•  SI VIS PACEM PARA BELLUM !

    Par:Pieds Noirs 9A..

    SI VIS PACEM PARA BELLUM

    Quand nous disions depuis longtemps, oui je le répète depuis plus 50 ans que nous sommes en guerre, on nous répondait par l’ironie (« Vous exagérez, quand même ! ») ou par le mépris (certains intellectuels assurant que le choc des civilisations était un fantasme dû à notre étroitesse d’esprit) ou encore par l’intimidation a la façon Taubira (En nous menaçant d’une inculpation pour « incitation à la haine raciale »…).

    Et pourtant, les faits sont là !,Bien là et ne pouvant dire le contraire, inscrits dans une réalité que beaucoup semblent découvrir tout d’un coup, un peu comme l’existence de la lune (Manuel Valls, dans le style Tartarin de Tarascon : « Nous gagnerons cette guerre »). Nous ne prétendons pas être plus intelligents que ceux qui nous critiquent. Mais nous avons pour nous, par rapport à eux, une force que personne ne pourra nous enlever : nous nous déterminons non en fonction des utopies et des dogmes, mais par rapport à ce qui existe, nous nous mettons à l’école du réel, comme le faisaient nos guides spirituels, ces Grecs de l’Antiquité qui refusaient d’être abusés par les mystifications d’un Orient jouant de la naïveté d’Européens à qui il était si commode de faire prendre des vessies pour des lanternes.

    Quand avait eu lieu le massacre de Paris, auquel se consacraient tous les médias. Cette vision surréaliste m’a renforcé dans la conviction de la jobardise intrinsèque des Occidentaux (N’importe quelle autorité digne de ce nom aurait évidemment fait le nécessaire pour que cette inscription provocatrice fût effacée dans les meilleurs délais…). 

    Notre monde commence à payer l’erreur mortelle qui consiste à nier cette évidence. Toute évidence de ne pas nous avoir écoutés il y a plus de 50 ans ,je vous rassure..., pas par le FN ,mais par les Français d'Algérie d'avoir pourtant bien acceuillient dans nos port de France comme de la merde par cette gauche ainsi gaulliste... Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil… Les bisounours vont payer la note de leur aveuglement et tant pis pour eux...

    Nous, nous disons à nos sœurs et frères de sang : n’écoutez pas les prophètes de malheur qui parlent de tolérance et d’amour universel. Ce sont eux qui ouvrent votre porte aux égorgeurs. Ne comptez que sur vous-mêmes pour protéger votre vie et celle des vôtres. Et souvenez-vous du sage principe qui guidait les vieux Romains : SI VIS PACEM PARA BELLUM (« Si tu veux la paix, prépare la guerre »). AMEN ! Pieds Noirs 9A..

     


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  • N'oublions jamais :  le Lieutenant Roger DEGUELDRE était assassiné sur ordre du Pouvoir !

    Ci-après le texte rédigé par José CASTANO en mémoire de notre Ancien qui, toujours, a servi avec HONNEUR et FIDÉLITÉ. 

    Il avait fait un serment, il est allé jusqu'au bout !


    N'oublions jamais : il y a cinquante deux ans le Lieutenant Roger DEGUELDRE était assassiné sur ordre du Pouvoir !
    Lieutenant Roger DEGUELDRE, martyr de l’Algérie française 
      
    « Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM » (Roger Degueldre) 
      
    Né le 19 mai 1925 à Louvroil, dans le Nord, Roger Degueldre, dissimulant son jeune âge derrière un physique impressionnant, entre en Résistance dans le maquis FTP de Roger Pannequin, surnommé « Commandant Marc ». Avide de combattre au plus près l’envahisseur allemand, il s’engage dans la 10ème Division d’Infanterie Motorisée qui participe à la réduction de la poche de Colmar, en janvier 1945. 

    La guerre terminée, c’est à titre étranger qu’il s’engage dans la Légion Etrangère. Il servira, en Indochine, au 1er Régiment Etranger de Cavalerie et fera très vite parler de lui… Le 21 janvier 1950, à Tra-Vinh, dans le delta du Mékong, au péril de sa vie, il sauve d’une mort certaine sous le feu ennemi, le Capitaine de Blignières… plus tard, colonel, commandant le 1er REC. Cette action héroïque lui vaut d’obtenir la Médaille Militaire. 

    La guerre d’Indochine se terminant, déçu, frustré et amer par l’issue des combats, l’adjudant Degueldre -Croix de Guerre des Théâtres d'Opérations Extérieures avec sept citations, (une Palme, deux Étoiles de Vermeil, deux Étoiles d'Argent et deux Étoiles de Bronze)- volontaire pour les parachutistes, rejoint le 1er Bataillon Etranger de Parachutistes qui prendra l’appellation de 1er Régiment Etranger de Parachutistes, dès 1955, durant la guerre d’Algérie. 
    Il participe avec son régiment, en 1956, à l’opération de Suez puis, dès son retour, à la Bataille d’Alger dans le but d’éradiquer les bandes terroristes qui sèment la mort et la désolation dans la ville. 

    En janvier 1958, il gagne ses galons d’officier, au feu, à Guelma, et participe à la bataille des frontières dans l’Est-Constantinois. Son ardeur au combat, son exemplarité et le dynamisme qu’il insuffle à ses hommes lui valent d’être décoré de la Croix de la Valeur Militaire avec Palme. Le 26 septembre, il est nommé Chevalier de la Légion d’Honneur. 

    Le temps passant, les atermoiements, les palinodies, les revirements et les reniements de De Gaulle sur le maintien de l’Algérie française sèment le doute puis la colère et l’amertume auprès de bon nombre d’officiers… Degueldre en fait partie. Il assiste, impuissant et rageur à la destruction d’une armée victorieuse et à la livraison de l’Algérie au FLN, rendant vains les sacrifices consentis. 
    Après la révolte des officiers du 1er REP, le 8 janvier 1961, il est muté disciplinairement au 4èmeRégiment Etranger d’Infanterie mais il refuse de rejoindre son nouveau corps. Le 25 janvier 1961, il entre dans la clandestinité et effectue des missions secrètes pour le compte des services spéciaux commandés par le Colonel Jacquin. 

    Le 21 avril 1961, il réintègre son unité lors du putsch des généraux. La révolte avortée, il retrouve la clandestinité et rejoint les rangs de l’Organisation Armée Secrète (OAS) où il est nommé par le Colonel Godard, chef du Bureau d’Action Opérationnel (BAO). 

    Fidèle à son engagement « La mort plutôt que le déshonneur ! », il retrouve, dans la résistance à l’abandon, une raison de poursuivre le combat et une justification au serment qu’il a prêté sur le cercueil de son chef, le Colonel Jeanpierre : « Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure ! » 

    Au sein de l’Organisation, il s’emploie à forger une arme redoutable et redoutée de tous, tant de l’Elysée, des barbouzes, que du FLN : Les Commandos Delta qui, ayant pour slogan : « L’OAS frappe où elle veut, quand elle veut ! », mènent un combat de tous les instants, rude, chaotique, désespéré, mortel, mais si efficace qu’il sème l’angoisse et la crainte dans les plus hautes sphères… et que la fatalité des circonstances précipitera vers un dénouement tragique. 

    Le 7 avril 1962, Degueldre est arrêté à l’issue d’une réunion réunissant plusieurs responsables de l’Organisation. Reconnu, il est aussitôt transféré en métropole et écroué à la prison de la Santé. 
    Le 28 juin s’ouvre son procès qui n’est autre qu’une parodie. A cet effet, une juridiction d’exception, la Cour Militaire de Justice, est créée afin qu’il ne puisse, contrairement au général Salan, obtenir les « circonstances atténuantes » et sauver sa tête. Le général Larminat doit la présider. Ancien de l'armée coloniale, il refuse de juger le condamné et déclare : « Je ne serai pas le Fouquier-Tinville de la Ve République. Je me tuerai ce soir » Dans la soirée, il met fin à ses jours. Qu'importe ! Il est remplacé par le général Gardet. La justice expéditive gaulliste ne va pas s'arrêter sur un cas de conscience… En un minimum de temps, après une absence d’instruction et de témoins à décharge, l’officier parachutiste est condamné à la peine de mort. 

    Refusant dédaigneusement le recours en grâce présenté par la défense, c’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 d’Oran qui fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, (lequel aurait dû pourtant l’inciter à la clémence), que De Gaulle prend la décision de faire fusiller le Lieutenant Roger Degueldre. 

    Le 6 juillet 1962, à 02h30, les deux défenseurs du condamné, Jean-Louis Tixier-Vignancour et Denise Macaigne arrivent à la prison de Fresnes en même temps que l'avocat général Gerthoffer qui a requis la peine capitale et l'aumônier de la prison. Avant de quitter sa cellule, il prononce, en guise d'adieu, ses dernières paroles : « Je suis fier de mourir pour tenir le serment qu'a fait tout officier ayant servi en Algérie. Dites aux Algériens que, si je ne suis pas de leur race, n'étant pas né sur leur sol, je les ai beaucoup aimés et je les aime toujours. » Se tournant vers le procureur Gerthoffer, il déclare : « Je ne vous garde pas rancune, mais je vous plains. » 

    Puis, c’est le départ vers le fort d’Ivry où doit avoir lieu l’exécution. Á 03h45, l’Officier se présente devant les douze soldats du peloton d’exécution, en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il a tout sacrifié et qu’il a choisi comme linceul. Autour de son cou, il a noué un foulard de la légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y a la photo d’un bébé, son fils qu’il n’a jamais vu. Il a conçu cet enfant dans la clandestinité. Le bébé est venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort. « Dites que je suis mort pour la France ! » s’écrie-t-il à l’adresse de son défenseur. Puis il refuse qu’on lui bande les yeux et, au poteau crie : « Messieurs, Vive la France ! » avant d’entonner la Marseillaise. 

    Les trois premiers officiers désignés pour commander le peloton d'exécution ayant refusé d’accomplir cette sinistre besogne, les Capitaines Jean de Balby de Vernon, Michel Cabanes et Michel Martet, du 501ème régiment de cavalerie de Rambouillet, sont sanctionnés, rayés des cadres et mis aux arrêts. Les officiers suivants qui ont refusé l'ordre, ont été également sanctionnés. 
    Il est 03h56. Le sous-officier remplaçant, chef de peloton, abaisse le bras. Les soldats qui doivent exécuter le Lieutenant Degueldre, émus par son courage, hésitent à tirer. Douze coups retentissent cependant dans la nuit… mais une seule balle l’atteint : au ventre diront certains. 
                
    L’adjudant chargé de donner le coup de grâce se précipite, l’arme à la main, pour accomplir sa « mission » et se rend compte que le condamné est toujours en vie. Sa tâche ne consiste désormais plus à achever un quasi-mort, censé avoir reçu douze bouts de métal… mais bel et bien de tuer un vivant. Et ce sont là deux choses bien différentes... Il en a si terriblement conscience, que sa main pourtant préparée à cette macabre mission tremble, et que le revolver se décharge dans le vide. Livide, désemparé, l’adjudant tire une deuxième fois et rate encore sa cible. 

                Les défenseurs, voyant que Roger Degueldre souffre atrocement, réclament l’intervention d’un médecin. Celui-ci, arrivé sept minutes plus tard, atteste que le supplicié vit toujours. Il faut donc l’achever au plus vite. Et pendant ce temps, Degueldre, à demi recroquevillé continue de gémir… 

                L’adjudant, toujours tremblant, pointe une nouvelle fois son arme sur la tête de l’officier parachutiste, ferme les yeux et appuie sur la détente. Stupeur ! Rien ne se produit. L’arme s’est enrayée. Exaspéré par cette situation –unique dans les annales de l’exécution- le procureur Gerthoffer ordonne qu’une nouvelle arme soit apportée. Mais personne parmi les militaires présents n’en possède. Il faut courir en chercher une… Et pendant ce temps, Degueldre est toujours vivant et son calvaire interminable. 

                A partir de ce moment là, tous les juristes s’accordent à dire que la sentence ayant été exécutée, puisque le condamné étant encore en vie, il fallait le détacher du poteau et lui donner les soins nécessaires. Autrement dit, on n’avait pas le droit d’achever le blessé. Mais les ordres étaient formels ; il fallait que Degueldre soit tué ! Il incarnait à lui seul, l’OAS, cette puissance qui avait fait trembler les Etats Majors, le FLN et l’Elysée… Il fallait exorciser jusqu’à son souvenir. 

                Et pendant que l’on s’affairait à se procurer une arme, celui qui, à cet instant, aurait pu (peut-être) changer le cours des événements ne réagit point. Pétrifié par la scène, glacé d’effroi, le défenseur du condamné demeurait inerte. Pourtant, il lui appartenait de tenter quelque chose, de courir jusqu’au supplicié, de le prendre dans ses bras et de le couvrir de son corps en invoquant la justice, en appelant à l’amour, en exigeant au nom de toutes les traditions humaines et chrétiennes qu’on fît grâce au condamné… Cela s’était déjà produit dans l’Histoire quand la corde du pendu avait cassé et que la grâce lui avait été accordée… 

                Enfin on remet un pistolet à l’adjudant qui, blanc comme un linge, dans un état second… mais obéissant servilement au commandement de tuer, doit en finir puisque tels sont les ordres. Un nouveau coup de feu claque. Stupeur ! Celui-ci est tiré, non pas au-dessus de l’oreille comme l’exige le règlement, mais dans l’omoplate… Une douleur atroce irradie le corps du supplicié. Il regarde vers le ciel et ouvre grands ses yeux. Peut-être perçoit-il à cet instant que son calvaire prend fin. Il est tout illuminé des illusions radieuses de ceux qui vont mourir et il lui semble entendre, là haut, les voix des martyrs du 5 juillet lui murmurer : « Roger… Roger… dès aujourd’hui tu seras avec nous dans le Paradis ». 
    Á 04h08, une nouvelle détonation retentit… et c’est la fin. La boucherie a duré 12 minutes… 12 atroces minutes.
    C’est ainsi qu’après Claude PIEGTS et Albert DOVECAR, Sergent au 1er Régiment Etranger de Parachutistes, mourut, assassiné, le lieutenant Roger DEGUELDRE, également du 1er R.E.P, Chevalier de la Légion d’honneur… Et les salves du peloton couvrirent un instant les plaintes et les râles qui montaient d’Oran, tandis que la France, en vacances, n’entendit rien. 

                Huit mois plus tard, le 11 mars 1963, le Colonel Jean BASTIEN-THIRY, Polytechnicien, tombait à son tour à 35 ans, sous les salves du peloton. Décidément, le crime était profondément enraciné !… 

                Le Lieutenant Roger Degueldre aura respecté jusqu’à la fin son serment « la mort plutôt que le déshonneur ! ». Après avoir été enterré au carré des suppliciés dans le cimetière de Thiais, il repose aujourd’hui au cimetière des Gonards, à Versailles. 
      
                                                                                                  José CASTANO

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  •  A chacun sa gloire comme il peut !A chacun sa gloire comme il peut !

    Mesdames ,Mesdemoiselles,Messieurs;

    Nous voyons ce phénomène de trahison existant de tout temps pour uniquement en faire son passage et sa gloire ...

    Macron ne fera rien… Comme Marine n'aurait rien fait ! Macron obéît à ces élites, comme Bouteflika servant de pion uniquement des généraux du FLN toujours au pouvoir depuis l'indépendance ...

     A chacun sa gloire comme il peut !

    Trahir est devenu un objet de fierté exemple ; (comme nous avons vue NDA dans toute sa splendeur pour un plat de lentilles qui en a eu que l'odeur seulement sous son nez et après basta). On ne se contente pas de collaborer avec l’ennemi, on fait alliance avec lui contre la société qu’on prétend représenter, et qu’on a l’obligation morale et légale de protéger et de défendre ; c’est cette inversion des valeurs qui en dernière analyse est responsable de cette résurgence de l’histoire. La paix chèrement acquise n’a pas été défendue ; ne sera jamais défendu si le peuple ne vint pas à son propre secours ...
    Au nom d’une vision tordue de la tolérance, de l’hospitalité et de la paix, les élites occidentales ont volontairement et en toute connaissance de cause invitée et aidée l’ennemi à poursuivre ses conquêtes. C’est par la conquête de territoires et de civilisations que le monde musulman a vue le jour, et c’est aussi par la conquête qu’il compte sortir de l’impasse où il se trouve, en France comme dans toute l'Europe. Conquérir par le peuplement et par le ventre des femmes, et femmes européennes de petites vertus...
    Le monde occidental s’est laissé facilement envahir, déjà en premier lieu la France ,ses musulmans qu’il rêvait de se soumettre à l’islam , et par la volonté de crée des élites. Le monde musulman et ses élites se sont donné la main, contrairement aux Français qui se bouffe entre eux pour un plat de lentilles. Dont premier pour conquérir l’Occident et les seconds pour noyer ses identités nationales et culturelles...

     A chacun sa gloire comme il peut !

    Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas...
    Parce que la suite nous est dictée, regardez autour de vous, c’est elle qui est intéressante. Interdit de répondre : non, et alors ?. Les puissants déclaraient les guerres et les pauvres peuples obéissants comme les braves Charlie suivant les troupeaux comme des moutons, dont allaient se faire battre. C’est pareil la repentance faite par Hollande à Alger devant les généraux du FLN, tout est fait pour leur ouvrir les portes du paradis occidental ... Il y a les puissants qui décident et font des affaires, et les peuples d’Occident qui en subissent les conséquences tout en faisant des prières sur prière croyant qu'ils seront sauvait.. NON ! Il ne faut pas rêver, regardez les Français d'Algérie d'avoir subi ...
    Il y a 4 sortes de Français, les "abrutis inconscients", "le petit monde innocents" les "collabos" et ceux qui aiment leur pays LA FRANCE. Je suis de ceux qui l'aime, voilà tout,et je ne baisse pas le falzar dans tous les quatre coins de rue,comme l'ont eu fait la grosse Majorités des pieds-noirs pour avoir voté pour un gaulliste ralliant Marine ...
    Pour Collard ... Voilà que celui qui est prêt à rejoindre Macron, "s'il fait du bon boulot", celui qui insulte Jean-Marie Le Pen de "pauvre type", celui qui n'a jamais voulu être encarté FN, essaie de faire comme NDA trahir son parti ou la gamelle qui rempli bien l'estomac en passant par le gosier ...Je vous remercie... Sylvestre Brunaud ...


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  • De Gaulle, une trahison d'Etat !

    Qui l’eût cru,

     

      • Cinquante et un ans après l’arrivé au pouvoir du général de Gaulle.
         
      • Quarante sept ans, après l’exode de 1962.
         
      • Dans un spécial Historia,         Les Grands Traîtres de l’Histoire,

        de Novembre-Décembre 2009,   un journaliste  et pas n’importe lequel,
        traite le général de Gaulle de  Traître à la Nation.


    Le début du simulacre pédagogique
    La conférence de presse au Palais d'Orsay le 19 Mai 1958.

    De Gaulle conferense du 19 Mai 1958

    Alain Duhamel,

    • Chroniqueur à RTL et à Libération.
      Depuis plus de quarante ans, il décrypte les arcanes du pouvoir en France,
      Il a été témoin de multiples revirements historiques.
       
    • Il répond aux question d’Historia.


    Historia  :

    • Quel est selon vous, l’acte de trahison le plus retentissant de la V République .


    Alain Duhamel  :

    • Sans hésitation, celui du général de Gaulle vis-à-vis des Français d’Algérie.
       
    • Ses plus proches collaborateurs témoignent,
      qu’il avait l’intention d’agir pour l’indépendance de l’Algérie dés 1958,
      mais il était beaucoup trop intelligent pour dévoiler ses objectifs dés le départ.
       
    • En fait, il s’est retrouvé dans l’obligation de mettre sur pied un « simulacre pédagogique ».
       
    • Cette trahison a eu des conséquence, certainement indispensable,
      mais néanmoins inhumaines, tant pour le million de Pieds-noirs, que pour beaucoup d’Algériens.

    Historia  :

    • Est-il possible de distinguer plusieurs natures de trahison depuis les débuts de la V République ?



    Alain Duhamel  :

     

    • De Gaulle et l’Algérie,     c’est vraiment une trahison de nature politique.
      Si j’ose dire,     c’est une trahison d’Etat.



    Enfin, c’est arrivé !!!!!
    Les Paroles du simulacre pédagogique
    La conférence de presse Octobre 1958.

    De Gaulle conferense du octobre 1958

    http://algeroisementvotre.free.fr/site4000/insol003.html


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  • Éric Zemmour : Le fiasco intégral de Marine Le Pen

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    Eric Zemmour Le Figaro magazine cliquez ici

    CHRONIQUE - Au cours de cette campagne présidentielle, Marine Le Pen a changé en plomb tout l'or qu'elle touchait.

    Tout le monde connaît la légende du roi Midas : le roi qui transformait le plomb en or.

    Au cours de cette campagne présidentielle, Marine Le Pen a réussi l'exploit de réécrire la légende à l'envers : elle a changé en plomb tout l'or qu'elle touchait.

    Au début de la campagne électorale, les sondages lui promettaient un score avoisinant les 30 % ; elle a fini à 21 %. Sa place au second tour était assurée ; il n'a pas manqué grand-chose pour que François Fillon et même Jean-Luc Mélenchon lui passent devant. Elle devait sortir première ; elle a fini deuxième derrière Macron. Au début de l'entre-deux-tours, on lui promettait 40 % des voix, voire davantage. Une dynamique pouvait la conduire, non à la victoire, mais à 45 % des suffrages. Une défaite honorable. Et qui préserve l'avenir. Mais avant, il y eut le débat télévisé : Marine Le Pen a fini à 33 % !

    On peut se ­demander aujourd'hui si ce n'est pas la candidate qui plombe son camp et les idées qu'elle est censée défendre.

    Depuis des années, son entourage explique que le Front national, le parti, son image, son nom même, l'héritage sulfureux de son père, ses « obsessions » historiques et démographiques, tout cela obère la progression de la candidate. On peut se demander aujourd'hui si ce n'est pas la candidate qui plombe son camp et les idées qu'elle est censée défendre. C'est au contraire parce que les intuitions de son père sur l'immigration se sont avérées pertinentes que la fille engrangeait un électorat qu'elle ne mérite pas.

    A l'époque, on le sommait de se taire au nom de la morale. Ce n'est plus nécessaire : à part quelques discours bien troussés, Marine Le Pen s'autocensure d'elle-même ; jamais, dans un débat télévisé, elle n'a développé son programme en matière d'immigration. Jamais, ou presque, elle n'a évoqué la suppression du regroupement familial, du droit du sol, de la double nationalité, l'interdiction des tenues religieuses et islamiques dans la rue, etc. Et quand elle en parlait, c'était en coup de vent. Comme si elle avait honte de son père. C'était pourtant ce que son électorat attendait. C'était pour cela qu'il l'avait rejointe. Et c'était pour cela que d'autres auraient pu venir. D'autres qui avaient voté Fillon hier, ou Sarkozy avant-hier.

    Mais Marine Le Pen voulait parler d'économie, d'Europe et d'euro. L'identité était pour elle un gros mot ; la souveraineté était son graal. Elle s'était mis dans la tête - ou plutôt Florian Philippot lui avait mis dans la tête - qu'il fallait réussir le rassemblement du camp du non aux référendums de 1992 et de 2005. L'idée est belle, et aussi ancienne que la campagne contre Maastricht il y a vingt-cinq ans. L'idée n'a jamais réussi, même lorsqu'un homme de gauche, républicain impeccable, Jean-Pierre Chevènement, la mettait en œuvre. Parce que le sectarisme de la gauche est tel que même Philippe de Villiers fut ostracisé par les amis du « Che ».

    Jacques Sapir gère le cerveau de Florian Philippot, qui gère le cerveau de Marine Le Pen. Trio infernal. Trio de l'échec.

    La leçon n'a pas servi. Un économiste brillant, Jacques Sapir, homme de gauche et pourfendeur talentueux de l'euro, a convaincu ses nouveaux amis, Marine et Florian, que tout était possible. Que le rapprochement des deux rives, comme disait Chevènement, pourrait s'opérer autour d'un ennemi commun: l'euro. Mais cette alliance avait un prix : il fallait mettre un bémol sur l'immigration. Renoncer à juguler l'islam et sa prétention à régenter des parties de plus en plus importantes du territoire français. Ce que Sapir appelait « un discours républicain », alors que c'est en vérité l'exact opposé. Toute la campagne de Marine Le Pen est inscrite dans ce funeste compromis : Jacques Sapir gère le cerveau de Florian Philippot, qui gère le cerveau de Marine Le Pen. Trio infernal. Trio de l'échec.

    Quand on est incompétent en économie, on parle d'autre chose

    Pour deux raisons majeures. L'électorat de gauche ne fut pas au rendez-vous : les mélenchonistes se sont abstenus ou ont voté Macron ; dédaignés, voire méprisés par la candidate, les électeurs de Fillon ont fait pareil: seuls 20 % d'entre eux ont mis dans l'urne un bulletin Marine Le Pen. C'est ce qui s'appelle perdre sur les deux tableaux.

    Et puis, il y eut le débat télévisé. Les médias lui reprochèrent son agressivité ; ce fut sans doute son seul atout. Marine Le Pen s'est avérée insuffisante et incompétente. Incapable d'argumenter et de défendre des positions économiques, qui avaient fluctué dans les derniers jours, et dont elle ne semblait pas comprendre les ressorts. Quand on est incompétent en économie (Mitterrand l'était), on parle d'autre chose : d'histoire, de littérature, de la France, de son destin, de son peuple, de sa grandeur. Mais Marine Le Pen ne le fit pas. Pourtant, elle avait une chance inouïe : l'économisme est passé de mode. La science des technocrates, qui impressionnait et intimidait au temps de Giscard et de ses graphiques, est délégitimée par les échecs.

    En revanche, les attentats, les vagues migratoires, le retour de la lutte des classes, la dissidence des élites occidentales ont remis au premier plan les questions historiques du destin des peuples et des nations : les questions identitaires.

    C'est la leçon qu'il fallait tirer du Brexit et de Trump, et pas le départ de l'Union européenne ! Marine Le Pen a eu tout faux de bout en bout. Faux sur la stratégie, faux sur la tactique.

    Un fiasco intégral.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/05/12/eric-zemmour-le-fiasco-integral-de-marine-le-pen-5943221.html


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