• Algérie : l’armée contre-attaque – Journal du mercredi 27 mars 2019


    Abdelaziz Bouteflika boudé par l’armée. Mardi, le chef d’état-major a demandé l’empêchement du président algérien en espérant ainsi mettre fin à la crise politique.
    L’analyse de Bernard Lugan dans cette édition !
     
    Européennes : LREM ou les gamellards
     
    La liste de la République en Marche dévoilée pour les élections européennes.
    Derrière Nathalie Loiseau s’enchaînent les opportunistes.
    Écologistes en mal de mandat, journalistes du système et proches de la Macronie, la liste des copains met le cap sur Bruxelles.
     
    On achève bien les chevaux
     
    Poneys, ânes, chevaux, les équidés n’échappent pas à la maltraitance animale.
    Face aux propriétaires négligents ou inconscients, les associations s’inquiètent de leur difficulté à
    accueillir de plus en plus de pensionnaires à quatre pattes.
     L’actualité en bref

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  • Gratitude : un migrant « intégré » essaye de brûler vifs 50 collégiens italiens

    Publié par: Pieds Noirs 9A..africain,brûler,collégiens,gratitude,migrant

    « Personne ne sortira d’ici vivant »

    Un chauffeur de car sénégalais, avec la « nationalité italienne » et marié à une Italienne, a pris en otage une cinquantaine de collégiens qu’il conduisait pour une sortie sportive.

    Cet immigré les a pris en otage et a voulu brûler vifs les enfants et leurs accompagnateurs (la police a pu l’en empêcher) pour protester contre le fait que l’Italie ne se laisse pas envahir davantage par les clandestins africains…

    Europe 1 :

    « […] Les 51 élèves d’un collège de Crema voyageaient dans le cadre d’une sortie sportive avec trois accompagnateurs, quand le chauffeur a subitement changé de chemin prenant la direction de l’aéroport de Linate. La prise d’otage a duré une quarantaine de minutes. « Personne ne sortira d’ici vivant », a-t-il lancé, selon les témoignages de plusieurs enfants. Armé de bidons d’essence et d’un briquet, il leur a pris leur téléphone portable et a demandé aux accompagnateurs de les ligoter avec du fil électrique.

    « Il nous menaçait, disait que si nous bougions il verserait l’essence et allumerait le feu. Il n’arrêtait pas de dire qu’il y avait tant de personnes en Afrique qui continuaient à mourir et que c’était la faute de [Luigi] Di Maio et [Matteo] Salvini » (les deux vice-Premiers ministres italiens et hommes forts du pays), a raconté une jeune fille.

    Elle précise que le chauffeur « se retournait et versait de l’essence par terre » et qu’il a aussi brandi « un pistolet et un couteau ». « Puis les carabiniers sont arrivés et nous ont sauvés ». Selon le procureur Francesco Greco, le chauffeur a en outre percuté une voiture où se trouvait un père de famille et son enfant, qui se sont enfuis avant que leur véhicule ne prenne feu. Le bus et la voiture ont été entièrement calcinés. […]

    Le chauffeur a forcé un premier barrage de deux véhicules de police, avant d’être bloqué contre un parapet par trois autres voitures. Faisant face à deux carabiniers, l’homme a ensuite mis le feu au bus, tandis que d’autres carabiniers brisaient des vitres à l’arrière du bus pour faire descendre les enfants, hurlant et pleurant. Une douzaine d’enfants et deux des adultes ont été conduits à l’hôpital après avoir été légèrement intoxiqués par la fumée.

    Source : contre-info


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  • Najat Vallaud-Belkacem tente de refaire parler d'elle en écrivant une chanson pour les migrants

    La Marocaine Najat Vallaud-Belkacem fait ses débuts de parolière dans la chanson… pour encourager l'invasion de l'Europe ! L’ex-ministre de l’Éducation, qui est loin d'avoir laissé un souvenir impérissable, a écrit le texte du titre « Lampedusa » en soutien aux migrants clandestins. « Je suis engagée de bien des manières pour cette cause, notamment au sein d’une fondationEt j’ai eu le plaisir de croiser la route de deux musiciens engagés eux aussi : Adrien Graf et la chanteuse Sarah Kaddour. On a décidé de dire les choses en musique ».

    Toutefois, il semble que sa générosité et sa compassion pour les migrants n'aillent pas jusqu'à en accueillir dans sa luxueuse habitation.

    Source : http://fdesouche.com


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  • 18 mars 1978 : assassinat de François Duprat

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    Communiqué de presse d'Alexandre Simonnot :

    N’oublions jamais notre camarade de combat François Duprat assassiné il y a aujourd’hui 41 années, le 18 mars 1978.

    Frontiste de la première heure, grand et irremplaçable ami de Jean-Marie Le Pen, militant exemplaire, François Duprat était un brillant intellectuel, libre et éclairé, passionné d’histoire et de politique. Ecrivain hors-pair, travailleur infatigable, il possédait une véritable plume d’acier qui le fit collaborer à la plupart des rédactions des journaux de la Droite Nationale. Il ne cessera pas d’y dénoncer les risques que faisait peser l’immigration sur l’identité des peuples européens.

    François Duprat était un amoureux de la Liberté d’expression, cette liberté qui lui a coûté la vie. Car c’est bien pour avoir osé écrire tant et tant de vérités interdites à exprimer qu’il a été éliminé.

    François Duprat gênait, dérangeait, bousculait avec talent le politiquement correct, le terrorisme intellectuel et le prêt-à-penser. Il écrivait et proclamait tout haut ce que beaucoup pensait tout bas. Il n’avait peur de rien. Il est mort au devoir, au combat, sur la route qui le menait à une école pour accomplir simplement ce qu’il aimait par-dessus tout : enseigner la simple et pure vérité historique.

    Plutôt que d’oser l’affronter sur le terrain des idées et du débat, les misérables lâches, anonymes et vagabonds, qui l’ont exécuté ont placé une bombe dans sa voiture...

    Esprit ouvert, fidèle défenseur de notre identité, François Duprat aurait exécré la liberticide Loi Gayssot qui interdit en France toute véritable Liberté d’expression qui est pourtant un Droit fondamental de notre Pays.

    Que François Duprat repose en paix auprès de tous ces grands intellectuels honnêtes et courageux qui ne faisaient que proclamer, à temps et à contre temps, la Vérité qui seule nous rendra libres.

     

    Source : synthesenationale


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  • Algériens pro-fellouzes : dégagez… de chez nous !

    Par Alain Sanders 

    Algériens pro-fellouzes : dégagez… de chez nous !

    Jean Madiran disait (et il l’a même écrit dans Présent) : « La France ne peut plus rien en Algérie, la France ne peut plus rien pour l’Algérie. » Il avait raison. Une page est tournée. Ils sont – de satrapes en satrapes – indépendants depuis près de soixante ans. Pour réussir à transformer un pays moderne, qui leur fut remis clefs en main, en un champ d’épandage que des centaines de milliers de jeunes rêvent de quitter. A tout prix.

    On entend les manifestants d’Alger scander : « FLN dégage » (sans oublier d’y associer son complice de gouvernement, le RND). Ils auront mis le temps à se réveiller. Mais bon... Qu’ils s’arrangent entre eux, ça ne nous regarde pas. Mais ça commence à nous concerner quand ce même slogan est lancé dans des manifestations organisées en France. Par des « Algériens » dont on ne sait pas s’ils sont Algériens, Français, Algériano-Français ou Franco-Algériens.

    Dimanche dernier, ils étaient très nombreux à manifester, youyous à l’appui, place de la République à Paris. Imaginez-vous une manifestation politique de ressortissants français au cœur d’ Alger ? Ils brandissaient des centaines de drapeaux algériens. C’est le cœur serré et la rabia au ventre que j’ai regardé ça. Car ce drapeau algérien, c’est la souquenille FLN. Celle qui a flotté sur les massacres des nôtres. A Oran, en juin 1962, tandis qu’éclataient les youyous stridents des femmes, les dépeceurs, les égorgeurs, les écorcheurs d’Européens, de Juifs, de Français musulmans, arboraient ce même emblème.

    Les avez-vous entendus, ces « Algériens » de la place de la République dire leur attachement à l’Algérie (« J’ai l’Algérie au cœur », dira notamment une femme qui, pourtant, excluait d’y retourner, mais embrassait son drapeau comme une kesra sortie du four...) ? Les avez- vous entendus en rajouter avec des trémolos comme là-bas, dis... Des déclarations d’allégeance qui n’auraient rien d’anormal en Algérie. Mais incongrues, indécentes et même inquiétantes, en France.

    Vous l’aimez tant que ça, votre pays de fellouzes ? Bravo. Mais que faites-vous en France ? Qu’attendez-vous pour retourner là-bas prendre part à cette (r)évolution politique annoncée et souhaitée ? Ce n’est pas place de la République, à Paris, qu’il faut rouler des mécaniques mais – où vous voulez, zenqetblasaberrafi wast lamdinachariel’ baladiya – au bled !

    Aussi, Algériens pro-fellouzes (car ce n’est pas le FLN fellagha que vous rejetez, mais ce qu’en ont fait vos politicards corrompus) qui vivez et prospérez en France, un conseil : dégagez de chez nous ! Vous pourrez ainsi manifester sur place et, à l’occasion, voter in situ plutôt que dans les officines « bouteflikesques » de Paris, Marseille, Lille, Roubaix, Mulhouse, Saint-Denis, etc. Je suis oiseau, voyez mes ailes, je suis souris, vive les rats, y’a un moment où ça va bien comme ça... Quand on veut se réconcilier, il faut être deux à le vouloir. On ne peut avoir, d’un côté une France qui se prosterne devant la doxa FLN (par soumission, « femmelitude », diplomatie, business, peu importe), et de l’autre une Algérie qui, dans ses livres scolaires, son enseignement universitaire, les articles de presse, les émissions télé, les diatribes de ses hommes politiques (qui utilisent ce truc depuis 1962 pour juguler tous opposants dès lors considérés comme traîtres aux moudjahidin des années de braise), distille une haine cuite et recuite. Une Algérie arabo-musulmane qui persécute les chrétiens, détruit leurs églises et leurs temples, tient les Kabyles sous le joug. FLN historique ou FLN relooké, c’est kif-kif bourricot finalement. Ce qui va se passer en Algérie ? C’est leur affaire. Et, pour tout vous dire, mâshi souqi ! (« Je m’en fous. »)

    Source : Présent 13/03/2019 via synthesenationale


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