être un délit, est légitime. Nous pourrions même ajouter que ceux qui refusent de se définir ainsi sont des ignorants, des lâches, des traîtres ou des collabos.

    Quant à ceux qui réclament un délit d’islamophobie (voir la liste ci-dessous), un gouvernement au service des patriotes devrait utiliser contre eux des méthodes d’exception, seul moyen pour sauver notre pays en péril mortel d’islam. Bruno Mégret évoque cela dans son dernier livre, “Salut Populi”, et rappelle que cela était une tradition romaine. Quand la patrie est en danger, une magistrature extraordinaire se mettait en place, pour six mois, avec les pleins pouvoirs. En quoi devraient consister ces mesures exceptionnelles ? La dissolution de tous les collectifs, associations, syndicats et partis qui soutiennent cette manifestation, avec confiscation de leurs biens, la plupart du temps acquis avec des subventions indues payées par nos impôts. La destitution de la nationalité française pour tous les binationaux, et l’expulsion dans un des 57 pays musulmans que compte la planète. Enfin, expulsion de la fonction publique de tous les Français complices de l’islamisation de la France, et procès publics pour haute trahison, en temps de guerre.

    Nous assumons les risques, dans un contexte où la répression contre les patriotes se fait de plus en plus forte, et où la liberté d’expression se restreint dangereusement, de ces propos.

    Si Riposte Laïque n’écrit pas ces évidences qui feront hurler tous les bien-pensants, qui le fera ?

    C’est pourquoi nous avons lancé cet important appel aux dons, pour faire face aux procès qu’on nous intente, et garder notre liberté d’expression, au service de la défense d’une France menacée mortellement par l’islam.

    Nous sommes dans la dernière ligne droite, encore un petit coup de main, et nous allons réussir notre pari, grâce à tous les donateurs qui ont déjà contribué ou qui vont contribuer à cet appel.

    Encore merci à Giorgio Ghiringhelli et à ses amis suisses, qui en apportant 10.000 euros à notre site, l’ont probablement sauvé. Et merci surtout à Giorgio de nous avoir rappelé ces propos de Sami Aldeeb : “Oui, je suis islamophobe et fier de l’être. Ceux qui ne sont pas islamophobes face à ces normes sont des ignorants, des aveugles, des téméraires, des naïfs, des idiots utiles, des crypto-islamistes, des vendus, ou des personnes sans principes moraux tournant avec le vent comme les girouettes. C’est dire le grand nombre de catégories dans lesquelles on peut classer ceux qui accusent les autres d’islamophobie sans en comprendre le sens ou la portée”.

    Merci à tous, et comme dit Pierre Cassen tous les jours, on va y arriver.

    LISTE DES ASSOCIATIONS COLLABOS À DISSOUDRE

    1. Justice pour Nahel Merzouk
    2. Justice pour Othmane
    3. Justice et vérité pour Yanis
    4. Justice pour Souheil
    5. Justice pour Cédric Chouviat
    6. Justice pour Nordine
    7. Urgence Notre Police Assassine
    8. Justice et vérité pour Mahamadou
    9. SOS MIGRANTS MINEURS
    10. Collectif ensemble pour dire Stop !
    11. Collectif de défense des jeunes du Mantois
    12. Bruxelles Panthères
    13. Parti des Indigènes de la République
    14. Fondation Frantz Fanon
    15. Perspectives Musulmanes
    16. ALGERIA-WATCH
    17. Union Juive Française pour la Paix
    18. TSEDEK!
    19. Samidoun Paris Banlieue
    20. UDMF
    21. UCL
    22. Action Antifasciste Paris-Banlieue
    23. GLAA (groupe de logistique et d’appui antiraciste), Bordeaux
    24. Peuple Révolté
    25. Femmes Gilet Jaune
    26. Comité de soutien aux femmes du Palais
    27. The Obstetric Justice Project, Canada
    28. Planning familial du Morbihan
    29. Le Planning familial France
    30. Association féministe d’éducation populaire (Morbihan)
    31. OVEO France (Observatoire de la violence éducative ordinaire)
    32. C.L.A.F’OUTILS, collectif d’action féministe
    33. Collectif “L’Offensive” (Lille)
    34. SUD Education Paris
    35. Info’Com-CGT
    36. Stop Précarité
    37. PEPS (Pour une Écologie Populaire et Sociale)
    38. LFI Paris
    39. La Relève Féministe
    40. NPA
    41. Révolution Permanente
    42. Jeune Palestine
    43. Comité Justice pour CJ
    44. Union Syndicale Solidaires
    45. Collectif Enfantiste
    46. CCIE
    47. ATTAC
    48. BDS France Montpellier
    49. Collectif Vietnam Dioxine
    50. Association Divines LGBTQIA+
    51. La France Insoumise

    Riposte Laique


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  • Surreprésentation des étrangers dans les affaires de violences sexuelles.

    « Violeurs étrangers dehors ». Trois mots inscrits sur une pancarte brandie par une militante du collectif féministe identitaire Némésis qui lui valent une plainte pour « incitation à la haine raciale » et dix heures de garde à vue. Trois mots repris sur des affiches agitées par le groupe Rassemblement national au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté qui entraîne à nouveau le dépôt d’une plainte pour « incitation à la haine raciale ». Et un mot-dièse [une tendance, NDLR] devenu viral sur les réseaux sociaux qui suscite l’indignation des néo-féministes, outrées qu’on puisse établir un lien entre immigration et violences sexuelles. Depuis l’action militante du collectif Némésis lors du carnaval de Besançon, le 7 avril dernier, le débat sur les auteurs de violences sexuelles revient au cœur du débat public. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes…

    13 % d’étrangers dans les agressions sexuelles 

    « Violée par un migrant sous OQTF »« Agressée par un étranger en situation régulière »« Un Algérien sous double OQTF en garde à vue après le viol d’une femme de 20 ans »… À lire la rubrique faits divers, les étrangers semblent surreprésentés parmi les agresseurs de violences sexuelles. Si les mis en cause d’agressions sexuelles restent majoritairement français, comme aiment tant à le souligner les néo-féministes et l'extrême gauche pour ne pas regarder la réalité en face, force est de constater que la part des étrangers auteurs de violences sexuelles est non négligeable. En effet, selon les dernières données complètes du ministère de l’Intérieur (page 13 du rapport), c’est-à-dire selon le cadre de l’INSEE, les individus qui résident en France mais qui ne possèdent pas la nationalité française représentent 13 % des mis en cause pour agressions sexuelles. Or, en 2022, les étrangers représentaient 7,8 % de la population, selon l’INSEE. Statistiquement, il y a donc bel et bien une surreprésentation des étrangers parmi les mis en cause dans les affaires de violences sexuelles.

    Et, dans le cas précis des agressions sexuelles dans les transports en commun, la part des étrangers impliqués explose : 31 % au niveau national, 61 % en Île-de-France (page 10 du rapport), avec 23 % des mis en cause originaires d’Afrique, 17 % du Maghreb et seulement 5 % originaires de l'Union européenne hors la France.

    Un fléau européen

    Un fléau qui est loin de concerner seulement la France. Comme le résumait l’essayiste américano-néerlandaise, Ayaan Hirsi Ali, d’origine somalienne, dans son ouvrage Proie : immigration, islam, et l’érosion des droits des femmes (2021) : « Un nombre croissant de femmes européennes s’interrogent sur leur sécurité. […] Ce n’est un secret pour personne – même s’il est impoli ou politiquement incorrect de le souligner – que les auteurs de ces actes sont, de manière disproportionnée, de jeunes hommes immigrés originaires du Moyen-Orient, d’Asie du Sud et de diverses régions d’Afrique. » Allemagne, Italie, Autriche, Suède… nos voisins européens sont confrontés au même phénomène.

    Depuis la tragique nuit de la Saint-Sylvestre de Cologne en 2015 au cours de laquelle 1.200 femmes furent agressées - dont environ 650 agressions sexuelles - par des hommes majoritairement issus de l’immigration, l’Allemagne connaît, elle aussi, cette surreprésentation des étrangers mis en cause dans les affaires de violences sexuelles. Bien qu’ils ne représentent que 16 % de la population outre-Rhin, les étrangers représenteraient 37 % des mis en cause dans les affaires de viol. Même constat en Italie, où les étrangers ne représentent que 9 % de la population mais 42 % des suspects de violences sexuelles.

    L'Allemagne accepte, désormais, de fairle lien entre immigration et délinquance. À quand la France ?

    Clémence de Longraye

    Source : http://bvoltaire.fr


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