• Macron est dans une hypocrisie absolue de sa repentance !

    Macron est dans une hypocrisie absolue de sa repentance !

    Ras le bol de ce Macron qui ne dit que des conneries, qui ne sait rien de notre histoire, il est grave et vous voulez qu’un type pareil prenne les commandes de notre pays.Ce qui est drôle dans cette histoire, cet état que l'on appelle aujourd'hui Algérie, n'existait pas avant l'arrivée des Français. Comment donc peut-on parler d'un état colonisé ? D'autre part, il était temps que les Français interviennent. La Méditerranée pullulait de pirates qui envoyaient en esclavage tous les voyageurs des bateaux qu'ils arraisonnaient. Il y a eu bien plus d'esclaves blancs que d'esclaves noirs dans cette histoire. Il était temps que cela s'arrête.

    Quel Français de cœur sinon de souche peut encore voter Macron après des propos aussi abjects?
    La colonisation est un crime contre l'humanité ? Eh bien condamnons les hordes mahométanes qui viennent justement nous coloniser !.Et pas un mot des actions de l'Afrique du nord contre l'Europe avant la présence Française en Algérie : pillages, massacres, esclavage, colonisation par les Arabes (Sicile, Espagne...) ou les Ottomans (Grèce, Albanie, Balkans, Sud anatolien, Chypre encore et toujours...)... "crime contre l’humanité" ou pas ? ...
    Donc
    -cartographier un pays
    -le munir d'un réseau de voies de communication
    -construire hôpitaux et écoles
    -organiser agriculture et industrie à la place d'une économie de survivance
    c'est "un crime contre l’humanité".
    On en apprend tous les jours.
    C'est ça qu'on est capable de "pondre" après avoir fait Sciences Po et l'ENA? Pas la peine de jeter l'argent par les fenêtres pour faire subsister de telles institutions.

    Emmanuel Macron en marche vers la repentance et portant gloire aux assassins collabos pour tuer des civils femmes ,enfant innocents. Il crache à la face de la IIIème et de la IVeme république. Un beau cas de révisionnisme et de dhimmitude en l'espèce, c'est certain que cela va aider à calmer "les banlieues" , l'art de jeter de l'huile sur le feu.
    Après avoir nié l'existence d'une culture Française, qu' Emmanuel Macron insulte l'Histoire de France en qualifiant qui était cette Algérie Française de "crime contre l'Humanité". Honteux ...
    La colonisation fait partie de l’histoire Française. C’est un crime. C’est un crime contre l’humanité. C’est une vraie barbarie et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face en présentant aussi nos excuses à l’égard de celles et ceux vers lesquels nous avons commis ces gestes. En même temps, il ne faut pas balayer tout ce passé […] ll y a une jolie formule qui vaut pour l’Algérie : "La France a installé les droits de l’homme En Algérie(qui n'existe pas dans le monde entier d'ailleurs ) Simplement, elle a oublié de les lire".Et dire que la droite dite républicaine dont la droite décomplexée s'allonge devant le pauvre petit gamin Macron ...
    Alors cela dure depuis De Gaulle dont toujours les mêmes délires anti-Français, anti-européens, anti-blancs ! Par nos propres présidents ...
    Il faut dire la vérité ...<<La colonisation, c'est quand un territoire est colonisable, c'est à dire qu'il ne peut empêcher l'entrée en force d'une autre culture, technologiquement et mentalement plus avancée>>Mais l'Algérie n'a jamais était colonisée ,car c'est le Français qui a fabriqué la race Algérienne ,elle n'existé pas ...Alger est un nom Français que je sache ...Il faut le rappeler à ce petit Emmanuel du CE2 ...,que la France a dû débarquer en Algérie en 1830 ? Et tout ce qu'elle y a construit après ? Ce qu'était la région avant sa conquête par l'islam ? ,avec des marécages infecté de microbes etc ..
    Les nations colonisées en général subissent des actes de violence, c'est vrai ; mais elles reçoivent également un apport technologique qui les fait progresser de plusieurs siècles en quelques années, en 1 ou 2 générations, c'est incontestablement un choc culturel et psychologique important ! ...
    Il faut noter que le Japon n'a jamais été colonisé, toutes les tentatives de débarquement (par les Coréens et les Chinois) ont échoué... parce que les japonais ont toujours eu la volonté de se défendre, et se sont donné la capacité de se défendre ! Que cela la France a tout fait pour abandonnée les départements Français d'Algérie ,que eux viendront colonisé la France après avoir colonisé la France en Algérie ...
    On pourrait demander à notre banquier de Macron en couche culotte si les nouvelles formes colonisations beaucoup plus pernicieuses comme l’achat par les Chinois des terres d’Afrique de l’est, la salinisation des sols pour l’élevage des crevettes que nous achetons à bas prix dans les pays occidentaux comme à Madagascar, salinisation qui rendra inculte ces terres, la financiarisation des terres agricoles par de riches banquiers, la promotion des migrations massives fournissant une main d’oeuvre serviable et corvéable à merci, sans aucun droit au profit des industriels financés par la finance, etc. ne sont pas un crime contre l’humanité...Je vous remercies ...

    Sylvestre Brunaud...


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  • ALGER 1960 les Barricades  ( Archives ECPAD )


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  • Ses Français d'Algérie " les oubliés de l'histoire "

    DEUX POIDS ,DEUX MESURES

    Ses Français d'Algérie " les oubliés de l'histoire "

    Suite aux commémorations de l'attentat du Bataclan,Nice ou autre, il me vient une réflexion que j'aimerais vous soumettre : Tout d'abord je précise que je suis totalement solidaire des victimes de cet attentat, mais quand je pense aux conditions dans lesquelles nous sommes arrivés d'Algérie, qui s'est préoccupé de notre" symptôme post-traumatique"!, ? ....?...?...Qui s'est préoccupé de NOTRE état d'esprit ?...?...?...Nous qui avions tout perdu, y compris notre pays ? .Nous avons dû endurer 8 ans de guerre, pendant lesquelles une simple sortie pouvait être la dernière !. Cela me fait mal pour les victimes du Bataclan et autre, mais ce qu'ils ont vécu pendant quelques heures à été notre quotidien de chaque jour en mon pays natal qui s’appelait France (fille de la mère patrie), et au lieu d'être accueillis, nous avons été traités comme des parias, rejetés, critiqués même au sein des entreprise en France ou nous travaillons ,dans les écoles sali par la majorité des profs , Combien de fois ai-je entendu des insultes a mon insu .Bon c'est vrai, on ne changera pas l'histoire, mais quand je vois tout ce qu est fait autour de cet attentat et autre, je trouve qu'il y a quelque chose qui nous a été refusé à nous Français d'Algérie , c'est tout simplement la compassion ! ...
    Oui c'est vrai comment sont morts et dans qu'elle souffrance, de ses civils innocent de ce massacre de la mine d'EL-Alia le 20 août 1955 , des atrocités ont été commises , et personne en parle en cette France par les médias et de même les hommes politiques ,alors oui il fallait que nous ayons le cerveau bien solide car malgré tous ces malheurs nous avons réussi à faire notre vie en France malgré l'indifférence des Français de France ...
    Les élus de l'époque et d'aujourd'hui de même, ont bien fait leur travail en montrant tout le mépris de haine qu'ils avaient à notre égard , mais je voudrais signaler en plus, que nous étions FRANÇAIS, il n'est pas acceptable de repousser ses propres frères de sang comme des chacals enragés , malgré ce rejet, tous les "Pieds Noirs" ont été capable de montrer la capacité qu'avaient les enfants de ces pionniers qui avaient fabriqués cette Algérie merveilleuse a la force des bras et d'amour .
    Voilà, il fallait que je le dise ! .Car la cicatrice ne se refermera jamais ...

    Sylvestre Brunaud ..

     


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  • Une page noire du gaullisme…Le massacre de la Rue d'Isly a Alger, ce n’était pas la première fois que De Gaulle agissait ainsi ...

    Une page noire du gaullisme…

    1er décembre 1944

    Le massacre des tirailleurs sénégalais par l’armée française gaulliste

    Au pouvoir à Paris depuis août 1944, le Gouvernement Provisoire de la République Française, le G.P.R.F., est dirigé par Charles De Gaulle. A ce titre, il est reconnu par les puissances Alliées (Royaume-Uni, Etats-Unis, U.R.S.S) en octobre 1944. Dès lors, la remise en question des troupes africaines dans le scénario politique de la Libération devient son obsession…

    L’historien Canadien, M. Echenberg précise que « pour de Gaulle et les gaullistes, la participation africaine aux opérations militaires de la Libération constituait une source d'embarras. Si les sujets de l'empire étaient aussi sans contredit des enfants de la France, il semblait exagéré de leur attribuer un rôle actif dans la libération de la mère patrie. »

    Fin novembre 1944, des prisonniers de guerre africains rescapés des mobilisations et des combats de 1939-1940 (campagne de France) et 1942-1944 (campagne d’Afrique et débarquement en Provence) sont rapatriés en AOF. 
    Les 1280 premiers « tirailleurs sénégalais » originaires des territoires d’AOF sont internés au camp de Thiaroye, ville du Sénégal située dans la banlieue de Dakar, au sud de la presqu’île du Cap-Vert, entre Pikine et Rufisque.

    L’objectif est de les démobiliser dans le contexte général du 
    « blanchiment » de la nouvelle armée française commandée par le général De Gaulle.
    Ces prisonniers –soldats des troupes coloniales- étaient détenus en France dans des frontstalags, camps de prisonniers de l’Armée allemande qui regroupait essentiellement les soldats des troupes coloniales par peur de maladies tropicales ou d'atteinte à la « pureté du sang aryen». Les dirigeants de l'Allemagne nazie ne voulant en aucun cas de la présence d'« hommes de couleur » sur le sol allemand.

    La victoire pratiquement acquise, ces « coloniaux » n’avaient désormais plus, pour le gouvernement gaulliste, de raison d’exister. L’ère du « blanchiment » primait sur toute autre considération…

    Ces soldats africains qui avaient largement contribué aux opérations de libération de l'île d'Elbe, puis au débarquement de Provence (15 août 1944) et à la libération de Toulon (23 août 1944) puis de la vallée du Rhône, qui combattaient dans le nord-est de la France à l'automne, furent en quelques jours remplacés par des jeunes Français… qui n’avaient jamais combattu. L'argument officiel fut le risque du froid hivernal, mais il n'était que de pure forme.

    Selon M. Echenberg les motifs politiques de De Gaulle sont les suivants : « associée au succès des Alliés qui avaient libéré la France de la honte et de l'humiliation, la jeunesse française pourrait humer, ne serait-ce que de loin, le parfum de la victoire. » L'épreuve du « blanchiment » fut très rude pour les soldats africains, qui étaient au nombre d'environ 20 000 : « relevés de leurs positions sur les lignes de front et sans aucune forme de procès, on leur retira leurs armes et jusqu'aux uniformes qu'ils portaient et on les renvoya dans le sud, où ils passeraient la saison froide en attente des navires qui les ramèneraient en Afrique. »

    Les tirailleurs africains libérés devaient toucher leur solde avant leur démobilisation : celle-ci se composait des arriérés de solde depuis leur mobilisation, leur prime de démobilisation et leurs économies de la période du frontstalag. La nouvelle administration mise en place par De Gaulle après la chute du régime de Vichy, refusa de leur verser cet argent à l’embarquement et leur promit de régulariser la situation en Afrique.

    A leur arrivée en AOF, cette administration procéda, le 28 novembre 1944, à des conversions arbitraires de francs métropolitains en francs CFA des montants de démobilisation. Un groupe de tirailleurs, qui devaient regagner Bamako et le Soudan français, refusèrent de prendre la route. Le 30 novembre 1944 Le général Dagnan vint à leur rencontre au camp de Thiaroye. Pris à partie, l’affaire vira - selon la hiérarchie militaire- à l’émeute… ce qui décida le général Dagnan, en accord avec son supérieur, le général de Boisboissel, commandant des troupes à Dakar, de recourir à la force, le 1er décembre 1944.

    Ce jour là, les tirailleurs sans défense furent rassemblés sur l'esplanade du camp de Thiaroye. En face d’eux, cernant l’enceinte, sous les ordres du lieutenant-colonel Le Berre, 1100 tirailleurs du service d'ordre, acheminés depuis Saint-Louis, 120 soldats et officiers français. Les unités engagées dans l'opération étaient le 1er R.T.S, le 7ème R.T.S, le 6ème R.A.C. et la gendarmerie, le tout appuyé par trois automitrailleuses, deux half-tracks (autochenilles blindées) et un char américain. A 9h30, le feu fut commandé… et ce fut l'hécatombe.

    Le bilan officiel (minimisé selon de nombreuses sources) dressé au lendemain des événements fit état de 70 morts (24 morts le jour de l’assaut et 46 blessés qui décédèrent finalement à l’hôpital). Par ailleurs, 34 tirailleurs considérés comme « meneurs », furent condamnés en mars 1945 par un tribunal militaire à des peines de un à dix ans de prison. Ils seront graciés en 1947 mais jamais réhabilités depuis.

    Sur le massacre des tirailleurs sénégalais par l’armée française gaulliste, à Thiaroye -un des événements les plus sanglants de l'histoire de l'Afrique de l'ouest dans les années 1940-1960- l’Histoire officielle retiendra que ces soldats tombés sous les balles françaises, ne sont pas « morts pour la France ».

    14 ans plus tard, alors que le général De Gaulle s’apprêtait à visiter Dakar au cours de son voyage de propagande en vue du référendum constitutionnel du 28 septembre 1958, le Comité de Défense des Libertés Démocratiques, sous la conduite du Parti Africain de l’Indépendance, organisa le 17 août 1958 un pèlerinage à Thiaroye, pour « honorer la mémoire des soldats noirs massacrés en 1944 par le général de Gaulle ». Au retour, les « pèlerins » se heurtèrent aux forces de l’ordre. L’échauffourée dura plusieurs heures et fit de nombreux blessés.

    En août 2004, la journée du 23 août fut déclarée Journée du tirailleur sénégalais par le Sénégal, qui invita les autres États d’Afrique d’où étaient originaires les tirailleurs. Le massacre de Thiaroye y est désormais commémoré.

    Le choix de la date du « 23 août » n’est pas anodin. Il correspond, en effet, au 23 août 1944, qui marque la libération de la ville de Toulon par le 6ème Régiment de Tirailleurs Sénégalais et symbolise aux yeux de l’ex Président de la République Abdoulaye Wade (1er avril 2000 au 2 avril 2012), « la participation de l’Afrique à la libération de la France et à la lutte des forces alliées contre le nazisme ».

    « Répression d'une mutinerie » : Ce fut la thèse officielle de l’État français de 1944 à 2014, année où ce massacre fut officiellement reconnu par la France. On a également invoqué « la peur de la classe dirigeante française de voir les tirailleurs sénégalais porter, plus tard, des revendications politiques plus massives pour l'indépendance, en s'alliant avec la population locale ». Cela n’a pas empêché le Sénégal d’accéder à son indépendance, le 4 avril 1960.

    … Ne faudrait-il pas voir également dans ce massacre le contrecoup de la défaite anglo-gaulliste à Dakar, le 23 septembre 1940, face à l’armée coloniale française loyale au régime de Vichy ? C’est envisageable. De Gaulle avait la réputation d’être un homme orgueilleux, cinglant et rancunier. Il le démontra de nouveau, 17 ans plus tard, en retournant les armes françaises contre les Français d’Algérie… ceux-là mêmes qui l’avaient ramené au Pouvoir en 1958 mais à qui il refusait de pardonner leur trop grande fidélité au Maréchal. « Tous Pétainistes ! » clamait-il.

    José CASTANO


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  • Témoignage d’un chrétien algérien : «Nous vivons dans la clandestinité !»

    Elie religion Eglise
    Paul-Élie Cheknoun. D. R.

    Par R. Mahmoudi – Invité en France par l’association Aide à l’Eglise en détresse (AED) pour présenter la campagne de «carême 2018», l’Algérien Paul-Élie Cheknoun, 44 ans, converti au christianisme, a brossé un tableau noir de la situation des chrétiens en Algérie.

    Dans son témoignage recueilli par Le Figaro, en marge de cette journée d’hommage organisée en mémoire des chrétiens, victimes de persécution et d’assassinat dans le monde, Paul-Élie Cheknoun a déclaré : «Etre chrétien en Algérie, c’est vivre dans un milieu à écrasante majorité musulmane. Les chrétiens sont moins de 1% de la population. On vit dans la clandestinité. On n’a aucun signe apparent. On fait en sorte de ne pas se faire remarquer parce que c’est dangereux, surtout de quitter l’islam pour devenir chrétien.»

    L’Algérie est classée par les organisateurs de cette journée de martyrologie parmi les pays où les chrétiens sont «pourchassés», juste derrière le Mexique et l’Egypte, deux pays ayant enregistré, cette année, le plus grand nombre d’assassinats visant des chrétiens.

    Cet alarmisme vient contredire les assurances du ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, sur la liberté du culte en Algérie, y compris pour les chrétiens, démentant à chaque fois les informations évoquant des cas de persécution contre des personnes converties au christianisme.

    En octobre dernier, le ministre a mis l’accent sur le fait qu’il n’existait pas de «minorités religieuses» en Algérie mais seulement des «communautés», à l’instar de la communauté africaine chrétienne, tout en affirmant que l’Etat assurait à toutes ces communautés des lieux de culte pour leur permettre de pratiquer leur confession «en toute liberté».

    Mohamed Aïssa rappelait que la loi algérienne est «stricte» en matière de pratique d’autres cultes que l’islam et est, en même temps, «ouverte». «Il n’existe aucun danger pour les lieux sacrés des autres religions en Algérie, qui est capable de les protéger», a-t-il souligné.

    Épisodiquement épinglé sur les libertés religieuses aussi bien par Washington que par le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, l’Algérie s’est toujours défendue d’avoir opprimé les communautés religieuses reconnues comme telles. Pour les autorités algériennes, ce qui est combattu, car formellement interdit par la loi, ce sont les actions de prosélytisme, de quelque tendance ou croyance qu’elles soient. D’ailleurs, plusieurs structures fondées par des partisans de sectes se réclamant pourtant de l’islam, comme El-Ahmadiya et des groupes chiites, ont été démantelées au cours de ces derniers mois.

    R. M.

    https://www.algeriepatriotique.com


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