• Trudeau, macron: même combat

     


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  • Parole de camerounais, Macron coquille vide sous influence occulte ? "Il a pas d'âme c'est un objet

    Qui l’écoute encore  ce clowniste de foire ?

    Comme on a pu le constater depuis maintenant plusieurs années, le Macron, parti et parole de gaucho , est inexorablement attiré par la droite. Il se croyait rocardien, il se découvre sarkoziste …qu’en sera-t-il demain ?

    Il s’écoute parler, il est son meilleur public.
    Pas question d'écouter ce type qui s'écoute parler. Je ne l'ai jamais estimé ni crédibilisé et plus on avance dans le temps pire en pire un parfait malade qui raconte n'importe quoi ,même en salissant son propre pays et son armée ,avec sa repentance sans cesse en noyaux de cerises . 

    On parle de « comportements ondulatoires » : Emmanuel Macron ondule, il ondule en permanence, sorte de Fred Astaire de la politique française, à la fois acteur, danseur et roi des claquettes. Après avoir été élu deux fois, il découvre la politique alors qu’il pensait la réinventer … il est pris au dépourvu, dépassé par les évènements, pris à son propre piège.

    Vidéo à écouter attentivement…

     
    POUR QUI AVEZ-VOUS VOTEZ  EN MAJORITE ;
    Bien pour le joyeux joueur de flute  

    Emmanuel Macron a fait de la science fiction...


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  • Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’Je pourrai avoir une petite pièce? Le socialisme illustré มie Mais bien sur!!!’


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  • Comment juifs et musulmans se sont entendus pour réduire les Blancs en esclavage

    par 

    censure.Il convient de s’arrêter un instant sur le rôle fort ambigu des juifs dans cette surprenante conquête arabe [au VIIIè siècle ap. J-C].
    Au cœur de l’Andalousie islamique, et à l’inverse des Ibères indigents, l’émancipation des juifs est en effet édifiante. Jouissant d’une grande liberté, les fils d’Isaac occupaient des emplois éminents dans le commerce, la haute fonction publique, la finance, la littérature, et pouvaient accéder à des postes de responsables dans toutes les branches professionnelles, sauf dans l’armée, qui était la chasse gardée des fils d’Ismaël [musulmans].
    Polyglotte par nature, le juif errant parlait, outre l’hébreu, sa propre langue, le latin, le grec, l’arabe, et parfois des dialectes germaniques. Diplomate, aimable, reçu par les empereurs, les rois, les émirs, flagorneur avec tous ses hôtes, notre cupide commerçant d’Orient eut l’audacieuse habileté de se faire une place incontournable autant dans la maison de la chrétienté que dans celle de l’islam. Passant de l’une à l’autre avec aisance, telle une ombre transparente, il put tranquillement se livrer à divers trafics.
    Il amassa ainsi une immense fortune. Une marchandise, toutefois, rapportait plus d’or que les autres. Et ce rejeton des anciens captifs de Babylone était bien placé pour le savoir. Cette marchandise, c’est l’homme. Alors, certains Hébreux se spécialisèrent dans ce commerce fort juteux qu’est la traite des esclaves.
    Ils achetaient et revendaient des esclaves bancs, qu’ils castraient au passage pour en faire des eunuques :
    « On possède surtout des informations sur le commerce des esclaves importés d’Europe, que des marchands juifs acheminaient depuis Verdun et transformaient en eunuques sur place ou dans la localité andalouse de Lucena, avant de les exporter par Almeria. » (Al Andalus 711-1492 – Pierre Guichard – p. 146)
    Voilà comment le peuple qui recueillit jadis les tables de la Loi au mont Sinaï remplit son coffre du malheur d’autrui. Et les juifs, ethnie déchue pour ses péchés, n’étaient pas les seuls à exercer cet ignoble trafic.
    Les pirates islamiques menaient, de leur côté, des raids en terre chrétienne, des expéditions à vocation esclavagiste, notamment le long des côtes du Languedoc, de Provence, de Corse, de Sardaigne, d’Italie.
    Ils ravissaient hommes, femmes, enfants, des familles entières, qu’ils ramenaient en Andalousie ou au Maghreb. Là, ils les revendaient en gros ou au détail, comme domestiques, courtisanes ou soldats, sur les divers souks de la maison d’islam. Les Arabes appelaient ces infortunés des Saqalibas, qui est une déformation du mot esclave.
    Telle était donc l’Andalousie islamique. Les indigènes espagnols étaient lentement mais sûrement décérébrés par leur statut de citoyen de seconde zone. Les esclaves blancs, païens mais aussi chrétiens, étaient traînés dans les rues avec des chaînes aux quatre membres pour être exposés au marché.
    Dans ce paradis sémitique, Arabes et Hébreux s’entendaient à merveille pour profiter de la vie. On est décidément bien loin de l’Espagne dite des trois religions, si tolérante, dont certains spécialistes oseraient encore rêver tout haut… On pourrait même inverser l’idée reçue. Que l’on songe que les Européens chrétiens, eux, n’ont jamais réduit en esclavage ni les juifs ni les musulmans, et n’auront jamais émasculé personne pour en faire un serviteur docile.
    Roch Mars – Charles Martel – Editions Pardès (2013)

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  • Józef Piłsudski, le vainqueur de l’Armée rouge.Józef Piłsudski, le vainqueur de l’Armée rouge

    La Pologne, qui avait disparu en tant qu’État souverain au dix-huitième siècle, renaît en 1918 à la faveur de la défaite des empires centraux. Immédiatement, un homme s’impose à sa tête : Józef Piłsudski. Tour à tour activiste politique, chef de parti, puis chef de guerre, il devient chef de l’État et prend en mains les destinées de son pays. En 1920, alors que la Russie a décidé de propager la révolution à tout le continent et que l’Armée rouge est aux portes de Varsovie, il lui inflige une défaite cinglante et sauve ainsi l’Europe du bolchevisme.

    Au cours des années suivantes et jusqu’à son décès en 1935, il va s’imposer comme le vrai maître du pays bien qu’il n’en ait jamais été Président de la République. Son aversion pour le parlementarisme, son mépris pour les politiciens professionnels comme son caractère intransigeant vont le conduire à instaurer un régime qui, bien qu’indéniablement autoritaire, ne saurait être considéré comme totalitaire ou fascisant. Il va stabiliser le pays et tenter de le préparer à faire face aux menaces liées à une situation internationale préoccupante. Malgré ses efforts et une volonté hors du commun, il n’y parviendra pas et l’année 1939 sera hélas fatale à la Pologne.

    L’auteur, Michel Vial, en fin connaisseur de la Pologne, décrit avec précision l’itinéraire extraordinaire de celui qui incarne indubitablement le nationalisme polonais et dont la personnalité exceptionnelle continue d’exercer, près d’un siècle après sa disparition, une influence considérable sur la mémoire nationale polonaise. Méconnu en France, le maréchal Piłsudski, a été un des personnages les plus marquants de la première moitié du vingtième siècle.

    Pour le commander, c'est ici : https://synthese-editions.com/produit/chn-26-jozef-pilsudski-le-vainqueur-de-larmee-rouge/


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