• En ton Honneur Harki, ton Frère d’armes se souvient !

    Publié par :Pieds Noirs 9A..

    Sinistre et terrible anniversaire  que ce 19 mars !

    Comme l’a écrit Etienne de VIGNOLES, dit La Hire, Compagnon de Jeanne d’Arc

    « J’ai fait ce qu’un Soldat a l’habitude de faire. Pour le reste, j’ai fait ce que j’ai pu ! »

    Mais, cela n’a pas été assez et si je croyais encore, il y a déjà longtemps que j’aurais demandé à Dieu qu’il me pardonne.
    Alors, aujourd’hui et jusqu’à mon dernier jour, je continue et continuerai à faire ce que je peux, car je ne peux ni ne veux oublier les Harkis, mes Frères d’arme !

    Ayant déjà écrit plusieurs articles relatifs à ces sinistres événements, et publiés sur ce site, j’ai choisi de vous faire connaître un texte rédigé par Khader Moulfi (Coalition Nationale des Harkis et des Associations de Harkis), bien sûr il n’a jamais donné lieu à aucune diffusion médiatique bien que légèrement postérieur à l’élection de celui que la Constitution a fait « chef » des Armées …

    J’ajouterai simplement :

    nous avons un Devoir de mémoire envers nos Harkis.

    Aidez moi à ce qu’ils ne soient pas oubliés !

    Faites connaître ce texte de Khader Moulfi
    Jean-François Cerisier

    À l’attention : du Président de la République, Monsieur Emmanuel Macron

     Le candidat Macron avait déclaré, en Algérie flniste, de manière antipatriotique et infamante, que la colonisation était un crime contre l’humanité, sans donner davantage de détails.

    Face à l’énorme polémique, celui-ci a évoqué, de manière très floue et unilatérale, la « guerre » d’Algérie qui n’est pas, rappelons-le, une guerre au sens juridique et international du terme mais une pure création idéologique et politicarde, via la loi scélérate et révisionniste du 18 octobre 1999, soit une déclaration de guerre, à un État qui n’existait pas, la Flnie, 45 ans après le démarrage des événements.

    Une insurrection parsemée d’attentats terroristes, d’exactions contre les populations civiles de toutes origines et confessions (incluant les athées), … Aussi violente soit-elle, ne constitue pas, systématiquement, une guerre, d’autant plus que l’ALN n’était pas une fraction significative, de la population de céans, avec ses 47000 membres, sur 12 millions d’habitants, de 1954 à 1962, pour prétendre à une guerre civile. Les Harkis étant, très largement, en supériorité numérique, avec plus de 225 000 combattants, durant cette période de pacification.

    Pour preuve ni l’ONU ni les États démocratiques ni les organisations (de type Croix Rouge) n’ont reconnu, cette « guerre », selon les conventions internationales (Genève, …) ni les Accords d’Evian entérinés le 18 mars 1962 (Oups 1 « coquille » s’est glissée , par inattention de ma part, dans le texte de la pétition en ligne, dans lequel j’ai tapé 18 septembre 1962 au lieu du 18 mars. J’ai rectifié mais seuls les modérateurs, de MesOpinions.Com, peuvent valider mes corrections. Je tiens à le préciser sinon mes « potes » Benjamin Stora & Co vont me vanner en disant que je ne connais pas mon Histoire. Heureusement que j’ai rédigé, des légions d’articles, sur ce sujet, pour ma « défense » !!!).

    Ces accords prévoyaient, entre autres « petits-arrangements » économiques, stratégiques (le Front National de Libération supposé avoir délivré, son Peuple, de la colonisation, a accepté, néanmoins, que, par exemple, l’État français puisse continuer à l’irradier, jusqu’en 1975, avec ses essais nucléaires au Sahara), … Plusieurs clauses qui étaient, pourtant, de véritables « signaux d’alarme » sur ce qui devait arriver (?).

    Lesdits accords acceptés, par les représentants du FLN et ceux de la France, stipulaient, par ailleurs, que les « Musulmans » de droit local (Cf. les décrets Crémieux), incluant les Harkis et leurs familles, deviennent, Algériens au sens flniste, sans leur laisser le choix de rejoindre, librement, la « Mère-Patrie » qu’ils avaient servie dont certains depuis la seconde guerre mondiale puis l’Indochine.

    Il est étonnant que le FLN et, encore plus, l’État français, aient signé, cette condamnation à mort programmée, notamment, en raison des télégrammes très hostiles émanant, bien avant, des katibas, imposant d’attendre avant de liquider les Harkis. Quant aux Pieds-Noirs, le fameux : « La Valise ou le Cercueil » n’était guère plus optimiste !!!

    Pourquoi le FLN n’a-t-il pas recommandé, tout simplement, que les Harkis et leurs familles soient rapatriés, en métropole ou dans les DOM-TOM, car leurs vies étaient en péril… Et, pourquoi l’État français fut-il si « crédule » ???

    La perfidie préméditée et sournoise obligeait, la France, à désarmer ses propres soldats, pour les livrer à un génocide plus que prévisible… Résultat, après le pseudo cessez-le-feu du 19 mars 1962 à 12H00 violé, dès le premier jour, par le FLN et ses « marsiens »[1] (les fameux résistants de la dernière heure), il y eut 150 000 Harkis (chiffres donnés, par un courrier du Ministère des Armées, en 1975), plusieurs milliers de Pieds-Noirs et 535 soldats métropolitains exterminés avec une barbarie extrême.

    L’Histoire ne doit pas être confisquée, ad vitam aeternam, par une seule catégorie d’historiens vrais ou supposés, ayant soutenu avant, pendant et après, d’une manière ou d’une autre, le FLN et autres révolutions marxistes et assimilées, sans que les susvisés ne soient confrontés à une véritable contradiction équilibrée dans le débat public (incluant les médias).

    L’Algérie d’avant le 05 juillet 1962, n’était pas la propriété du FLN, avec une histoire très complexe qui ne doit pas être instrumentalisée, par un régime unique despotique et corrompu, ayant ruiné, ce pays et ses habitants(tes), pour conserver sa « mainmise », sur ce territoire et ses richesses, surtout, à l’approche de chaque élection.

    Depuis le 25 septembre 2001, date de la première journée d’hommage national aux Harkis inaugurée, par le Président Chirac, ce n’est que félonie et hypocrisie nationales, avec l’occultation du génocide, les réparations en souffrance, l’officialisation du morbide 19 mars 1962 (en doublon avec le 05 décembre promulgué avant), …

    Certes, d’aucuns(es) diront que François Hollande a reconnu, le 25 septembre 2016, la responsabilité de l’État français mais dans quoi au juste ??? Les massacre des Harkis et Pieds-Noirs ??? L’accueil inhumain en métropole ??? La mort sociale maintenue et programmée des Harkis et leur famille, amplifiée par le regroupement familial à compter de 1975 ??? Les propagandes anti-Harkis et la falsification de l’Histoire ??? Les insultes et diffamations permanentes des satrapes flnistes et de leurs comparses qui n’ont jamais créé le moindre incident diplomatique ???

    Toutefois, si l’État français a, bel et bien, une responsabilité collatérale, quant à sa déraison d’État dans sa gestion, criminellement, chaotique et expéditive, des « Affaires Algériennes ». Les génocidaires sont le FLN et ses « marsiens » et eux-seuls car ils ont commis, physiquement, ces crimes contre l’humanité, après le cessez-le-feu, sur des gens désarmés et, cerise sur le gâteau, un « hold-up » sur ce pays et ses ressources naturelles… Régime que la presse algérienne qualifie, entre autres, de « kleptocratie » !!!

    Alors, il est temps d’appeler un génocidaire, un génocidaire (trop de respect, pour les chats, pour les impliquer dans ce sordide dossier), surtout, quand les ventriloques et marionnettistes, de Ziziz Bouteflika, le gnome despotique du FLN devenu, désormais, la « Momie » supposée diriger, nonobstant son état quasi-végétatif, l’Algérie du FLN et, par conséquent, d’imposer à la France sa repentance, sur la colonisation qui, n’en déplaise à certains, concerne tous les protagonistes de l’époque antérieure, à 1962, car cette terre maghrébine en a vu, de toutes les couleurs, au fil des siècles.

    C’est pourquoi le Président Macron, au service exclusif des Français(es) et, aucunement, des dictatures étrangères, doit reconnaître, officiellement, le génocide perpétré, par le FLN et ses « marsiens », après le cessez-le-feu, lors des commémorations des 25 septembre et 05 décembre 2017.

    La signature de la présente pétition, en fonction de son succès, pourrait appuyer cette requête plus que légitime pour rendre (enfin) justice, aux « Martyrs de la République Française », de toutes origines et confessions (dont les athées), 55 ans après !!!

    Étant de nature très réaliste, je sais, fort bien, que cette cause n’est pas le genre à mobiliser, spontanément, la Nation et les médias qui censureront ou caricatureront, cette démarche mais, envers et contre tout et tous(tes), il faut du panache et de la détermination car victoire ou défaite, l’honneur et la dignité, des « Martyrs de la République Française », doit être défendu par tous les gens de bonne volonté encore en vie et en état de le faire !!!

    [1]   marsiens :  nouveaux militants de la « cause nationale » apparus dès la veille de la signature des « accords » d’Evian. En fait, combattants de la dernière heure, ayant joué un rôle considérable dans la véritable épuration contre les Harkis dès la signature des « accords » d’Evian.

    Source : ripostelaique


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  • Harcèlement de rue : les racailles sont le problème

    « Les forces de l’ordre pourront désormais verbaliser le harcèlement de rue », a récemment annoncé la secrétaire d’Etat aux droits des femmes. Amusant, quand on sait que souvent les forces de l’ordre arrêtent des mecs pour des violences graves et sont écœurés de constater qu’il n’iront pas en prison. Amusant, quand on se souvient qu’en décembre une policière a été lynchée au sol par une foule de racailles sans que ses collègues ne puissent faire usage de leur arme. Amusant, quand on sait le nombre de caillassages de policiers et pompiers qui restent impunis.

    Les principaux responsables de l’angoisse des femmes dans la rue sont les racailles, qui ne sont pas juste machistes, mais violents physiquement. Ils cumulent les transgressions. Tout dans leur langage et attitude nous rappelle que la moindre micro-conversation peut dégénérer en agression en un instant.

    Si on sursaute pour un « hé mademoiselle », ce n’est pas parce qu’on a peur d’être appelée mademoiselle. C’est parce que le type qui nous dit ça est capable de péter les plombs sur nous, de nous frapper, de nous cracher dessus et de nous coincer avec ses potes si notre réponse ne lui plaît pas.

    Ceux qui traitent de putes les femmes dans la rue, ce sont ceux qui zonent, qui trafiquent, qui tabassent des mecs « pour un mauvais regard », qui sortent le couteau « pour une cigarette », qui arrachent le sac des passantes. Ce sont ceux qui mettent un point d’honneur à ne jamais se décaler d’un centimètre quand une femme essaye de passer. Ce sont ceux qui bloquent le trottoir en groupe de huit et te lâchent un « zebi »(littéralement, « ma bite » en arabe), si tu leur demandes poliment de pouvoir passer avec ta valise à roulettes. Ce sont ceux que les femmes qui racontent leur agression appellent « des jeunes », même s’ils ont quarante piges, car si elles osent les nommer autrement, elles seront illico culpabilisées, suspectées, sommées de se justifier. Ce sont eux et leurs potes. Et chacun de ces types emmerde à lui tout seul une bonne centaine de femmes par an. Ils ne se cachent même pas. Tout le monde connaît ces mecs.

    Tant que des types prendront 4 mois de sursis pour un tabassage, tant qu’on relâchera des agresseurs à la moitié de leur peine, aucun politique ne pourra dire qu’il lutte sérieusement pour la sécurité des femmes.

    Ces mecs-là se foutent des amendes, ils sont insolvables. Marlène Schiappa veut les envoyer faire « un stage citoyen ». Leur seule réponse sera un « J’men bats les couilles wesh », ou autre fanfaronnade du même tonneau. Un homme qui a déjà échappé à la prison après un vol avec violence, qui pendant son adolescence gloussait en voyant ses potes délinquants sortir du commissariat libres comme des papillons, pensez-vous vraiment qu’il écoutera les leçons de citoyenneté d’une intervenante associative ?

    La focalisation sexuelle empêche de traiter le problème. Plus de 90 % des agresseurs sont de sexe masculin mais ce ne sont pas « les hommes » le problème. La majorité des violences aux personnes est commise par une minorité de personnes. La majorité des agressions est commise sur des hommes. C’est une minorité de déviants identifiés, impunis, qui s’en prend aux femmes et aux hommes dans l’espace public. Vous savez, les fameux « connus des services de police » qui s’en sortent comme des fleurs presque à chaque fois. Le mec qui te traite de « grosse salope » ou de « kehba » quand tu ne réponds pas à son compliment, c’est aussi le mec qui met une balayette à ton petit frère de 14 ans pour lui piquer son portable.

    On pourra m’objecter que les « racailles » ne sont pas les seuls auteurs de violences sexistes ou de harcèlement. C’est vrai. Il existe par exemple une part non-négligeable de harceleurs appartenant aux classes dominantes de la société, dont l’excellente maîtrise des normes sociales leur permet justement de harceler en toute impunité, de ruiner la réputation des plaignantes, de répondre pile comme il faut aux questions des policiers, de trouver de bons avocats. Mais l’existence de harceleurs cachés ne justifie en rien que l’on ferme les yeux sur la masse de harceleurs qui étalent leur agressivité envers les femmes de manière publique, assumée et bruyante.

    La diversité des profils d’agresseurs et harceleurs ne signifie pas l’absence de profils. Distinguer divers profils d’agresseurs, de modes opératoires, de lieux, c’est précisément cela qui permet d’enrayer un phénomène sous ses formes les plus diverses. En matière de harcèlement de rue, le problème, ce sont les racailles, point.

    On notera au passage que la phrase « Il n’y a pas d’agresseur-type! », les féministes institutionnelles la jettent toujours au visage de la femme qui se plaint d’avoir été agressée par des racailles, jamais à celle qui dénonce des violences commises par un « dominant ». Personne ne prétend qu’il existe un seul profil d’agresseur ou de harceleur, personne. Quand on martèle à une femme qu’« il n’y a pas d’agresseur-type », c’est pour la rappeler à l’ordre, c’est parce qu’on a la trouille qu’elle parle un peu trop librement.

    Une femme victime d’agression subit systématiquement des pressions féministes à ne surtout pas décrire son agresseur : au nom du « pas d’amalgame » entre une agression et une communauté, elle est sommée de faire l’amalgame entre son agresseur et 100% des hommes. Toute femme coupable d’un vilain amalgame en public sera systématiquement rappelée à l’ordre. Celles qui amalgament l’ensemble des hommes à des porcs seront en revanche applaudies.

    Pour vous donner une idée du niveau d’omerta féministe auquel nous sommes rendus, le collectif « Paye ta shneck », principale plateforme de témoignages de harcèlement de rue en France, censure systématiquement les témoignages de femmes contenant des mots tels que « kehba »« wallah », « kehba » ou « zebi« . La plupart des femmes qui me contactent pour me relater leur expérience du harcèlement de rue ou d’agressions ont peur d’être socialement rejetées si je publie leur témoignage. Elles sont des dizaines, alors que Bellica est un site très récent, qui reste assez confidentiel. Au même moment, les féministes institutionnelles parlent de « libérer la parole des femmes ». Tout le monde sait qui harcèle les femmes dans la rue, mais il n’y a pas de « Me Too » pour les victimes des racailles.

    Les femmes victimes sont sommées de « ne pas stigmatiser » les racailles pour « ne pas en rajouter », puisque ces messieurs font partie des « dominés » de la société. C’est oublier que les rapports de domination varient selon les échelles géographiques. Un homme « dominé » à l’échelle de la société se retrouve, de facto« dominant », quand il coince avec ses copains une nana dans un wagon de RER pour lui faire passer un sale quart d’heure. Contrairement à ce qu’affirme le credo féministe intersectionnel, une femme « non-racisée »de la classe moyenne diplômée n’est pas « une dominante » quand elle est encerclée par 5 mecs agressifs.

    Le « harcèlement de rue » est principalement commis par des racailles et on ne rendra pas les rues sûres pour les femmes tant que l’on ne s’attaquera pas au phénomène racaille. Il suffit en large part d’appliquer les lois qui existent déjà et de cesser les expérimentations pédagogiques farfelues en matière « d’aménagements de peine », perçues par les racailles comme rien d’autre que des marques de faiblesse occidentale.

    Les hommes sont les cibles majoritaires d’agressions mais les femmes sont davantage confrontées aux insultes et menaces au quotidien que les hommes. Autrement dit, statistiquement, les hommes sont davantage agressés, les femmes sont davantage renvoyées à la possibilité d’une agression. Le projet de verbalisation du harcèlement de rue aura sans doute des effets aussi nuls qu’en Belgique, où seules 3 plaintes de ce type sont déposées par an. La verbalisation donne une illusion de réaction politique et sert de cache-sexe à un océan de renoncements politiques en matière de sécurité. Elle entretient un climat de suspicion générale entre les femmes et les hommes, là où précisément, c’est une affaire d’hommes autant que de femmes.

    Lutter contre le harcèlement de rue passe nécessairement par la libération de la parole, le droit de décrire son agresseur sans craindre de subir les foudres du politiquement correct et par l’application réelle des peines envers les auteurs de violences, de manière à briser le sentiment d’impunité qui est la racine de leurs comportements déviants envers les femmes dans l’espace public.

    En 2018, une femme harcelée dans la rue ou les transports subit un double harcèlement. Le harcèlement sur le moment, par une racaille, puis le lynchage social, dans son entourage ou sur les réseaux sociaux, si jamais elle ose décrire son agresseur un peu trop précisément.

    Il est temps de mettre fin à ces menaces de mort sociale.

    Solveig Mineo

    Source : http://bellica.fr


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  • Le mur des fossoyeurs de notre civilisation

    Publié par: Pieds Noirs 9A..

    fossoyeur

    Liste non exhaustive :

    bm2 bm3 bm4 bm5 bm6 bm7 bm8 bm9 bm10

    Source : lesobservateurs


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  •  Allumettes aux Anchois (recette)Posté Par: Pieds Noirs 9A..

    Allumettes aux Anchois

     

    Préparation : 15 mn - Cuisson : 15 mn - Nombre de personnes : 4
    Ingrédients
    - pâte feuilletée
    - 20 anchois dessalés
    - 1 oeuf battu
    Film de la recette
    Séparer les anchois en deux
    , en retirant l'arête. Étaler
    la pâte. Couper des bandes
    de 12 cm environ, légèrement
    plus longues que les filets
    d'anchois.
    Sur chaque bande , placer un
    filet d'anchois . Replier la
    pâte et appuyer sur les
    bords .
    Badigeonner au pinceau avec
    l'oeuf battu.
    Mettre au four th. 7
    pendant 12mn environ.

    L’image contient peut-être : nourriture

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  • UNE DATE QUI NOUS INSULTE.Par: Sylvestre Brunaud..

    UNE DATE QUI NOUS INSULTENT.


    19 mars 1962 : début d’un massacre !
    La nation ne peut oublier les milliers de morts civils ou militaires : gendarmes, harkis, policiers, appelés,…massacrés dans des conditions abominables après le 19 mars 1962….
    Monsieur Hollande Président de la République Française fait honte à la France et ses enfants de la fille de la mère-patrie massacrés et abandonnés après le 19 mars 1962 ...
    Le 19 Mars 1962, pour les raisons évoquées ci-dessous, ne marque pas la fin de la guerre d’Algérie mais constitue un scandaleux mensonge, une contre-vérité historique, et il y a indécence à célébrer officiellement un jour national de malheur et de déshonneur.
    Le cessez-le-feu du 19 mars 1962 n’a pas mis fin à la guerre d’Algérie. Les dispositions négociées à Evian ont été bafouées unilatéralement par le gouvernement algérien issu du FLN. Pourtant les soldats qui combattaient en Algérie et les civils avaient accueilli ce cessez-le-feu avec soulagement.
    Espoir déçu ! Le sang a continué de couler après le 19 mars : le sang de 465 de nos soldats, le sang de nos compatriotes « Pieds-noirs », le sang de nos camarades Harkis assassinés avec femmes et enfants par dizaines de milliers dans d’horribles conditions, après cette date de sinistre mémoire dont Oran le 5 juillet 62 3000 victimes ..etc etc...
    Le journal officiel du FLN "EL MOUDJAHID" N° 8318 du 19 Mars 1992 publiait en 1ère page son éditorial intitulé « Le Jour de la Victoire » signé par Saada MESSOUS, ancien secrétaire général de la wilaya III durant la guerre d’Algérie et actuellement Avocat à la Cour où l’on pouvait lire sous sa plume : « .... le 19 mars 1962 devrait être considéré comme étant la date qui a vu la consécration de la victoire du peuple algérien ... oui ! Le 19 Mars 1962 fut une victoire comme le fut le 11 Novembre 1918 contre l’hégémonie prussienne .... une victoire que doit célébrer le peuple algérien comme est célébrée la victoire sur le nazisme par le monde entier le 8 Mai 1945... ».
    Cette date du 19 Mars est d’autant plus inacceptable pour honorer la mémoire des victimes civiles et militaires que le FLN et l’Algérie en font une journée de « Gloire à leurs Martyrs » !
    Comment pourrait-on, dans ces conditions, célébrer le 19 Mars comme Journée Nationale du Souvenir des victimes civiles et militaires d’AFN et du FLN ?
    La République n’a pas oublié tous ces drames qui ont suivi le 19 mars 1962. C’est pourquoi elle a choisi une autre date pour honorer la mémoire de tous les morts, militaires et civils, en Algérie.
    Le 19 mars n’a pas à être commémoré en France ; laissons à l’Algérie le soin de célébrer l’anniversaire de ce qu’elle considère comme « sa » victoire.
    Le 5 décembre est le choix de la République. Respectons la Loi instituant le 5 décembre comme seule date officielle pour rendre hommage aux Morts pour la France de la guerre d’Algérie, et des combats en Tunisie et au Maroc. 
    Sylvestre Brunaud ..


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