• Perquisition administrative : deux personnes en lien avec l'islam radical interpellées à Toulouse

    Deux personnes, en lien avec l'islam radical, ont été interpellées, dans la nuit du lundi 26 au mardi 27 décembre 2016, à Toulouse, par les policiers du Raid. Précisions.

    InterventionRaidToulouseLes policiers du Raid ont interpellé deux personnes, dans la nuit du lundi 26 au mardi 27 décembre 2016, à Toulouse. (photo d'illustration © DGPN)

    Deux personnes ont été interpellées, dans la nuit du lundi 26 au mardi 27 décembre 2016, dans le quartier du Mirail, à Toulouse, par les policiers du Raid, confirme une source judiciaire.

    Cette opération, menée dans le cadre de l’état d’urgence, a permis la perquisition administrative à leur domicile.

    Opération anti-terroriste

    Ces deux hommes présentaient, selon cette même source, un lien avec l’islam radical. Elles ont été placées en garde à vue, au sein du commissariat central de la Ville rose.

    Pendant la perquisition, le corps d’élite de la police aurait également retrouvé des armes factices mais aussi des armes légères.

    Une seconde intervention à Cugnaux

    En parallèle, une seconde intervention s’est déroulée à Cugnaux (Haute-Garonne), au sud de Toulouse.

    Cette nouvelle intervention s’inscrivait dans le cadre d’une opération anti-terroriste et a permis l’arrestation d’un troisième homme, affirme une source proche du dossier.

     

    Source : actu.cotetoulouse


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  • Quand les flux de « migrants » correspondent aux attaques terroristes

    La presse anglaise est plus libre que la nôtre. On y trouve fréquemment des informations très intéressantes qui ont été passées sous silence de notre côté de la Manche, souvent par incompétence et parfois pour des raisons de basse propagande. Quotidien le plus vendu en Grande-Bretagne, de tendance plutôt conservatrice, le Telegraph s’insurge contre la politique dite des « frontières ouvertes » menée par Angela Merkel et appuyée par la Commission européenne, Jean-Claude Juncker en tête, échappé de son asile lunaire.

    Reprenant six exemples éloquents d’actes terroristes islamistes perpétrés depuis mai 2014, le quotidien démontre qu’ils sont liés aux déplacements migratoires :

    – En mai 2014, Mehdi Nemmouche, binational franco-algérien qui aurait dû être déchu de sa nationalité française fictive, ouvrait le feu sur le Musée juif de Bruxelles. Après avoir combattu un an dans les rangs de l’État islamique en Syrie, l’homme était revenu en Europe en passant par l’Allemagne. Schengen est donc clairement en cause.

    – Le 13 novembre 2015, le Bataclan et le Stade de France étaient attaqués par un commando de dix islamistes. Sept d’entre eux avaient des papiers européens, revenant de Syrie.

    La Hongrie de Viktor Orbán, l’un des rares pays en Europe à essayer de surveiller ses frontières, avait révélé que ces hommes s’étaient infiltrés en Europe en se faisant passer pour des « réfugiés » de manière à passer sous les radars des services secrets… Deux autres terroristes étaient des Irakiens munis de faux papiers syriens arrivés en Grèce en 2015. Une autre faille béante causée par le laxisme allemand.

    – À Bruxelles, en mars 2016, cinq djihadistes « européens » attaquaient l’aéroport. Encore une fois, il s’agissait de personnes qui avaient combattu en Syrie. Bien sûr, comme l’ont affirmé certains services secrets, au moins un d’entre eux avait réussi à pénétrer incognito en Europe grâce à… de faux papiers !

    – Les trois derniers attentats en Allemagne ont aussi été commis par de faux demandeurs d’asile. À Wurtzbourg, l’assaillant du train était un faux réfugié afghan de 17 ans. Idem à Ansbach, où un partisan syrien s’est fait exploser dans un festival de musique après avoir demandé l’asile en Bulgarie, en Autriche et en Allemagne. Quant à Anis Amri, vous connaissez tous son parcours, exemplaire des errements européens…

    Qui aura l’outrecuidance de dire qu’il faut continuer à ouvrir les frontières et que Schengen ne doit pas être suspendu un certain temps ? Qui pourra continuer à dire que l’immigration (d’aujourd’hui et d’hier) est une chance pour l’Europe ? Lénine disait que les faits sont têtus…

    Gabriel Robin

    Source : http://www.bvoltaire.fr


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  • CASTRO LE DOUX AGNEAU  

    Je reviens sur la saine polémique déclenchée par Notre-Dame du Poitou avec ses déclarations ahurissantes sur la réussite de la révolution cubaine. Je ne décolère pas... Tant d'imbécillité, tant de médiocrité, de mauvaise foi (ou d'ignorance) au sommet de l’État (cette femme est N° 3 du gouvernement) !

    A la session des questions au gouvernement de ce mercredi 7.12, le député proche de Bruno Le Maire, Damien Abad, a dénoncé une "faute morale" et "politique" : "Comment pouvez-vous déclarer que les Cubains ont une liberté religieuse et de conscience, alors même qu'Amnesty International dresse un bilan accablant sur les libertés fondamentales ?", a lancé Damien Abad.

    Pour sa défense, Ségolène Royal a fait valoir que de nombreux touristes visitent l'île chaque été : "vous n'allez pas me dire, monsieur le député, que quatre millions de personnes se rendent dans une dictature, ce n'est pas vrai", a-t-elle répondu.

    Il faudrait que cette gourde cesse définitivement de parler quand elle représente la France, c'est connerie sur connerie. Elle peut parler à sa guise quand elle représente le PS, en revanche. Les twitteurs l'ont remise en place vite fait, bien fait :

    TWEET-Jeunes démocrates-Royal-Cuba-07.12.2016

    En fait, il y a un gros malentendu à la base de cette affaire.

    Tout ce qui s'échange depuis qu'elle a fait sa sortie de Santiago, jusques et y compris la question du député et la réponse de la Royal Gourde aujourd'hui, tout cela ne porte que sur le Cuba de 2016.

    Or l'occasion des funérailles de Fidel Castro était le moment de dresser le bilan de 57 ans de révolution. Car il faut savoir qu'à Cuba la révolution est officiellement continue depuis 1959. Elle n'a pas "eu lieu", elle est en cours. Et c'est en ce sens que furent posés les doutes sur la liberté, les emprisonnements et autres désagréments habituels du communisme en marche. Pas sur les 4 semaines précédant la mort de Castro.

    A la limite, il pourrait s'avérer exact que, selon la déclaration de Royal, il n'existe actuellement, à un instant T, aucun prisonnier politique sur l'île. On pourrait imaginer que les portes du pénitencier leur avaient été ouvertes le lendemain de la mort de Fidel, permettant de répondre à la question de "montrez-nous la liste des internés politiques" par la réponse reproduite par Royal : une telle liste n'existe pas !

    Mais là n'est pas le sujet, pas du tout !

    Le sujet à débattre à l'occasion des obsèques de Fidel Castro était de dresser le BILAN de son action. Un bilan dont l'exercice débuta en 1959, pas en novembre 2016. Dans un tel bilan doit figurer l'ensemble des actes et sacrifices ayant permis au clan Castro de se maintenir au pouvoir et d'appliquer leur politique.

    Madame Royal, voici deux questions qui vont vous gêner aux entournures, voire vous ridiculiser (la 2e, c'est assuré). Vous n'accepterez pas de répondre à la 1ère. Pour la 2e, pas de souci : la réponse est contenue dans la question...

    QUESTION 1 -- Au prix de combien d'injustices, d'emprisonnements politiques, d'assassinats purs et simples (nombre évalué à 90 000), de privations pour le peuple... les Castro ont-ils conduit le pays à ce qu'il est aujourd'hui ?

    Fallait-il 59 ans de tout cela pour en arriver à un pays où une pénurie de ceci fait suite à une pénurie de cela de façon permanente ? Un Cubain de près de 60 ans n'a connu que le régime castriste et un frère  Castro aux commandes. Je veux bien admettre que c'est une sorte de record historique mondial, mais il n'y pas de quoi pavoiser.

    QUESTION 2 -- Avant le 20 novembre 1975 (mort du général Franco) l'Espagne était déjà un pays attirant les touristes par millions chaque année. Logiquement, vous en déduisez que le régime franquiste n'était pas une dictature ?

    Votre réponse "un pays où viennent 4 millions de touristes par an ne peut pas être une dictature" est un argument profondément stupide. D'ailleurs la majorité des touristes à Cuba séjournent dans des clubs de vacances de bord de mer gérés par l’État cubain et entourés de clôtures. Les Cubains qui viennent y travailler doivent montrer patte blanche à l'entrée du domaine, n'y pénètre pas qui veut. A Cuba le tourisme est devenu (sur le tard, au début des années 2000) une industrie vitale, décidée, structurée et pilotée par l’État.

    Dictature à Cuba - Royal s'enferre-07.12.2016Dominique nous a écrit :
    La Tunisie de Ben Ali fort fréquentée touristiquement était donc également un bel exemple de démocratie respectueuse des droits de l'homme et de bonne gouvernance ... Tandis qu'à l'inverse l'Islande reçoit peu de touriste ce qui prouve bien qu'il s'agit d'une dictature féroce et corrompue !

    Réponse de GG :
    Les inepties proférées en série, à cadence industrielle, par Madame Royal depuis une dizaine d'années démontrent à elles seules qu'une mesure de salubrité publique, à décider par referendum, consisterait 1- à bannir tout diplômé de l'ENA des fonctions ministérielles et a fortiori de la présidence ; 2- à fermer l’École Nationale d'Administration

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  • foie_gras_humain_canard_chine

    Le bloc de foie gras de canard du sud-ouest de la Chine contenait du foie cirrhosé d’origine humaine. 

    L’employé de la morgue prélevait le foie des cadavres atteint de cirrhose pour les revendre à un distributeur chinois chargé de les incorporer dans des blocs de foie gras de canard du sud-ouest de la Chine vendus à prix imbattables dans les magasins d’alimentation.

    A l’approche des fêtes de fin d’année, c’est la consternation qui règne chez les éleveurs de canards après l’annonce de la découverte de présence de foie cirrhosé d’origine humaine dans des blocs de foie gras du sud-ouest de la Chine vendus à prix discount dans des magasins d’alimentation.

    Cette monstrueuse affaire de trafic d’organes n’aurait sans doute jamais été mise à jour sans la cupidité d’un employé de la morgue d’un grand hôpital parisien qui menait un train de vie particulièrement démesuré et dispendieux. Alertée, la cellule Tracfin chargée d’enquêter sur le blanchiment de capitaux et la fraude fiscale, n’a pas eu beaucoup de difficulté à mettre à jour le trafic juteux auquel se livrait l’indélicat employé. Perquisitionné et bien incapable de justifier la possession de plusieurs voitures de luxe et d’une somme en liquide de 350 000 euros retrouvée à son domicile, l’employé a été immédiatement placé en garde à vue pour des faits de trafic d’organes humains, d’enrichissement personnel et corruption active.
    Celui-ci s’est, dans un premier temps, réfugié dans le mutisme. Devant l’accumulation des faits et son incapacité à justifier l’origine des fonds, l’employé s’est finalement résolu à expliquer le macabre trafic auquel il se livrait.

    Ayant accès à la base de données informatiques répertoriant l’origine du décès des cadavres issus d’un grand hôpital parisien spécialisé dans le traitement des cirrhoses, l’employé isolait les patients puis les ouvrait pour en retirer consciencieusement le foie cirrhosé. L’organe, qui pèse 1,5 kg en moyenne, était ensuite revendu 20 euros le kilo à un distributeur mafieux qui le plongeait dans une solution chimique à base d’acide nitrique afin de lui donner le brillant et l’apparence d’un foie de canard. Les lots étaient ensuite congelés puis revendus à une conserverie située dans le sud-ouest de la Chine chargée de les cuire avec de véritables foies de canard. Les conserves étaient ensuite revendues à prix cassés dans des magasins d’alimentation hard-discount.

    Lorsqu’on sait que le kilo de foie de canard coûte environ 45 euros , on imagine la confortable marge que réalisait le distributeur. Quant à l’employé de la morgue, il pouvait retirer jusqu’à cinquante foies par jour sur les cadavres dont il avait la charge. Ce qui lui laissait espérer en moyenne un gain journalier de 1500 euros soit 45 000 euros par mois. On comprend maintenant pourquoi celui-ci ne comptait pas ses heures et renonçait même quelquefois à faire valoir ses droits à RTT.

    Suite à la révélation de ce scandale, les lots chinois incriminés ont tous été retirés de la vente mais il peut encore subsister quelques blocs de foie gras stockés dans les réserves des magasins ou chez des particuliers. Les consommateurs sont donc invités à faire preuve de la plus grande vigilance sur l’origine de leurs conserves. Les autorités sanitaires rappellent qu’il est quasiment impossible de déceler au goût un foie cirrhosé humain, celui-ci présentant même une saveur subtile légèrement plus prononcée que celle d’un véritable foie de canard qui, il faut le savoir, est lui-même un foie cirrhosé obtenu par le procédé du gavage. Seule la présence de pustules et de nécroses nervurées peuvent trahir la macabre origine du foie humain.

    http://www.scienceinfo.fr/bloc-de-foie-gras-de-canard-sud-ouest-de-chine-contenait-foie-cirrhose-dorigine-humaine/


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  • Combien de morts est trop ? Campagne #CommunismKills COV commence avec l’hypothèse que chaque vie individuelle prise par le communisme est un trop grand nombre. Le communisme a fait plus de 100.000.000 morts au cours des 100 dernières années et continue de le faire dans les pays de la Chine, Cuba, la Corée du Nord, au Vietnam et au Laos. Ce nombre impressionnant représente plus qu’un agrégat ; Il représente 100 millions de personnes, chacune avec sa propre histoire, la dignité et l’humanité.

    Au cours des 100 dernières années, depuis la révolution bolchevique de 1917, plus 100 millions de personnes ont été tués par le régime communiste. Beaucoup furent exécutés directement par les communistes révolutionnaires et fonctionnaires qui justifient cet assassinat comme un pas de plus vers une utopie communiste imaginée. D’autres ont été pris dans la tourmente des guerres civiles, révolutions et invasions alors les forces communistes tentaient d’étendre leur domination par la force militaire. De plus, cependant, est décédé des suites des famines massives causées par des politiques économiques communistes. Dans l’Union soviétique et la Chine, où se trouvent la plupart des victimes du communisme, les famines n’étaient pas fortuits ou accidentels. Staline a ciblé directement Ukrainiens ethniques en s’emparant de leur propriété et l’alimentation au nom de la propriété commune. Mao Zedong, après avoir appris que son peuple mouraient de faim en raison de sa politique économique communiste, a si bien dit, «éduquer les paysans à manger moins. »

    Quand l’Union soviétique s’est effondrée en 1991, le Congrès des États-Unis peur que les « sacrifices héroïques des victimes du communisme peuvent être oubliés dans le communisme international et ses bases impériales continuent à s’effondrer et s’écrouler. » Le Président Bill Clinton a signé en 1993, Public Law 103-199, instituant les victimes du communisme Memorial Foundation et rappeler au monde que »Congrès conclut que, depuis 1917, les dirigeants d’empires et communisme international dirigé par Lénine et Mao Tsé-toung ont été responsables du décès des victimes plus de 100.000.000. »

    Le nombre de 100.000.000 faite bouleversant surtout par le fait qu’il est inexact et en pleine croissance. Contrairement aux Nazis, les communistes n’a pas tenu des dossiers précis de la quantité de personnes qu'ils ont tué. Dans des endroits comme la Chine et l’Ukraine, archives gouvernementales ont ouvert uniquement au cours de la dernière décennie, révélant qu’il y a tragiquement victimes de plus en plus à être découvert, comptés et commémoré. Au cours des dernières décennies, de nombreux chercheurs ont tenté de créer des numéros de solides pour les victimes du communisme, dont certains peuvent être trouvés ici. Les chiffres que nous utilisons pour la campagne de #CommunismKills tous viennent de Le livre noir du communisme,[i] à l’exception de la figure que nous utilisons pour l’Union soviétique, qui vient de Alexander Yakovlev Un siècle de Violence en Union soviétique. [ii] Yakovlev a été un membre du Bureau politique dans les années 1980 qui a été chargée d’enquêter sur les crimes soviétiques ; ses numéros reflètent toujours une estimation prudente des victimes du communisme soviétique. Tout compte fait, nous avons pris les estimations savantes dans le livre noir du communisme, qui a été publié en 1999 et mis à jour à la lumière de nouvelles bourses d’études provenant d’archives récemment ouverts en Chine et États anciens soviétiques comme l’Ukraine.

    21St siècle des pays communistes ne tuent pas plus les gens par millions. Mais chaque année, pays communistes dissidents, faire taire les journalistes et emprisonnent des personnes innocentes. 100 000 000 morts en 100 ans est une étonnante. VOC est chargé de la tâche sombre de comptage et racontant ce nombre comme plus archives deviennent disponibles et que 21St communisme de siècle conserve ajout victimes au péage.


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